DOI article:
Les nouveaux établissements de Vichy
DOI Page / Citation link: https://doi.org/10.11588/diglit.34208#0030
LES NOUVEAUX ÉTABLISSEMENTS DE VICHY
LeTuHYozz Y'/rrùzmf/zezYt-
pùe, l'/zzxfzÙzzftfemuxMge ont
leur place déterminée ; et en
face de la grande entrée du
Hall Central, on accède au Sez*-
vz'ce Y/zjmVof/zéz'gpA xpAczu/e,
dirigé par le Docteur Lejeune,
auquel succède le pavillon de
la Azecuztof/zezmjtze, ou 1 on a
su mettre une note décorative
très particulière.
Au premier étage, le service
des douches et rAhmfz'of/zéz'upz'e
répandent le même charme de
lumière et de gaieté. Dans les
appartements mêmes réservés
au Docteur Lejeune, au fond
de haile gauche, des décora-
tions de paysages, peintes par
M. DezzAe, sont à signaler.
Les dépendances de l'Éta-
blissement, réservées aux pom-
pes , aux chaudières et aux
réservoirs situés dans deux for-
tes tours, présentent un en-
semble d'architecture très pit-
toresque, avec des notes bleues
qui se retrouvent sur les dômes,
les couronnements, les toitures,
établissant partout un rappel
avec les tons de la céramique.
L'ancien Casino a été trans-
formé par l'adjonction de ma- RUDNicKt ET sr
jestueuses terrasses s'avançant
sur les jardins, et la construc-
tion d'une galerie, longeant le côté gauche
et aménagée en salles de café. Les parois
sont revêtues de faïences de Sarreguemines,
à décor de rosiers formant panneaux et
se poursuivant en frises.
En pénétrant de ce côté-là, on traverse
un porche décoré par AzzùzzAArz de lyres et
de branches d'églantine. Des Heurs d'églan-
tines, remplaçant les chapiteaux, se retrouvent
modelées au sommet des colonnements. On
longe ensuite le vestibule sur lequel s'ouvrent
à droite la Salle des Fêtes et le Salon de
Lecture, qui font partie des anciens aména-
gements ; puis on arrive à la partie neuve,
étroitement raccordée à l'ancienne.
On pénètre d'abord dans la Gz*uzzùe
Gu/ez'A donnant sur la terrasse. La décoration
en relief des murs et des tympans, inspirée
CUIN D<?C07T7?707Z zA p07*A, <3Z7 C<7-$;7ZO
d'iris, de nénuphars et de rocaiiles, laisse
percer à travers l'esprit moderne un rappel
du style Louis XV. Il fallait bien opérer
une transition entre le Louis XIV de la
salle des fêtes et la très personnelle conception
de la salle de jeu ou de la salle de spectacle.
Le Gz*uzzù Efu//, auquel cette galerie
donne accès, nous offre encore un Louis XV
tempéré. Il faut remarquer les motifs de
roses bordant les arcades des balcons, et
l'éclairage disposé dans les rosaces du pla-
fond. Ce grand Hall sert à la fois de foyer
au Théâtre et de vestibule aux salons du
Casino. Tandis que par la droite, en effet,
on est conduit à la salle de spectacle, on
communique au fond avec le Gu/ozz ù<? Coz-
z*eypozzùuzzce, sobrement et élégamment meu-
blé de chêne, où l'on voit des dessus de portes,
LeTuHYozz Y'/rrùzmf/zezYt-
pùe, l'/zzxfzÙzzftfemuxMge ont
leur place déterminée ; et en
face de la grande entrée du
Hall Central, on accède au Sez*-
vz'ce Y/zjmVof/zéz'gpA xpAczu/e,
dirigé par le Docteur Lejeune,
auquel succède le pavillon de
la Azecuztof/zezmjtze, ou 1 on a
su mettre une note décorative
très particulière.
Au premier étage, le service
des douches et rAhmfz'of/zéz'upz'e
répandent le même charme de
lumière et de gaieté. Dans les
appartements mêmes réservés
au Docteur Lejeune, au fond
de haile gauche, des décora-
tions de paysages, peintes par
M. DezzAe, sont à signaler.
Les dépendances de l'Éta-
blissement, réservées aux pom-
pes , aux chaudières et aux
réservoirs situés dans deux for-
tes tours, présentent un en-
semble d'architecture très pit-
toresque, avec des notes bleues
qui se retrouvent sur les dômes,
les couronnements, les toitures,
établissant partout un rappel
avec les tons de la céramique.
L'ancien Casino a été trans-
formé par l'adjonction de ma- RUDNicKt ET sr
jestueuses terrasses s'avançant
sur les jardins, et la construc-
tion d'une galerie, longeant le côté gauche
et aménagée en salles de café. Les parois
sont revêtues de faïences de Sarreguemines,
à décor de rosiers formant panneaux et
se poursuivant en frises.
En pénétrant de ce côté-là, on traverse
un porche décoré par AzzùzzAArz de lyres et
de branches d'églantine. Des Heurs d'églan-
tines, remplaçant les chapiteaux, se retrouvent
modelées au sommet des colonnements. On
longe ensuite le vestibule sur lequel s'ouvrent
à droite la Salle des Fêtes et le Salon de
Lecture, qui font partie des anciens aména-
gements ; puis on arrive à la partie neuve,
étroitement raccordée à l'ancienne.
On pénètre d'abord dans la Gz*uzzùe
Gu/ez'A donnant sur la terrasse. La décoration
en relief des murs et des tympans, inspirée
CUIN D<?C07T7?707Z zA p07*A, <3Z7 C<7-$;7ZO
d'iris, de nénuphars et de rocaiiles, laisse
percer à travers l'esprit moderne un rappel
du style Louis XV. Il fallait bien opérer
une transition entre le Louis XIV de la
salle des fêtes et la très personnelle conception
de la salle de jeu ou de la salle de spectacle.
Le Gz*uzzù Efu//, auquel cette galerie
donne accès, nous offre encore un Louis XV
tempéré. Il faut remarquer les motifs de
roses bordant les arcades des balcons, et
l'éclairage disposé dans les rosaces du pla-
fond. Ce grand Hall sert à la fois de foyer
au Théâtre et de vestibule aux salons du
Casino. Tandis que par la droite, en effet,
on est conduit à la salle de spectacle, on
communique au fond avec le Gu/ozz ù<? Coz-
z*eypozzùuzzce, sobrement et élégamment meu-
blé de chêne, où l'on voit des dessus de portes,