billets de logement
— Alors il raut que ché fous loche ? Qu'on vienne dire que nous sommes — Je suis l'enfant que vous vous obstinez à ne pas reconnaître,
bas badriodes ! Dessin d'A. Faivre. — Je vous reconnais bien. Dessin de G. Dei.aw.
EGHOS DU RÏRE r—\ Plusieurs noms sont déjà mis en avant
pour ce titre envié de prince des poètes.
, T ~ rt ,T È'\"" \ Quelqu'un de terrible a osé dire :
A la L. O.P. — \ ous pouvez rester cou- m iL^_ni ■ ■
i i , i * i T* *■ t~"v • i ■ i ■ i1 i o f, 1 u----=r — ^e prince ne sera jamais qu une sorte
verts, s est écrie M. Deroulede, a 1 ouverture r»"S sT\ P ^ i „ ' ... ,. J , -, . ».
, ,' i • ! i j • . £ \ \ ■ \ Kl'i r> de monarque constitutionnel ; il peut être ap
de la séance. Ici, les chapeaux deviennent te \__ i ; {, tt j„D' • •
des képis! ^eèazSr?? l^ïSOw! pele H. de Régnier, mais ne gouvernera pas
M. Faberot proteste.
Les messieurs qui ont conquis des poules
Après le miracle des chapeaux se muant /- iSfkM WLjf Hiez Richepin ont été condamnés à un mois
m?
subitement en képis, que peut encore bien f f WB~ \XjjsUL de prison par nos lois françaises,
exiger de notre costume l'ardent patriotisme ^4^J£l . , WiW lr Si RichePin était Espagnol, s'il avait brûlé
de M. Déroulède? v^^T liifi I I 11 sa dernière cartouche pour défendre ses
Est-ce maintenant à nos bretelles de deve- ^TV) Ë'H \ poules contre des ravisseurs, précisément ci-
nirépaulettes; ou à nos pantalons de se trans- yW Mj . Wl f L tovens de la libre Amérique, on peut supposer
former illico en vestes d'ordonnance? m W Siiwiïl-- U\ qu'accablé par le nombre, Richepin, malgré
S°it. ^è=> ^ ' I \ toute sa bravoure, ne serait sorti de l'aventuré
Mais que va encore dire M. Gérault-Richard? "^^2 \|=^= l' très détérioré et y aurait, de plus, laissé
ses poules.
Grande fureur de M. Gérau t-Richud ! u imanet, t ès Dans ce cas, une indemnité se trouvait due,
myope, a pris le chapeau de Gérault pour un képi. gang conteste) pour le préjUflice causé.
Indemnité payée par Richepin, bien en-
Prochainement, salle Wagram, aujourd'hui tendu,
désaffectée auxréunions contradictoires,quel- Voyez commission hispano-américaine,
qiies artistes et amateurs se proposent de don-
ner une série de représentations théâtrales.
On commencerait par le charmant proverbe
d'Alfred de Musset :
Il faut qu'une porte soit ouverte ou fermée.
Des voisins ont cru reconnaître Zola ren-
trant chez lui, rue de Bruxelles. Erreur,
paraît-il.
La victime de
cette ressemblance est M. Bru-
neau, le compositeur distingué et
collaborateur de Zola... pour la
musique.
L'enquête pour nommer un
prince des poètes est commen-
cée.
A ce sujet, l'on demandait au
gros X... :
— Quelle est la forme poétique
que vous préférez? „.,,,».„
— Que 1 ordre du brigadier de ser- T -i ' SALLE \\ AGRAM
vice, il n'est nonohstar.t pas d'empêcher ■Le Sonnet; il n y a que qua- _ Le patron consent bien à louer la salle, mais pour éviter le tumulta n'y tolérera qu'une
la réunion d'être contradictoire. torze vers. seule personne à la fois.
— Alors il raut que ché fous loche ? Qu'on vienne dire que nous sommes — Je suis l'enfant que vous vous obstinez à ne pas reconnaître,
bas badriodes ! Dessin d'A. Faivre. — Je vous reconnais bien. Dessin de G. Dei.aw.
EGHOS DU RÏRE r—\ Plusieurs noms sont déjà mis en avant
pour ce titre envié de prince des poètes.
, T ~ rt ,T È'\"" \ Quelqu'un de terrible a osé dire :
A la L. O.P. — \ ous pouvez rester cou- m iL^_ni ■ ■
i i , i * i T* *■ t~"v • i ■ i ■ i1 i o f, 1 u----=r — ^e prince ne sera jamais qu une sorte
verts, s est écrie M. Deroulede, a 1 ouverture r»"S sT\ P ^ i „ ' ... ,. J , -, . ».
, ,' i • ! i j • . £ \ \ ■ \ Kl'i r> de monarque constitutionnel ; il peut être ap
de la séance. Ici, les chapeaux deviennent te \__ i ; {, tt j„D' • •
des képis! ^eèazSr?? l^ïSOw! pele H. de Régnier, mais ne gouvernera pas
M. Faberot proteste.
Les messieurs qui ont conquis des poules
Après le miracle des chapeaux se muant /- iSfkM WLjf Hiez Richepin ont été condamnés à un mois
m?
subitement en képis, que peut encore bien f f WB~ \XjjsUL de prison par nos lois françaises,
exiger de notre costume l'ardent patriotisme ^4^J£l . , WiW lr Si RichePin était Espagnol, s'il avait brûlé
de M. Déroulède? v^^T liifi I I 11 sa dernière cartouche pour défendre ses
Est-ce maintenant à nos bretelles de deve- ^TV) Ë'H \ poules contre des ravisseurs, précisément ci-
nirépaulettes; ou à nos pantalons de se trans- yW Mj . Wl f L tovens de la libre Amérique, on peut supposer
former illico en vestes d'ordonnance? m W Siiwiïl-- U\ qu'accablé par le nombre, Richepin, malgré
S°it. ^è=> ^ ' I \ toute sa bravoure, ne serait sorti de l'aventuré
Mais que va encore dire M. Gérault-Richard? "^^2 \|=^= l' très détérioré et y aurait, de plus, laissé
ses poules.
Grande fureur de M. Gérau t-Richud ! u imanet, t ès Dans ce cas, une indemnité se trouvait due,
myope, a pris le chapeau de Gérault pour un képi. gang conteste) pour le préjUflice causé.
Indemnité payée par Richepin, bien en-
Prochainement, salle Wagram, aujourd'hui tendu,
désaffectée auxréunions contradictoires,quel- Voyez commission hispano-américaine,
qiies artistes et amateurs se proposent de don-
ner une série de représentations théâtrales.
On commencerait par le charmant proverbe
d'Alfred de Musset :
Il faut qu'une porte soit ouverte ou fermée.
Des voisins ont cru reconnaître Zola ren-
trant chez lui, rue de Bruxelles. Erreur,
paraît-il.
La victime de
cette ressemblance est M. Bru-
neau, le compositeur distingué et
collaborateur de Zola... pour la
musique.
L'enquête pour nommer un
prince des poètes est commen-
cée.
A ce sujet, l'on demandait au
gros X... :
— Quelle est la forme poétique
que vous préférez? „.,,,».„
— Que 1 ordre du brigadier de ser- T -i ' SALLE \\ AGRAM
vice, il n'est nonohstar.t pas d'empêcher ■Le Sonnet; il n y a que qua- _ Le patron consent bien à louer la salle, mais pour éviter le tumulta n'y tolérera qu'une
la réunion d'être contradictoire. torze vers. seule personne à la fois.
Werk/Gegenstand/Objekt
Titel
Titel/Objekt
Le rire: journal humoristique
Sachbegriff/Objekttyp
Inschrift/Wasserzeichen
Aufbewahrung/Standort
Aufbewahrungsort/Standort (GND)
Inv. Nr./Signatur
G 3555 Folio RES
Objektbeschreibung
Maß-/Formatangaben
Auflage/Druckzustand
Werktitel/Werkverzeichnis
Herstellung/Entstehung
Künstler/Urheber/Hersteller (GND)
Entstehungsdatum
um 1898
Entstehungsdatum (normiert)
1893 - 1903
Entstehungsort (GND)
Auftrag
Publikation
Fund/Ausgrabung
Provenienz
Restaurierung
Sammlung Eingang
Ausstellung
Bearbeitung/Umgestaltung
Thema/Bildinhalt
Thema/Bildinhalt (GND)
Literaturangabe
Rechte am Objekt
Aufnahmen/Reproduktionen
Künstler/Urheber (GND)
Reproduktionstyp
Digitales Bild
Rechtsstatus
In Copyright (InC) / Urheberrechtsschutz
Creditline
Le rire, 4.1897-1898, No. 206 (15 Octobre 1898), S. 4
Beziehungen
Erschließung
Lizenz
CC0 1.0 Public Domain Dedication
Rechteinhaber
Universitätsbibliothek Heidelberg