DOI Heft:
Inventions et machines
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43° Abrégé des TransaCT. philos.
considérable, & par suite une imperfedion daiiS
Ann, 1777. Pimage • c’est ce qui fait qu’on n’a iamais pu se
Tome 67. 1 m r 1 ’ 1
Biiroir de P rocurer un 0011 telescope de cette manière. Car
inécal. s le nombre de degrés ou la portion de la sphère,
dont le grand métal est une partie, étoit auïïi con-
sidérable qu’ii doit sêtre , ou aussi grand qu’il sest
dans les miroirs de M. Short, l’instrument ne
pourroit être susceptible que d’une charge très-
médiocre, à moins que par une ouverture on ne
retranchât une grande partie de la circoüférence
du métal, 3c qu’on ne diminuât par-là l’aber-»
ration.
Si son est jamais parvenu à tourner un métaî
sans ce défaut, 3c qui produise une image parfaite
êc distindte 3 ce ne peut être que par une tendance
accîdentelle à une figure paraboiique, qui n’est
nuliement ie résuitat du procédé , &c par consé-
quent imprévue, 3c peut-être même inconnue à
souvrier.
Ainsi, sans m’appesantir sur les difficultés du
susdit procédé, 3c sur simpossibilité de donner
au miroir la correcftion 3c sespèce de figure ab-
solument nécessiaire à un bon téiescope, je vais
décrire , pour servir d’introducfion à ma méthode,
ies différens degrés par lesqueis je siiis parvenu
à donner au métal une figure corre&e & para-
bolique, 8c un siiperbe poii , quoiqu’elle fut en-
eore très-imparfaite en sortant de clessiusies pierres»
considérable, & par suite une imperfedion daiiS
Ann, 1777. Pimage • c’est ce qui fait qu’on n’a iamais pu se
Tome 67. 1 m r 1 ’ 1
Biiroir de P rocurer un 0011 telescope de cette manière. Car
inécal. s le nombre de degrés ou la portion de la sphère,
dont le grand métal est une partie, étoit auïïi con-
sidérable qu’ii doit sêtre , ou aussi grand qu’il sest
dans les miroirs de M. Short, l’instrument ne
pourroit être susceptible que d’une charge très-
médiocre, à moins que par une ouverture on ne
retranchât une grande partie de la circoüférence
du métal, 3c qu’on ne diminuât par-là l’aber-»
ration.
Si son est jamais parvenu à tourner un métaî
sans ce défaut, 3c qui produise une image parfaite
êc distindte 3 ce ne peut être que par une tendance
accîdentelle à une figure paraboiique, qui n’est
nuliement ie résuitat du procédé , &c par consé-
quent imprévue, 3c peut-être même inconnue à
souvrier.
Ainsi, sans m’appesantir sur les difficultés du
susdit procédé, 3c sur simpossibilité de donner
au miroir la correcftion 3c sespèce de figure ab-
solument nécessiaire à un bon téiescope, je vais
décrire , pour servir d’introducfion à ma méthode,
ies différens degrés par lesqueis je siiis parvenu
à donner au métal une figure corre&e & para-
bolique, 8c un siiperbe poii , quoiqu’elle fut en-
eore très-imparfaite en sortant de clessiusies pierres»