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FRAGMENTS DE LA VIE DE JEAN DE LYCOPOLIS

66 l

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ujwiif nepe nut^K^pioc iu>o&.nttHC ^gep^Tq equj'xhtv eic OTTK<Voo'A.e iioTOfiu

le ferai. » Aussitôt donc, ii écrivit au roi de cette manière : « Mon seigneur
le roi pieux, vis à jamais. Je suis monté en Egypte pour perdre la ville de
Siout, ainsi que tu m'avais ordonné. J'ai trouvé le bienheureux Jean qui vous
exhorte à ne point perdre la ville pour ce qu'elle a fait. Je vous écris donc pour
informer votre seigneurie, mon seigneur le roi qui aimez le Christ. » Il lui
écrivit encore au sujet de la guérison de son fils et des autres prodiges qu'il
avait vus par la main du bienheureux Jean le prophète saint, et des autres
nombreuses guérisons qui avaient lieu par lui. « Et cette lettre que j'ai écrite
pendant que je suis dans le désert près de lui, » car c'était la huitième du jour
et le reste des paroles qu'il écrivit : « Voici que je l'ai scellée de mon anneau,
et de l'anneau du duc, de celui du gouverneur de la Thébaïde, et des autres
grands de l'armée qui sont avec moi. Porte-toi bien dans le Seigneur, mon
seigneur le roi qui aimes Dieu. » Mais il donna la lettre au bienheureux Jean.
Le bienheureux lui dit : « Mon fils, va à la ville, repose-toi jusqu'à demain
matin, afin que vous montiez de nouveau ici. » Mais eux, ils le quittèrent en
paix. Quand le soir fut, comme le bienheureux Jean se tenait debout, priant,
voici qu'une nuée lumineuse vint vers lui dans laquelle il y avait une grande

t. Lisez : *."yei.
 
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