I N E D ï T E ,
au public. Vcms connoissez Mikon dans
sa langue ; je ne sais si vous reprouverez
les changemens que j’ ai faits à son Poë-
me dans la mienne . Je serois fort fiattée
de mériter votre sufsrage ; il me mettroit
en credit dans la cour spirituelle ou vous
Irrülez , et me donneroit bonne opinion de
ines foibles talents, que mes compatriotes ont
bien voulu flatter de leur approbation . J’
gi 1’ honneur d’ être , monsieur , etc,
0*0*0*0*0+0*0*0*0*0 + 0*0#
D E L C O N T E
ALGAJtOTTI
II.
Berlin i5 Fevrier 1749-
M r. Girard marchand français rn’ a re>
anis ces jours passez votre Milton et votre
lettre . Jamais, rnadame, il n’est rien sor-
ti de plus beau de chez-lui. Je suis péné-
îpé <le recojanoissance pour l’nne, et d’
admi-
au public. Vcms connoissez Mikon dans
sa langue ; je ne sais si vous reprouverez
les changemens que j’ ai faits à son Poë-
me dans la mienne . Je serois fort fiattée
de mériter votre sufsrage ; il me mettroit
en credit dans la cour spirituelle ou vous
Irrülez , et me donneroit bonne opinion de
ines foibles talents, que mes compatriotes ont
bien voulu flatter de leur approbation . J’
gi 1’ honneur d’ être , monsieur , etc,
0*0*0*0*0+0*0*0*0*0 + 0*0#
D E L C O N T E
ALGAJtOTTI
II.
Berlin i5 Fevrier 1749-
M r. Girard marchand français rn’ a re>
anis ces jours passez votre Milton et votre
lettre . Jamais, rnadame, il n’est rien sor-
ti de plus beau de chez-lui. Je suis péné-
îpé <le recojanoissance pour l’nne, et d’
admi-