Le rire: journal humoristique (4.1897-1898 (Nr. 157-208))

L'EMBARQUEMEITT IDES O^^lENS POUR CY1

_

mm

mfmM'.

3 1»

.Vf

i

il

m

m

,4-

l

'«Dîj-aaaw-'

o^»« SS^SSî e„ÏÏ?nl d',ndï' ''^ "0 ^ diHK0 ''0r- StSTinST""8 C"C"mime r «r'W " BraSSCU" (BOb6Ue 01 PMl ^««"» ^ - ^ Cy™»^**^ , CoqueHn cada, ^ouJjeune et frais admire ™ »» „P'aa£ï aL,. R*ao o, ^««g^. - "«f ^'^^ ^J»»»"»"6 — a ^Z^t-XS^t^X

Iph^i,,;,^ n„,„„^,i„w„„n r. cnosirc. hrmcte Nr/cin et la Duse invites. Gostard s'ébattent gracieusement au milieu d«s nias son nftz. Son fil« P.hAri Sfi rAîn,,ï ^ la la «.â^ *. ia sminlPSRP. de. l'infatigable danseuse comme Victor Hugo, l'antithèse. partant pour la Corse, les oemt. pnoie, uinee la oarque. Litle Lich. avec sa orâce ineénue. pereonnifle di-

Le hasard lui a donné pour voisin de barque, G. Il constate que son « action dramatique » perd

Montorgucil, un des heureux auteurs de la Cloche un peu sur cette scène nouvelle.

du Rhin. Le gaillard n'a pas l'air de s'embêter

uioiuw "'«^i" vijuucuoc ci» riim wqueuu a si uien incarne uyrano qu n ne quitte ^oqueun caaei, toujours juuuo ^ a^^^.^ — ----- — x—------,

Gostard) s'ébattent gracieusement au milieu des plus son nez. Son fils chéri se réjouit de la gloire Ia grâce et la souplesse de l'infatigable danseuse comme Victor Hugo, l'antithèse,

flots (petit jeu déjà ancien, mais toujours agréable). paternelle et Rostand, le front ceint de lauriers, ^oderne, Cléo, étoile de la mer. Modestement,

Ils rient de la fraîcheur de l'eau. songe aux nouveaux qui l'attendent. \ ingénue Suzanne Reichenberg se mire dans les

flots.

Litle Lich, avec sa grâce ingénue, personnifie di-
gnement la superbe Albion.

Dessin de C. Léandre.