ÀBRÉGE DES TrÀ'NSACT. PHItOS,
ÎI faut convenir que rien n’est plus simple qus
l^ 6' cette méthode , 8c pn pense que cette manicre
Pfimure en- de pçindre doit résister aux injures du tems, 8c
str:dlïi$ Ue ^ durer pius long-tems que. la peinture à l’huile.
L’effet que les couleurs produisent sur la cire est
iîngulier , &ç on n’en peut guère juger sans Tavoir
vu , elles n’ont pas le vernis naturel que leur
donne shuile , mais elles ont savantage de ppuvoir
être vues dans toutes sortes de jours 8c dans toutes
îes situations , d’être fortement attachées, 8c de
pouvoir être lavées. On en a exposé à la fumée
même dans une cheminée , 8c en les mettant au
serein, elles redevenoient aussî belles que lorf-
qu’eljes étoipnt sorties des mains de l’ouvrier,
Voilà ce qui concerne la peinture encaustique s
êc tout ce qui nous en reste , car les anciens nous
ont donné les noms cle leurs découvertes sans çni
erer dans aucun autre détail»
ÀRTICLE î V,
Obfervailons fur la îettre de Vabbé Ma^eas %
concernant Vïmitation de la mamère de pein-
dre des anci&ns 5 par le comte de Caylus%
Par JçujiQs Parfons. Lues le i juillet ijboè
nn, 1756»
Vo!? 49? lettre de sabbé Mazeas, concernant la peiq-
u!'H'juç, en" ençaustipue aveç qe |a cire brûiée ^ n est pa$
ÎI faut convenir que rien n’est plus simple qus
l^ 6' cette méthode , 8c pn pense que cette manicre
Pfimure en- de pçindre doit résister aux injures du tems, 8c
str:dlïi$ Ue ^ durer pius long-tems que. la peinture à l’huile.
L’effet que les couleurs produisent sur la cire est
iîngulier , &ç on n’en peut guère juger sans Tavoir
vu , elles n’ont pas le vernis naturel que leur
donne shuile , mais elles ont savantage de ppuvoir
être vues dans toutes sortes de jours 8c dans toutes
îes situations , d’être fortement attachées, 8c de
pouvoir être lavées. On en a exposé à la fumée
même dans une cheminée , 8c en les mettant au
serein, elles redevenoient aussî belles que lorf-
qu’eljes étoipnt sorties des mains de l’ouvrier,
Voilà ce qui concerne la peinture encaustique s
êc tout ce qui nous en reste , car les anciens nous
ont donné les noms cle leurs découvertes sans çni
erer dans aucun autre détail»
ÀRTICLE î V,
Obfervailons fur la îettre de Vabbé Ma^eas %
concernant Vïmitation de la mamère de pein-
dre des anci&ns 5 par le comte de Caylus%
Par JçujiQs Parfons. Lues le i juillet ijboè
nn, 1756»
Vo!? 49? lettre de sabbé Mazeas, concernant la peiq-
u!'H'juç, en" ençaustipue aveç qe |a cire brûiée ^ n est pa$