M
mètre de hauteur, sans compter la moulure du fronton.
On y lit en beaux caractères :
N° U.
ioyi
SILVANO
SACRVM
À huit kilomètres, dans la même direction, sont situées
les ruines de Sedjar,1 où le docteur L. Leclerc a copié
l'inscription que voici :
N° 65.
CAVBAYGPROSALVTE
P.PNOSTRISALMCOR
NELIVS MAR
TISCASD. EM
. Une autre ruine, la ferme d'Aïn-Guidjaou, qui est
plus rapprochée du pénitencier, ainsi qu'il a été démontré
au commencement de la Drésente notice, a produit trois
monuments épigraphiques, dont le plus important est
une colonne milliaire remontant à l'empereur Galère
(Voir le n° 46). Le second est une épitaplie latine ainsi
conçue :
l On désigne sous le nom de Sedjar «les arbres, » une vallée remplie
de ruines, où paraissent encore les restes d'un foi t byzantin. Quelques^per-
sonnes ont imaginé d'établir un rapprochement entre ce nom et celui de
Saddar.
mètre de hauteur, sans compter la moulure du fronton.
On y lit en beaux caractères :
N° U.
ioyi
SILVANO
SACRVM
À huit kilomètres, dans la même direction, sont situées
les ruines de Sedjar,1 où le docteur L. Leclerc a copié
l'inscription que voici :
N° 65.
CAVBAYGPROSALVTE
P.PNOSTRISALMCOR
NELIVS MAR
TISCASD. EM
. Une autre ruine, la ferme d'Aïn-Guidjaou, qui est
plus rapprochée du pénitencier, ainsi qu'il a été démontré
au commencement de la Drésente notice, a produit trois
monuments épigraphiques, dont le plus important est
une colonne milliaire remontant à l'empereur Galère
(Voir le n° 46). Le second est une épitaplie latine ainsi
conçue :
l On désigne sous le nom de Sedjar «les arbres, » une vallée remplie
de ruines, où paraissent encore les restes d'un foi t byzantin. Quelques^per-
sonnes ont imaginé d'établir un rapprochement entre ce nom et celui de
Saddar.