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E. AMÉLINEAU

iieuja<pe nesoTe ïm^eneeTe eTiuixt^'y •xoovco'y uj^poq AAnjs.TOTrjs.dv'Y iuuuottis.-

Dçoc..........KôwTev Tir^p^o^eAià. a*.ne«eja)T ïVà.iRis.ioc OTimoiioïi *2se îi^evte-

€tc eTgHit epoq îtetreipe axxsloc isWis. neros-ny on jj.AA.oq iieujevT&uiR on tu^poq
if.gfc.g_ ucon îicecyxifeo-yAe-ye KAAAAfcq eT&e tteir^pffc.l. îrrepeqccoTAA -xe eitfct
nc^i n(coti?) itTn fcitfc ■eecxcopoc (sic exit).

XV

(-cn^-) fcTUi2 «eq'XïOïRei îmecîtH'Y an gto& ïuslx eTo-ysîtoy AAUoq epoo-y RfcTfc
KCTTTCAiuj. tiTepeqeume *2k.e se ujfcpe îtecttHy 1W>r epfcROTe irre pojutne eTAAAAfc'y
eT&e n^jut nujme AAnfc.p__xMenicROnoc fcirco eT&e Te_)£peifc. mfecïtH'y eTujccme
^qo.o?TTe eoeo^copoc fcq-xooTq aar gen necKH'y eT&e TxifcROïfeifc 5 ite{e)ïteeTe
efcqcgfcf îtfcq ttOTenicTo"\H ujfc n^p^ienicRonoc eT&e r^aa nujme AAnenetioT
fc-yoo AAnncuic fc.qfccnfc'çe ïioeo^capoc jliw nei-nAAAAfcq necsfcq nfcq <s.e ujme
eneiaiT nTmcTfc Tonoy mtw -^-ujme on epiOTn sse noWfcRïc ennfcitfc'y enenepH-y

moines, les pères de ces couvents les envoyaient vers lui avant de les avoir
faits moines..........selon la promesse de notre père juste; et non seule-
ment les couvents qui étaient près de nous agissaient de la sorte; mais encore
ceux qui étaient éloignés allaient aussi vers lui une foule de fois pour se con-
sulter avec lui sur leurs besoins. Lorsque le frère eut appris cela de Théodore
(sic exit).

XV

.....et il dirigeait les frères en toute chose sur lesquelles ils l'interro-
geaient selon leur règle. Lorsqu'il sut que les frères allaient à Rakoti cette
année-là pour visiter l'archevêque et pour le besoin des frères malades, il
appela Théodore, il l'envoya avec d'autres frères pour le service du couvent,
lui ayant écrit une lettre à l'archevêque au sujet de la visite de notre père. Et
ensuite il baisa Théodore et ceux qui étaient avec lui, il lui dit : « Salue beau-
coup le père de la foi et je vous salue aussi, car sans doute4 nous nous

i. Lisez : ne-fr^pei^. — 2. Ce fragment est pris de Mingarelli, ALgyptiorum codicum reliques, p. CLI.
Je ne ferai pas remarquer les différences que ma traduction présentera avec celles de cet auteur qui a bien
mérité de la science pour son époque. — 3. Lisez : T^^KOrtijk. —1 4. Ce passage paraissait fautif à Min-
garelli qui croyait que le scribe avait dû passer quelque chose; en réalité il est fort explicable, si l'on
donne au mot iioAAô.kic le sens que je lui ai donné, sens qu'il n'a pas d'ordinaire.
 
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