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566

E. AMÉL1NEAU

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moitié de la nuit. Mais le matin de ce jour-là, le préfet réunit tous ses grands,
il parla avec eux ainsi : « J'ai vu de grands troubles cette nuit, de sorte qu'un
peu plus on emmenait mon âme. Maintenant je me suis dit : Peut-être ceci
m'est-il arrivé à cause de la barque des hommes de Tabennîsi que j'ai arrêtée ;
courez en hâte, relâchez-la leur, car ce sont des hommes de Dieu. » Sur l'heure
les serviteurs du préfet sortirent, courant les uns derrière les autres, ils prirent
leur bénédiction, ils relâchèrent leur barque. Apa Théodore se tourna, il dit
aux frères : « Voyez la bonté de Dieu, dans la manière qu'il nous a fait
cette grande faveur, car ce n'est pas à cause de notre justice qu'il nous a fait
cela, mais à cause de notre père le juste qui est allé vers Dieu et à cause des
prières de notre père saint qui est en ce temps au milieu de nous, apa Pétro-
nios, (qui est) vraiment l'homme où il n'y a pas de ruse. » xVIais les frères
admirèrent la foi de notre père Théodore envers Dieu et sa liberté parfaite en
toute bonne chose, et ils naviguèrent vers le Nord sur leur barque. Lorsqu'ils
furent arrivés à la montagne de Tilodj, ils s'informèrent du bienheureux apa
Antoine, l'anachorète; on leur annonça qu'il était dans son monastère qui se
trouve dans la montagne extérieure1, couché, malade. Sur-le-champ, ils firent

i. C'est-à-dire : Le côté de la montagne qui se trouvait en face de la terre cultivée.
 
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