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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 3.1870

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https://doi.org/10.11588/diglit.3704#0033
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L'ECLIPSE.

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3 "ne.

iièro.

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ie*)i„

'^rapport détaillé qui la tirât d'inquiétude, a envoyé de suite un.
'de ses rédacteurs chargé de lui rendre compte des dégâts occa-
sionnés par ce bouleversement du sol.

. Nous avons )a satisfaction d'annoncer à nos lecteurs que cela
'■'se réduit à fort peu de chose, ainsi qu'ils vont pouvoir en juger
par l'enquête de notre collaborateur..

x

Pr»ae
'■u.

îuess

°iite e

"fin

^•.i»"-^

;sont
1 des

rares

^^^^^^ Marseille, le 23 janvier 1870,

Mon cher Polo,
Uiie Vous m'avez charge d'aller inventorier les désastres causés à

\Marseille par le dernier tremblement de terre.
Voici :
flial jy, D'abord, le principal effet produit par les secousses a été une

ptjL augmentation énorme du prix de tous les objets d'alimentation,
I qui a été suivie immédiatement d'une pénurie complète de co-
mestibles sur la place.
Cette disette provenait de ce que les habitants de la ville, for-
jqq, tement secoués, faisaient tous leur digestion en moins de trois
"^minutes, et qu'ils étaient obligés de faire cinq forts repas à
l'heure pour se soutenir.

:cii!|.

Petits.' T *■*«,

XIV les

h

tte,

> rien

qu'a^O'lS

SBH

UflEn,

.corPs est pro,nbé

On m'a raconté qu'au moment où la trépidation était très-forte,

madame V....., la plus plantureuse actrice du Grand-Théâtre, se

rendait chez sa corsetière en voiture découverte.

Son cocher fut obligé de s'arrêter.

Madame V..., étendue dans sa voiture, altendit la fin de la

!l crise, pendant que le tremblement souterrain communiquait à son

torse allongé sur les coussins des agitations houleuses qui — au

dire des assistants — rappelaient assez bien celles de trois sous

de colle sur un morceau de papier.

De son -
Soni

iourirlepl05vit d

Les marchands de marrons grillés et les charbonniers se sont
plaints amèrement des conséquences du tremblement de terre.

Il paraît que pour la vente des marrons au litre et du charbon
au boisseau, c'était désastreux.

Le tassement continu qui se produisait pendant qu'ils remplis-
saient leurs litres et décalitres, déjouait impitoyablement toutes
*■' les combinaisons au moyen desquelles ils réussissent si bien d'ba-
^__________ bitude à faire déborder leurs mesures avec le quart de ce qui

* * tiendrait dedans.

^^tttofe, Rue delà Canuebière, un mari et sa femme, réveillés en sur-
saut par la secousse, se Bont immédiatement levés pour se flan-

* * quer une trépignes énorme, croyant réciproquement que son autre
s Qui ne savent où rt lui-même avait voulu profiter de son sommeil pour le rouer de

leurs. _______________

t *
De sa nudité parée,
La vérité brilla - et pu»,
Elle se met dans un paits
Pour ne pas être altérée.

HlPPOLlIlli

SUR LA GLACE.

a vraiment pas de chance, c'est \'M
, à l'époque des grands froids, Iul^
sent et se disent avec uns test
allons donc pouvoir donner «topa
te, sur le lac des patineurs, »
ie, comme par enchantement, M*
petite fête.

abâtardi comme le nôtre, ce}w
■es du Skating-GlubaquelgM^-
>nne et qui confond!
t se souvient des Trmilhrs^-'
soi, l'on songea la prodigieuse
mtre les éléments réunis,
té, ce lac spectateur impasse ^
et tous les tratneaus, celac d^x
l s'élancer le premier patinai; «*
ing-Club, calmes, confiants,^
èeel que cette phrase héroïqaî:
lencer. La petite fête poûr»k

mis dis ans. . j

3 versatile comme la notre>*»»
fondement la forme des **
.faut rendre cette justice ***
t tant fait pour «M^W"

pCette ténacité mérite^
but désiré. n^m m

Un dentiste de la place du Grand-Théâtre, qui était en train
d'opérer une dame pendant le tremblement de terre, ne pouvait
diriger son outil et lui a arraché neuf dents très-saines avant de
pouvoir saisir celle qui était gâtée.

La dame, d'ailleurs, n'en avait plus que dix avant cette opé-
ration.

Voilà, mon cher Polo, les principaux accidents causés par le
tremblement de terre de Marseille.

Ajoutez à cela que le lendemain matin delà première secousse,
— qui a commencé au milieu delà nuit, comme vous le savez,—
un grand nombre de jeunes dames de la ville sont allées brûler
des cierges à l'église en priant le bon Dieu pour que ie premier
enfant qu'il leur enverrait n'eût pas la danse de Saint-Guy.

Recevez, mon cher Polo, mes amitiés.

Léon Bienvenu.

EMEEMENT M

HP

GAZETTE A LA AAIN

Mardi soir, plusieurs de nos confrères ont reçu — sur papier
couleur colde nymplie coupable — l'invitation qui suit :

a Monsieur,

» Vous êtes prié d'honorer de voire présence la répétition générale
» du drame de demain matin, qui aura lieu cette nuit sur la place
» de la Roquette.

». Cette répétition générale est particulièrement offerte a la

» presse par

» Son dévoué et respectueux serviteur
j> Hekdereicu, S

Nota.— En cas d'absence prévue, renvoyer le coupon.

Ce précédent gracieux avait été, s'il m'en souvient, inauguré
sur son théâtre par l'ancien directeur des Folies-Marigny.

On comprend que M. de Paris n'ait pas voulu rester au-dessous
de M. de Montrouge.

Le successeur de la maison SdJiscm père et fils est, du reste, à
ce qu'il parait, un gentleman accompli, fort doux, fort, poli, fort
modeste, également éloigné des esbrouffes et des épates. A ren-
contre de Calcraft, son collègue de Londres, il accueille les
journalistes avec une affectueuse bonté et ne dédaigne point de
causer familièrement avec eux, en fumant son cigare, pendant
que ses auxiliaires sont occupés aux bois de justice...

Georges Stenne lui demandait :

— Pourquoi n'écrivez-vous pas vos Mémoires ? Votre prédéces-
seur a publié les siens. Vous devez avoir à raconter des choses
plaines d'intérêt.

— Certainement, certainement : ce ne sont pas les idées qui
me manquent. J'avais déjà tracé un plan...

— Qui est-ce qui vous embarrasse alors?

— C'est Vexécution.



On m'assure qu'il y avait là dee vaudevillistes et des ténors,

— chargée probablement de raprési*nïer la, gaité française dans ce .
qu'Albert Wotff apunlurait a cet'.e p. tite rate de l'intelligence. »
On a équipé et fait fonctionner la rnachinette devant eux. Tout1
a marché ainsi qu'à la représentation, et chacun des privilégiés a
pu se convaincre, an fourrant La main dans le panier, que le
Gouvernement n'y mettait point de la sciure au lieu de son...

Sur ce, M. Gustave Fould s'est lâché tout rouge — à la
Chambre... -

M. Gustave Fould ne veut pas que Von détaurae les chroni-
queurs et le public du chemin du théâtre de Gluny où l'on joue
actuellement une comédie du sieur Haller, lequel, pour se mo-
quer du monde, a mis son ct-rset dans un pantalon...

Mon Dieul J'ai horreur du saiip:, et je chanterais volontiers
avec le prince Mistenflûte; de la Ccndrillon de Désaugiers :

h- rfai jamais connu ta haine-,
Mon caractère es! la douceur;
La mort d'un poulet me fait peine,
Et ses cris me percent le ccour...

Eh bien, plutôt que de m'asseoir une lois de plus devant le Mé-
decin des Dames, j'aimerais mieux, oh! oui, j'aimerais mieux que
l'on m'attachât sous la guillotine pendant l'opération, ainsi que
Louis XI fit, dit-ou, des enfants de Nemours sous l'êchafaud de
leur pèrel...

«

M. Emile Ollivier a envoyé fort galamment le mari Haller se
faire... Fould, en lui îépliquant que les billets de faveur pour la
clôture des exercices de Troppmann n'avaient été distribués qu'à
des moralistes, des philosophes et des penseurs...

Je n'en disconvipns pas...

Passe pour Maxime du Camp, Albert Wolff" et Victorien
Sardou !...

Mais on me fera prendre difficilement M. Capoul pour un mo-
raliste, l'ami Nazet pour un philosophe et Bouscatel pour un
penseur.

Ces messieurs ne sont pa^, d'ailleurs, les premiers qui aient
rêvé de toucher du doigt cette chose terrible qu'on appelle la
peine capitale.

Une grande dame — fort puissante dans l'Etat — dit jadis,
en badinant, à Lambert Thiboust.

— Qu'est-ce que vous voulez pour vos étrennes? ■

— Je voudrais voir guillotiner quelqu'un, répondit Thiboust
facétieux.

On était au commencement de janvier. Vers la fin de février,
une nuit, à l'issue d'un bal masqué, deux messieurs munis de
pouvoirs en règle appréhendèrent Thiboust au corps, le firent
monter dans une voiture, le conduisirent sur la place de la Ro-
quette, l'installèrent au premier rang des spectateurs et ne le
lâchèrent qu'après que les deux tètes d'Orsini et de Piétri eurent
roulé sous le couteau...

Lambert en garda le lit six semaines.

Odéoia. — g/Affranchi.

Ah! nous voilà bien loin des temps où Garbonnier vivait, —de
privations I ..

Garbonnier était le caissier da l'Qdéon sous la direction de Li-
reux. C'était un ancien grenadier de la vieille garde, qui
avait mis vingt ans à se refaire des courts de soleil de l'Espagne
et des neiges de la Russie, lorsque ie hasard se fit un malin plai-
sir de l'attacher à la comptabilité du second Théâtre-Français.,.

Ce que l'infortuné grognard eut à souffrir dans cette position,
qui, pourtant, au premier abord, avait l'air d'une sinécure, restera
un secret entre Dteu, Lireux et lui...

Jamais Carbonnier n'eut le bonheur da voir un écu dans son
coffre-tort...

Un jour, il éprouva un saisissement qui faillit le tuer. En
jetant un regard distrait sur la caisse, son œil croit saisir un re-
flet d'argent...

Sauter de son tabouret et se précipiter sur sa proie avec une
clameur sauvage, est l'affaire d'un instant; ses bras arrachent,
déchirent les toiles d'araignée, et, se saisissent...

D'une paire de lunettes qu'il y avait laissé tomber la veille!

Carbonnier était b/ava : il avait affronté mille fois la mort sur le
champ de bataille-, eh bien, ce lion, ce géant, pâlissait et deve-
nait plus faible qu'un enfant, lorsque le pas du lampiste retentis-
sait à son oreilie : il va me demander de l'huile, pensait-il, pour
l'éclairage de la salle I

Un soir, il était cinq heures, M. Lireux ne paraissait pas; l'in-
fortuné caissier se décida à lui envoyer la .lettre suivante :
« Monsieur le directeur,

« J'ai la tête perdue, ie suis en présence de Vhuile ; que faut-il
faire ?

» Carbonnier, caissier. »

Le pauvre vieux soldat expédiait quelquefois à M. Lireux, à la
fin du spectacle, des bulletins dans le genre de celui-ci :

«Faible recette, absorbée par les hommes de garde. »

m

J'ignore si Carbonnier est encoie sur cette terre; dans le cas
contraire,

Du haut des deux, ta demeure dernière,
0 bon caissier, tu dois être content)...

Car le public ne cesse de fréquenter l'Odéon dans une proportion
fort honnête — alléché nar les allusions aux choses du jour qu'est
censé renfermer l'affranchi, de M. Latour de Saint-Ybars. .

Ces allusions, à parler franc, n'ont rien que de fort sage et de
fort modéré, et l'Affranchi ne révolutionnera m la littérature, ni
la politique, ni le parterre.,.

Mais il y a là une pièce laborieusement conçue, soigneusement
écrite, et qui reproduit certains côtés de la société romaine, avec
la fidélité sans relief d'une mosaïque de la maison du Poète Tra-
gique. ..

M. de Chillv l'a montée avec une conscience dont il serait in-'
juste de no point lui savoir gré. Accessoires, décors et costumes
semblent avoir été retrouvés dans les fouilles d'Herculanum et de
Pompéï...

Théâtre Déjazet

Comment vous parler, à présent, de Déjezet sans choir à l'imi-
tation des sujets de Dindenaut, dans l'éternel lieu commun de
l'éternplle jeunese et de l'éternel printemps?

M- Fior O'Squarr — un Belge digne d'être le compatriote de
Labiche et de Kiraudin, — vient de rendre à nos bravos la spiri-
tuelle comédienne dans une pièce amusante et vive, où il a ha-
bilement condensé tous les éléments de succès du Capitaine Char-
lotte, de la Douairière de Brionne et de la Fille de Dominique. Ai-je
besoin de constater que Déjazet joue les Pistolets de mon père,
comme on ne joue plus la comédie nulle part? Ai-je besoin de
vous dire comme elle chante? Ce n'est ni une voix ni une

musique. La voix a le timbre grêle d'une corde de clavecin; la
musique est un pont-neuf, un fredon, une gaudriole. Mais que
de goût et quelle finesse! En revanche, quel écrasant ennui *e
dégage de la revue qui accompagne cette bluette! On cassera du
sucre, dit l'affiche. Allons donc! De lacassonnade tout au plus!...

Théâtre de Cluny

Nous déclarons que Yiïchéance, — une saynète Ingénieuse et
fine de M. Georges Petit, — est la seule chose, dans le spectacle
actuel, qui puisse ravigoter les lettrés et les délicats.

C'estun droit qu'à la porte nous avons achelé — en entrant.

Ce droit, nous avons voulu le céder à quiconque se montrerait
jaloux de l'exercer à l'endroit du Médecin des Dames..,

Mai-, quoiqu'il fût à peine huit heures, personne, parmi ceux
des électeurs du citoyen Rochefort qui ramassaient des bouts de
cigare sur le trottoir, devant le théâtre, n'a consenti à acquérir
notre contremarque,— même au prix des plus grands sacrifices...

Ces sacrifices-là, il est bien entendu, — n'est-ce pas, M. Laro-
chelle, — que c'est nous qui les aurions faits?•..

Le sculpteur F... s'estflanqué, l'autre jour, un coup de maillet
sur l'index.

Féru désagréablement par cette mésaventure, il a coupé le
doigt d'un gant noir pour en envelopper la partie lésée.

Deux gamins le rencontrent.

— Tiens ! fait l'un, regarde donc la main de ce monsieur! C'est
drôle!...

— Bien sûr, riposte l'autre, il aura fourré le doigt ijanj le....
nez d'une négresse.

Emile Blondbt.

Vient de paraître le numéro 24 de ta LANTERNE de
BOQlilLIM — ÎO centimes. — En vente
partout.

TROPPMANN

LE GRIME DE PANTIN

Renseignements des journaux. —Documents officiels. — Infor*
malion de l'affaire. — Instruction. — Acte d'accusation. — Dé-
bats. — Plaidoiries. — Verdict. — Troppmann à la Roquette. —
Execution.

Volume illustré de gravures sur bois, représentant les épisodes
les plus émouvants de cette cause célèbre.— Franco : 1 franc.

GALERIE UNIVERSELLE de toutes les Photographies des
célébrités.

Victor Nom, Ulrig de Fonvielle, Paschal-Grousset, le
prince Bonaparte, Emile Ollivier, etc., etc.

Chaque Photographie rendue franco contre 1 fr. en timbres-
poste.

Maison RAUD, boulevard Ilaussmann, 113. PARIS.

NOTICE

sur les obligations foncières de 100 /h, émises par la Société la
Propriété, et sur les travaux de ladite Société.

La Société la Propriété a pour but de concourir à l'établisse-
ment des petits loyers dans Paris. Elle bâtit sur ses propres ter-
rains qu'elle choisit le plus rapproché possible du centre. Le prix
de3 terrains ne doit pas dépasser cent francs par mètre carré, et
les constructions sont élevées sans luxe aucun mais avec soli-
dité, et dé manière à présenter à chaque étage des logements in-
dépendants, sains et bien aérés.

Il y a assez de palais élevés dans Paris, il faut songer à la classe
si nombreuse et si intéressante des employés, artisans ou ren-
tiers, qui ne peuvent mettre à leurs logements un prix élevé, et
ne veulent pas cependant tomber dans les taudis des vieux quar-
tiers.

Pour établir ainsi des loyers à bon marché, il est nécessaire de
faire concorder le prix des terrains avec la dépense des construc-
tions ; c'est de cette combinaison que sortiront pour la société la
Propriété des immeubles sagement entendus et rapportant un
très-bel intérêt, tout en rendant un grand service à beaucoup de
monde.

Pour éviter tout écart, toutmalentenduet toute erreur, un conseil
composé d'hommes spéciaux et les plus honorables, a été établi
par les fondateurs de la Propriété pour veiller à la stricte exécu-
tion du programme.

La Société la Propriété poursuit encore un autre but, celui d'é-
tablir dans la banlieue de Paris, également sur ses propres ter-
rains, de petites habitations, villas ou maisons de campagne, va-
riant de cinq mille à vingt mille francs, qu'elle louera, ou vendra,
avec termes et délais.

La Société la Propriété, il faut bien le comprendre, car déjà
plusieurs demandes qui lui ont été adressées ont montré qu'on
n'avait pas toujours bien saisi son caractère, n'est pas une So-
ciété d'entrepreneurs bâtissant pour les particuliers; elle cons-
truit pour elle sur ses propres terrains, et tire ensuite parti de
ses immeubles en les louant ou en les vendant, si elle y trouve
son avantage. Ce sont des opérations de propriétaires et, non pas
d'entrepreneurs, voilà pourquoi elle émet des obligations repo-
sant sur lesdits immeubles.

Chaque année un compte-rendu des opérations sera publié et
indiquera ainsi aux obligataires les résultats obtenus.

Cette notice se distribue gratis au siège social, à Paris, 5, cité
d'Antin,

A Paris on est sceptique, mais on est juste, et une fois la con-
viction établie, on y est fidèle comme le sont les gens convain-
cus; c'est ce qui a fait le succès de la CHEMISERIE MODELE,
qui, malgré l'élégance et la perfection dues au système de me-
sures et de coupe d'après les conformations pour lequel elle est
seule brevetée de plusieurs cours, a su en maintenir Je prix dans
des conditions de bon marché relatif.

Par la création delachemi^e-tunique, qutsemetaussi facilement
qu'un gilet, la CHEMISERIE MODELE vient de réaliser une
heureuse innovation.

Distribution de la brochure gratuite, 45, rue Le Pelletier.

BROCHURE EXPLICATIVE

j^ COKCEIYÏUNT LÏS

PRETS SXJFt TITRES

Cotés on non cotés, à 2 ir2 OjO net; les
OPÉRATIONS FINANCIERES DIVERSES
Achat et veuf e au comptant ou à terme de toutes les valeurs cotées
à la Bourse. Escompte de coupons non échus, payements pour sous-
criptions. Echange et retrait des titres.

Les Avances pour souscriptions on achats de titres, dans la pro-
portion de 50 J]Û.

S'adresser, par lettre affranchie, à la
BAKQGE GÉNÉRALE dee Valeurs mobilières
________________ 63, rue Turbigo, t>2.________________________
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