L e t r i k é
i t6
D E L R E .
XLVI.
à Potzdam oe i Septembre i
J© connois si bien les maux dont vous
vous plaignez, s en aî été incornrnodé si
longtems, que c’ est moins moi que F ex»
perîence quî vous parîe par ma bouche.
Ce n5est point une maladie dangereuseo
Le principe en est un sang acre et épais-
sî qui circulant mal s’ arrête dans les pe-
tites veines du bas ventre, où , comme
vous le savez, la circulation est naturelle-
ment plus lente que dans les autres par-
ties du corps. Cette arrêtation cause des
constrictions dans les boyaux qui, au lieu
de faire leur mouvement vermiculaire, s©
resserrent en difsérentes parties, arrêtent
les vents, pressent et soulevent le dia»
phragme, et causent ies anxiétés dont vous
yous pîaignez. Les eaux de Seltzer ne snn£
pas sufsisantes pour y apporter un reméd©
sufsisant. II laudra que yous en venie^
aux
i t6
D E L R E .
XLVI.
à Potzdam oe i Septembre i
J© connois si bien les maux dont vous
vous plaignez, s en aî été incornrnodé si
longtems, que c’ est moins moi que F ex»
perîence quî vous parîe par ma bouche.
Ce n5est point une maladie dangereuseo
Le principe en est un sang acre et épais-
sî qui circulant mal s’ arrête dans les pe-
tites veines du bas ventre, où , comme
vous le savez, la circulation est naturelle-
ment plus lente que dans les autres par-
ties du corps. Cette arrêtation cause des
constrictions dans les boyaux qui, au lieu
de faire leur mouvement vermiculaire, s©
resserrent en difsérentes parties, arrêtent
les vents, pressent et soulevent le dia»
phragme, et causent ies anxiétés dont vous
yous pîaignez. Les eaux de Seltzer ne snn£
pas sufsisantes pour y apporter un reméd©
sufsisant. II laudra que yous en venie^
aux