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Exposition de Bayonne-Biarritz
DOI Seite / Zitierlink: https://doi.org/10.11588/diglit.34208#0208
L'ART DÉCORATIF
Certes, j'aurais voulu y rencontrer des
Carrière, des Besnard, des Monet, des
Pissaro, des Henri Martin. Iis auraient ap-
porté dans l'ensemble la franchise de leur
talent et la nouveauté de leurs tendances.
Mais il ne faut pas trop exiger d'une pre-
mière tentative.
Passons à l'examen des toiles. Citons
d abord M. Bonnat, le doyen de l'école
cères et pénétrantes. Citons Lu zzzozzfugzze
Lex ?roA cozzzmzzzzeA, si lumineuse et si
vivante ; LeY jzezzj^/zez'A, temps gris du pays
où l'on perçoit l'humidité des prés; le
Luz'gzzzmu, grand panneau où l'air circule.
Gabriel Roby est le vrai peintre basque.
Bergès envoie plusieurs toiles intéres-
santes. Son talent est alerte et facile; on y
voudrait un peu plus de profondeur et de
M"" GARAY ù
bayonnaise, qui expose le portrait de
M*'" Bréval; M. Bordes avec les portraits des
hiles de Gainsborough; MM.Saint-Germier,
Chrétien, Guinier, les Laurens, Jolyet,
Ribera, Henri Royer, Saubès.
H. Caro-Delvaille, le portraitiste précis
et délicat de la femme d'aujourd'hui, dont
toute œuvre affirme un effort nouveau vers
la solidité et la franchise de facture, est
fort bien représenté par le LozL/'UzL Le
rWuLuzzze C.-D., d'un souple mouvement de
marche.
Gabriel Roby est un paysagiste du pays
basque; son envoi compte parmi les plus
intéressants de l'exposition. L'odeur du pays
se dégage, forte et saine, de ses toiles sin-
volonté, mais l'intelligence et le goût de ses
compositions, joints à ses dons naturels,
rendent son œuvre très sympathique. A
noter Lu CuzvzzezzezLu, le LozLz*uzL Le LLu-
Luzzze C..., LLLe/te ù e/zeru/.
Etcheverry expose un portrait de jeune
homme, d'une cuisine un peu vieillotte et
chorégraphique, mais d'un équilibre bien
établi, de volumes bien distribués. Il se
montre sous un jour beaucoup plus sincère
dans une ravissante petite étude intitulée
Lu jDug*e, vivante et spontanée.
Henri Zo envoie une série de toiles
parmi lesquelles je tiens à signaler le Lozzf
Le Auzz Afu7*/77zo i?LLéLeh où sa personnalité
se retrouve.
Certes, j'aurais voulu y rencontrer des
Carrière, des Besnard, des Monet, des
Pissaro, des Henri Martin. Iis auraient ap-
porté dans l'ensemble la franchise de leur
talent et la nouveauté de leurs tendances.
Mais il ne faut pas trop exiger d'une pre-
mière tentative.
Passons à l'examen des toiles. Citons
d abord M. Bonnat, le doyen de l'école
cères et pénétrantes. Citons Lu zzzozzfugzze
Lex ?roA cozzzmzzzzeA, si lumineuse et si
vivante ; LeY jzezzj^/zez'A, temps gris du pays
où l'on perçoit l'humidité des prés; le
Luz'gzzzmu, grand panneau où l'air circule.
Gabriel Roby est le vrai peintre basque.
Bergès envoie plusieurs toiles intéres-
santes. Son talent est alerte et facile; on y
voudrait un peu plus de profondeur et de
M"" GARAY ù
bayonnaise, qui expose le portrait de
M*'" Bréval; M. Bordes avec les portraits des
hiles de Gainsborough; MM.Saint-Germier,
Chrétien, Guinier, les Laurens, Jolyet,
Ribera, Henri Royer, Saubès.
H. Caro-Delvaille, le portraitiste précis
et délicat de la femme d'aujourd'hui, dont
toute œuvre affirme un effort nouveau vers
la solidité et la franchise de facture, est
fort bien représenté par le LozL/'UzL Le
rWuLuzzze C.-D., d'un souple mouvement de
marche.
Gabriel Roby est un paysagiste du pays
basque; son envoi compte parmi les plus
intéressants de l'exposition. L'odeur du pays
se dégage, forte et saine, de ses toiles sin-
volonté, mais l'intelligence et le goût de ses
compositions, joints à ses dons naturels,
rendent son œuvre très sympathique. A
noter Lu CuzvzzezzezLu, le LozLz*uzL Le LLu-
Luzzze C..., LLLe/te ù e/zeru/.
Etcheverry expose un portrait de jeune
homme, d'une cuisine un peu vieillotte et
chorégraphique, mais d'un équilibre bien
établi, de volumes bien distribués. Il se
montre sous un jour beaucoup plus sincère
dans une ravissante petite étude intitulée
Lu jDug*e, vivante et spontanée.
Henri Zo envoie une série de toiles
parmi lesquelles je tiens à signaler le Lozzf
Le Auzz Afu7*/77zo i?LLéLeh où sa personnalité
se retrouve.