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FRAGMENTS DES VIES DE PAKHÔME ET DE THÉODORE

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duit vers lui et, après qu'il eut finit de lui parler au sujet des frères qu'il avait
séparés, il le supplia, disant : « Je veux que tu te lèves, que nous allions à la
porte 1 à cause de cette chose nécessaire. » Mais lui, il se leva, il le suivit, ils
sortirent et ils s'assirent, ils parlèrent l'un avec l'autre. Mais la femme vint
par derrière dans une grande foi; lorsqu'elle eut seulement touché ses vête-
ments, sur l'heure elle fut guérie; mais l'homme de Dieu apa Pakhôme fut
attristé de la chose jusqu'à la mort, car en tout temps il ne voulait pas être
glorifié par les hommes.

Il y avait un petit couvent au sud de Tabennisé, environ à deux milles : le
père de ce couvent venait une foule de lois vers notre père Pakhôme, parce
qu'il était son ami, et les paroles de Dieu qu'il entendait de lui, il les disait
aussi à ses moines afin qu'ils apprissent aussi les lois de Dieu. Et il arriva,
lorsqu'un frère de son couvent lui eut demandé une charge2, qu'il lui dit :
« Notre père Pakhôme nous a ordonné de ne pas le faire, parce que tu n'es
pas encore digne de cette charge. » Mais celui-là, il se mit en colère, il l'en-
traîna, disant : « Viens, allons vers lui, afin qu'il m'établisse la chose. » Et le

t. Mot à mot : Au lieu de la porte. —

2. Mot à mot : Quelque chose de grandeur.
 
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