14'
LE RIRE
N° 181
Nos Chers Souverains
_ w» _ - «___ _ __ ' _ __ __ courir. Opportunistes,
•AYANT LES ELECTIONS radicaux, membres dè
la droite, socialistes
ont posé devant lui,
sans le savoir, et lui
ont livré leurs secrets.
Et voyez comme, en
quelques traits, il sait
les camper :
Sous ce titre, M. Paul BOSQ, vient de publier une très curieuse Portrait de M. Bour-
et importante série de por- ge,0is .• ' p]„anlCi. radl"
traits'de nos hommes poli-
tiques, nos maîtres d hier, ensuite dans ,e ca^p
candidats d'aujourd'hui. Ce socialiste : il a dressé
sont, photographiés sur le sa tente au milieu des
vif, surpris dans le désha- bandes révolutionnai-
-billé de leurs natures, les rcs- 11 chausse main-
souverains élus et tous les tenant les ^bottes de
quatre ans revocables qui Deux motg gur M Baudin . <( Un certain nombre de jaloux insinuent mGme
tiennent uans leurs mains qu'il élève secrètement dans son pupitre des lapins qu'il pose ensuite au peuple. »
souvent débileslesortmeme Je m'arrête, car je les citerais toutes, ces deux cent soixante-dix pages où
de la France. l'on apprend beaucoup sur les hommes politiques de notre temps.
Sans aigreur, sans vio- jja très intéressante étude de M. Bosq sur « Nos Chers Souverains « qui
lence, mais avec une pointe appartient entièrement à la psychologie parlementaire que je cherche à dé-
d'ironie très aigui- terminer, à classer dans notre littérature contemporaine. L'œuvre, qui n'est
sée avec la philoso- Pas écrite pour tout le monde, qui ne
phie d'un Fi(,aro qui ressemble en rien à ces biographies
s'empresse de rire ba"ales> comme on en voit tr0P-
sseiupiesse ul ixics Ces portraits, quoique constituant
de tout pour _ ne des études individuelles, forment, au
pleurer de rien, demeurant, comme l'histoire du par-
M. PAUL BOSQ lementarisme moderne, aussi bien
. retrace,en des pages pour la droite et le centre que pour
n. Bourgeois. vivement enlevées les gauches de toutes nuances. Comme
l'histoire des divers partis qui ont four à tour gouverné la Repu- l'auteur manie la douce ironie, et com-
i ,• , h i r i j -t • * i - nie il a puise dans 1 étude des classi-
bln.ue, et rappelle les exploits de ces maîtres, qui nous sont chers ,e£ princi (lc la scicnce (lu
a plus d un titre et de si diverses manières. Lnlin LhAîsUKh a sons-entendu, de l'allusion à double
crayonné pour cet ouvrage ses plus spirituels dessins, et ce n'est entente ou détente! C'est une œuvre
pas un des moindres attraits de ce bien littéraire que cette étude de po-
volume tout de malice et d'esprit. J&^l litiqùe comparée! Quand on laisse le
Tous les grands journaux sans %- * d livre.il reste dans l'esprit autre chose
dictinction de parti, ont rendu > . " que le miroitement des projections
r ,, • , , ma vi- . H # .., Ttfii4 f d une lanterne magique. Pour la pro-
compte avec éloge, de cette mte- 4^;-- JÉféÊSBS^ chai ne législature, M. Paul Bosq
ressante série de biographies. X ^r^g^'^W lB*2Û devrail bien préparer un manuel du
Voici ce qu'en dit M. Cornély, ^^^^^^^ÊA bon député. (Le Soleil.)
dans le Matin : v< ' 'mSSS^- Notre distingué confrère M. Paul M. Jules Guesde.
On comprendra du premier coup qui . Jfc'ïÊki,' ' • V'-.. Bosq est un peintre do premier ordre,
sous la plume du spirituel chroniqueur ^^^fÊM^' ï£ ~*~ et qui excelle dans le portrait. Son dessin a la netteté de Ingres, et avec une
parlementaire qu'est M. Paul Bosq.il ne ffifj lWïfâ$ii&~ jVV* maestria incomparable, sa couleur prend tour à tour le velouté d'un pastel de
peut être ici question que des « chers sou- kff'ir^^B^X' La Tour ou la vigueur, que rien n'atténue, d'un Rembrandt. Je sais de lui plus
verains » du peuple souverain lui-même. af:-?'^iMËÈnL d'une de « leurs figures ». qu'on imagine volontiers dans le Salon carré, entre un
Aussi bien défilent sous nos yeux des Mll^/j&fflfflsMÈ^ fier Van Dyck et un noble et pur Raphaël, — a moins cependant qu'on ne ré-
portraits de députés, de sénateurs, cro- âÊ$W4ÊÊÊaÊ3*^ clame pour le modèle le musé.- des horreurs... Et, ayant lu d'un trait, relu et
qués sur le vif — c'est ici le cas de ^MMÉf savouré les quarante-deux portraits qui composent la série de Nos Chers Sou-
parler de la sorte — avec une pointe MÊÊÊÊBnSiÊÊË verains*ou la psychologie la plus pénétrante, en dépit d'une ironie continue,
d'ironie très aiguisée, il est vrai, mais tt®IÉÈKÈËÊ&ÊW s'allie toujours à la forme la plus châtiée, je me demande si M. Paul Bosq n'au-
peints aussi avec une profonde connais- MmÊlÊBËÊÊM rait pas droit aux honneurs de la cimaise, au Luxembourg, en attendant mieux?
sance du caractère des modèles. Il n'y a JÊWimÈSlÊÊ? _- Car. en vérité, je vous le dit, cet écrivain est un très grand peintre de par-
pas là que de la a blague » illustrée par w^ÊÊÊÊÉii^^î traits. (Le Gaulois.)
le crayon de Léandre; il y a une étude JPJjgfêp^i - Fioaro Le Journal, L'Echo de Paris, LIntransigeant, Le
vraiment psychologique, littéraire et po- WmMv f t-J^-O' _ riyuru,i^c ^«"u-'i , . » „ j ' _„
litique. 'fprw 1 Temps,* Les Débats, et tous les*grands journaux publient des ar-
On sent que M. Paul Bosq a fréquenté ticles aussi élogieux du livre de M. Bosq : « Nos Chers Souverains ».
ces souverains, qu'il les a entendus dis- M- Ribot- (1 vol. in-16 gr. col. Juven, éditeur : 3.50. Envoi franco c. mandat.)
Extrait du Catalogue de F. Jl'VEiM, éditeur, ÎO, rue Saint-Joscpli, Paris.
BISMARCK INTIME, par Jules Hoche, avec de nombreuses illustra- GUILLAUME II INTIME, par Maurice Leudet, avec de nombreux
lions d'après des documents authentiques. Couverture en couleurs, repro- portraits et illustrations d'après des originaux. Couverture en couleurs j
duction de l'aquarelle de Jeanniot, 1 vol. in-lG, grand colombier. 3 f. 50 d'après une aquarelle de J. Veber, 1 vol. in-16, grand colombier. 3 fr. 50
C'est une troublante lecture que le BISMARCK INTIME de M. Jules Hoche, où nous Sous le titre « GUILLAUME II INTIME >, un des maîtres du reportage, M. Maurice Leudet
voyons le sanglant héros de -1870 s'attendrir et pleurer sur le cadavre de son chien Sultan ou (du Figaro) nous fait parcourir toute l'existence du souverain allemand, depuis sa. naissance
oublier la dépêche d'Ems, en lisant les rapports de ses forestiers. Troublantes aussi les origi- jusqu'à ce jour. La figure du Kaiser est de celles qui no peuvent laisser personne inclinèrent,
nales illustrations qui nous retracent touto la vie du chancelier, du bambin joufflu do Schon- et les faces multiples de ce souverain * aux cent actes divers > sont curieuses à connaître. Une
hausen au vieux solitaire du Sacksenwald ! Bien curieuse encore la belle aquarelle de Jeanniot illustration documentaire très nombreuse et des plus attrayantes ajoute un puissant intérêt à
qui sert de couverture au livre. la lecture do ce volume.
Les Drames de la Vie
ŒUVRES D'
EMILE RICHEBOURG
Magnifique Édition, lO c. — Élégants Fascicules sous couverture artistique, ÎO c. — 24 Pages de texte, ÎO c.
AVIS IMPORTANT. — Par exception, 5 c. partout le 1er Fascicule I. \ MI.Ï *I \ 1 D1XE
La publication des Œuvres cfÉmile Richebourg, le plus populaire des Romanciers modernes, s'adresse à tous!
Les Drames de la vie, romans vécus profondément dramatiques, toujours émouvants, ont rendu universelle la réputation du
célèbre écrivain.
Rien de plus saisissant que ces drames qui s'appellent : LA FILLE MAUDITE — L'ENFANT DU FAUBOURG — LA
DAME VOILÉE — ANDRÉA LA CHARMEUSE — LES DEUX BERCEAUX — DEUX MÈRES — LE FILS, etc., etc., etc.,
qui paraissent dès ce jour en très beaux fascicules de 24 pages (deux par semaine), et qui formeront de superbes volumes de bibliothèque
à la portée de tous pour la modique dépense de lO centimes deux fois par semaine.
La publication des Œuvres d'ÉMILE RICHEBOURG jommence par LA FILLE MAUDITE K G.
EXCEPTIONNELLEMENT CHEZ TOUS LES LIBRAIRES ET MARCHANDS DE JOURNAUX, LE 1er FASCICULE (24 PAGES SOUS BELLE COUVERTURE)
Jules ROUFF et C'% Éditeurs, Paris. Abonnement aux 10 premiers fascicules, envoyer 1 fr. 50 timbres ou mandat.
LE RIRE
N° 181
Nos Chers Souverains
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la droite, socialistes
ont posé devant lui,
sans le savoir, et lui
ont livré leurs secrets.
Et voyez comme, en
quelques traits, il sait
les camper :
Sous ce titre, M. Paul BOSQ, vient de publier une très curieuse Portrait de M. Bour-
et importante série de por- ge,0is .• ' p]„anlCi. radl"
traits'de nos hommes poli-
tiques, nos maîtres d hier, ensuite dans ,e ca^p
candidats d'aujourd'hui. Ce socialiste : il a dressé
sont, photographiés sur le sa tente au milieu des
vif, surpris dans le désha- bandes révolutionnai-
-billé de leurs natures, les rcs- 11 chausse main-
souverains élus et tous les tenant les ^bottes de
quatre ans revocables qui Deux motg gur M Baudin . <( Un certain nombre de jaloux insinuent mGme
tiennent uans leurs mains qu'il élève secrètement dans son pupitre des lapins qu'il pose ensuite au peuple. »
souvent débileslesortmeme Je m'arrête, car je les citerais toutes, ces deux cent soixante-dix pages où
de la France. l'on apprend beaucoup sur les hommes politiques de notre temps.
Sans aigreur, sans vio- jja très intéressante étude de M. Bosq sur « Nos Chers Souverains « qui
lence, mais avec une pointe appartient entièrement à la psychologie parlementaire que je cherche à dé-
d'ironie très aigui- terminer, à classer dans notre littérature contemporaine. L'œuvre, qui n'est
sée avec la philoso- Pas écrite pour tout le monde, qui ne
phie d'un Fi(,aro qui ressemble en rien à ces biographies
s'empresse de rire ba"ales> comme on en voit tr0P-
sseiupiesse ul ixics Ces portraits, quoique constituant
de tout pour _ ne des études individuelles, forment, au
pleurer de rien, demeurant, comme l'histoire du par-
M. PAUL BOSQ lementarisme moderne, aussi bien
. retrace,en des pages pour la droite et le centre que pour
n. Bourgeois. vivement enlevées les gauches de toutes nuances. Comme
l'histoire des divers partis qui ont four à tour gouverné la Repu- l'auteur manie la douce ironie, et com-
i ,• , h i r i j -t • * i - nie il a puise dans 1 étude des classi-
bln.ue, et rappelle les exploits de ces maîtres, qui nous sont chers ,e£ princi (lc la scicnce (lu
a plus d un titre et de si diverses manières. Lnlin LhAîsUKh a sons-entendu, de l'allusion à double
crayonné pour cet ouvrage ses plus spirituels dessins, et ce n'est entente ou détente! C'est une œuvre
pas un des moindres attraits de ce bien littéraire que cette étude de po-
volume tout de malice et d'esprit. J&^l litiqùe comparée! Quand on laisse le
Tous les grands journaux sans %- * d livre.il reste dans l'esprit autre chose
dictinction de parti, ont rendu > . " que le miroitement des projections
r ,, • , , ma vi- . H # .., Ttfii4 f d une lanterne magique. Pour la pro-
compte avec éloge, de cette mte- 4^;-- JÉféÊSBS^ chai ne législature, M. Paul Bosq
ressante série de biographies. X ^r^g^'^W lB*2Û devrail bien préparer un manuel du
Voici ce qu'en dit M. Cornély, ^^^^^^^ÊA bon député. (Le Soleil.)
dans le Matin : v< ' 'mSSS^- Notre distingué confrère M. Paul M. Jules Guesde.
On comprendra du premier coup qui . Jfc'ïÊki,' ' • V'-.. Bosq est un peintre do premier ordre,
sous la plume du spirituel chroniqueur ^^^fÊM^' ï£ ~*~ et qui excelle dans le portrait. Son dessin a la netteté de Ingres, et avec une
parlementaire qu'est M. Paul Bosq.il ne ffifj lWïfâ$ii&~ jVV* maestria incomparable, sa couleur prend tour à tour le velouté d'un pastel de
peut être ici question que des « chers sou- kff'ir^^B^X' La Tour ou la vigueur, que rien n'atténue, d'un Rembrandt. Je sais de lui plus
verains » du peuple souverain lui-même. af:-?'^iMËÈnL d'une de « leurs figures ». qu'on imagine volontiers dans le Salon carré, entre un
Aussi bien défilent sous nos yeux des Mll^/j&fflfflsMÈ^ fier Van Dyck et un noble et pur Raphaël, — a moins cependant qu'on ne ré-
portraits de députés, de sénateurs, cro- âÊ$W4ÊÊÊaÊ3*^ clame pour le modèle le musé.- des horreurs... Et, ayant lu d'un trait, relu et
qués sur le vif — c'est ici le cas de ^MMÉf savouré les quarante-deux portraits qui composent la série de Nos Chers Sou-
parler de la sorte — avec une pointe MÊÊÊÊBnSiÊÊË verains*ou la psychologie la plus pénétrante, en dépit d'une ironie continue,
d'ironie très aiguisée, il est vrai, mais tt®IÉÈKÈËÊ&ÊW s'allie toujours à la forme la plus châtiée, je me demande si M. Paul Bosq n'au-
peints aussi avec une profonde connais- MmÊlÊBËÊÊM rait pas droit aux honneurs de la cimaise, au Luxembourg, en attendant mieux?
sance du caractère des modèles. Il n'y a JÊWimÈSlÊÊ? _- Car. en vérité, je vous le dit, cet écrivain est un très grand peintre de par-
pas là que de la a blague » illustrée par w^ÊÊÊÊÉii^^î traits. (Le Gaulois.)
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vraiment psychologique, littéraire et po- WmMv f t-J^-O' _ riyuru,i^c ^«"u-'i , . » „ j ' _„
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On sent que M. Paul Bosq a fréquenté ticles aussi élogieux du livre de M. Bosq : « Nos Chers Souverains ».
ces souverains, qu'il les a entendus dis- M- Ribot- (1 vol. in-16 gr. col. Juven, éditeur : 3.50. Envoi franco c. mandat.)
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BISMARCK INTIME, par Jules Hoche, avec de nombreuses illustra- GUILLAUME II INTIME, par Maurice Leudet, avec de nombreux
lions d'après des documents authentiques. Couverture en couleurs, repro- portraits et illustrations d'après des originaux. Couverture en couleurs j
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C'est une troublante lecture que le BISMARCK INTIME de M. Jules Hoche, où nous Sous le titre « GUILLAUME II INTIME >, un des maîtres du reportage, M. Maurice Leudet
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qui sert de couverture au livre. la lecture do ce volume.
Les Drames de la Vie
ŒUVRES D'
EMILE RICHEBOURG
Magnifique Édition, lO c. — Élégants Fascicules sous couverture artistique, ÎO c. — 24 Pages de texte, ÎO c.
AVIS IMPORTANT. — Par exception, 5 c. partout le 1er Fascicule I. \ MI.Ï *I \ 1 D1XE
La publication des Œuvres cfÉmile Richebourg, le plus populaire des Romanciers modernes, s'adresse à tous!
Les Drames de la vie, romans vécus profondément dramatiques, toujours émouvants, ont rendu universelle la réputation du
célèbre écrivain.
Rien de plus saisissant que ces drames qui s'appellent : LA FILLE MAUDITE — L'ENFANT DU FAUBOURG — LA
DAME VOILÉE — ANDRÉA LA CHARMEUSE — LES DEUX BERCEAUX — DEUX MÈRES — LE FILS, etc., etc., etc.,
qui paraissent dès ce jour en très beaux fascicules de 24 pages (deux par semaine), et qui formeront de superbes volumes de bibliothèque
à la portée de tous pour la modique dépense de lO centimes deux fois par semaine.
La publication des Œuvres d'ÉMILE RICHEBOURG jommence par LA FILLE MAUDITE K G.
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Jules ROUFF et C'% Éditeurs, Paris. Abonnement aux 10 premiers fascicules, envoyer 1 fr. 50 timbres ou mandat.
Werk/Gegenstand/Objekt
Titel
Titel/Objekt
Avant les élections. Nos Chers Souverains
Weitere Titel/Paralleltitel
Serientitel
Le rire: journal humoristique
Sachbegriff/Objekttyp
Inschrift/Wasserzeichen
Aufbewahrung/Standort
Aufbewahrungsort/Standort (GND)
Inv. Nr./Signatur
G 3555 Folio RES
Objektbeschreibung
Maß-/Formatangaben
Auflage/Druckzustand
Werktitel/Werkverzeichnis
Herstellung/Entstehung
Künstler/Urheber/Hersteller (GND)
Entstehungsdatum
um 1898
Entstehungsdatum (normiert)
1893 - 1903
Entstehungsort (GND)
Auftrag
Publikation
Fund/Ausgrabung
Provenienz
Restaurierung
Sammlung Eingang
Ausstellung
Bearbeitung/Umgestaltung
Thema/Bildinhalt
Thema/Bildinhalt (GND)
Literaturangabe
Rechte am Objekt
Aufnahmen/Reproduktionen
Künstler/Urheber (GND)
Reproduktionstyp
Digitales Bild
Rechtsstatus
In Copyright (InC) / Urheberrechtsschutz
Creditline
Le rire, 4.1897-1898, No. 181 (23 Avril 1898), S. 14
Beziehungen
Erschließung
Lizenz
CC0 1.0 Public Domain Dedication
Rechteinhaber
Universitätsbibliothek Heidelberg