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Académie des Sciences <Paris> [Hrsg.]
Machines et inventions approuvées par l'Académie Royale des Sciences depuis son établissement jusqu'à présent — 1.1666/​1701 (1735) [Cicognara, 917A]

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Recueil des Machines depuis 1666 jusqu'à 1699
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No. 31
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https://doi.org/10.11588/diglit.30634#0185
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LE moulift horizontal A B est composé de plusieurs pIG>
cloisons 2,3, 13, 12, 11, 10, posées obliquement FigvI.
sur un plan circulaire, de maniere quel’intervalle de ces
cloisons permette au vent de pasfer pour frapper sur une
vanne IL formée de quatre ailes G, H, E, F. Cette
vanne étant posée verticalement au centre de ia tour,
on prolonge son arbre C D , auquel l’on fixe la meule ,
qui ne disfere en rien des meules ordinaires non-plus que
les autres parties du moulin. Cette vanne ayant la liberté v le
de tourner sur elîe-même, l’on voit par la disposition des Pson.
cloisons p,io; 11, 12; 13,352, s ; 4,, 6 ; 7,8 ; qu’eL ^ 10, ü*
les laissent entr’elles fur toute ia hauteur du moulin , les
ouvertures 10, 11 ; 12, 13; 2, 3, &c. Ôc qu’ainsi de
quelque part que le vent vienne il trouve toujours des
iisues pour frapper sur la vanne , ôc Ja faire tour-?
ner.

On aura l’obliquité des cloisons en decrivant deux cer-
cles concentriques; le cercle extërieur déterminela gros*
seur du moulin ; le cercle intérieur donne la longueur
des cloisons, ôt leur obliquité ; le rayon de ce cercle
doit avoir deux ou trois pouces de plus que le rayon de
la vanne, afin qu elle ait cette quantité pour son jeu s

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