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ANNALES
plus grands Portes de tous les tems, & de
toutes les Nations.
N°. CCCLXXIX. Discöurs prononets dans s Aca~
demte Fran^oise le Lundi ig Janvicr, 1761. d {*
. tiception de M. Watelct. Av Paris, 1761*,
in 4to,
M. Wat eiet, que son Art de peindre a
mis tout d im coup au rang des plus grands
Portes, a entrepris de traduire le Tasse eil
Vers Francois ; & il a 16 le premier Chant
de cette Trädu&ion le jour m£me de la re-
ception. M. d.' Alembert a aussi lu dans
cette Assemblee un Essdi für VHiJloire, qui
a et£ fort applaudi.
N*. CCCLXXX. Nouvelle contimation dt lA
Mariamne dt M. de Mariväux.
Je ne connois encore cet Ouvrage que
par ce que l’on m’en mande de Paris. II
avoit dejä paru une suite de Mariamne, il
y a plusieurs ann£es; mais eile £toit tr£s
mauvaise. Celle -ci au contraire est tr£s
bonne, & si fort dans le goüt du premier
Auteur que tout le monde l’a cruti de lui.
Elle n’en est pourtant pas. Ce n’est pas
encore la fin de s Ouvrage. M. de Mari-
vaux
ANNALES
plus grands Portes de tous les tems, & de
toutes les Nations.
N°. CCCLXXIX. Discöurs prononets dans s Aca~
demte Fran^oise le Lundi ig Janvicr, 1761. d {*
. tiception de M. Watelct. Av Paris, 1761*,
in 4to,
M. Wat eiet, que son Art de peindre a
mis tout d im coup au rang des plus grands
Portes, a entrepris de traduire le Tasse eil
Vers Francois ; & il a 16 le premier Chant
de cette Trädu&ion le jour m£me de la re-
ception. M. d.' Alembert a aussi lu dans
cette Assemblee un Essdi für VHiJloire, qui
a et£ fort applaudi.
N*. CCCLXXX. Nouvelle contimation dt lA
Mariamne dt M. de Mariväux.
Je ne connois encore cet Ouvrage que
par ce que l’on m’en mande de Paris. II
avoit dejä paru une suite de Mariamne, il
y a plusieurs ann£es; mais eile £toit tr£s
mauvaise. Celle -ci au contraire est tr£s
bonne, & si fort dans le goüt du premier
Auteur que tout le monde l’a cruti de lui.
Elle n’en est pourtant pas. Ce n’est pas
encore la fin de s Ouvrage. M. de Mari-
vaux