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Lettre au Président de la Société Archéologique sur
des inscriptions romaines recueillies en traversant
l'Aurès, de Batna a Biskra.
Monsieur,
Je vous prie de transmettre à la Société archéologique,
dans sa prochaine séance, mes remerciements pour l'hon-
neur qu'elle m'a fait en me nommant au nombre de ses
membres correspondants. Je vous prie en même temps
de l'assurer que je m'appliquerai dorénavant, plus en-
core que par le passé, à étudier les vestiges des temps
antiques, dans les contrées que je suis appelé à parcou-
rir ; je tâcherai ainsi de mériter la confiance qui m'est
accordée, car je ne puis considérer aujourd'hui ma
nomination que comme un encouragement.
Je suis heureux de pouvoir envoyer dés à présent,
une part du petit tribut que je dois aux travaux com-
muns de la Société. Ce sont plusieurs inscriptions latines
que je viens de relever dans l'Aurès et dont sept, je crois,
sont inédiles. Lors de mon passage à Batna, M. Lenoble,
chef du bureau arabe, qui connaît à fond l'Aurès, eut la
bonté d'appeler mon attention sur des inscriptions que
M. le capitaine Payen avait reconnues à Mena'a dans une
course rapide, mais qu'il n'avait pas eu le temps de
copier.
Lettre au Président de la Société Archéologique sur
des inscriptions romaines recueillies en traversant
l'Aurès, de Batna a Biskra.
Monsieur,
Je vous prie de transmettre à la Société archéologique,
dans sa prochaine séance, mes remerciements pour l'hon-
neur qu'elle m'a fait en me nommant au nombre de ses
membres correspondants. Je vous prie en même temps
de l'assurer que je m'appliquerai dorénavant, plus en-
core que par le passé, à étudier les vestiges des temps
antiques, dans les contrées que je suis appelé à parcou-
rir ; je tâcherai ainsi de mériter la confiance qui m'est
accordée, car je ne puis considérer aujourd'hui ma
nomination que comme un encouragement.
Je suis heureux de pouvoir envoyer dés à présent,
une part du petit tribut que je dois aux travaux com-
muns de la Société. Ce sont plusieurs inscriptions latines
que je viens de relever dans l'Aurès et dont sept, je crois,
sont inédiles. Lors de mon passage à Batna, M. Lenoble,
chef du bureau arabe, qui connaît à fond l'Aurès, eut la
bonté d'appeler mon attention sur des inscriptions que
M. le capitaine Payen avait reconnues à Mena'a dans une
course rapide, mais qu'il n'avait pas eu le temps de
copier.