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Rambosson, Yvanhoé: La sculpture au Salon: (Société des Artistes Française)
DOI Seite / Zitierlink: https://doi.org/10.11588/diglit.36675#0052
ITART DÉCORATIF
J. KRATINA
spirituel croquis. Ce sont aussi des croquis,
avec tout ce que l'illustrateur peut mettre
d'alerte et de primesautier au bout de son
crayon rapide, que M. Silva Gouveia a ins-
crit dans ses cires perdues. A la caractéris-
tique statuette de femme assise, en robe de
bal, campée par M. Delagrange dans une
pose élégante , j'ajouterai une figurine de
M. Van der Straeten et le aG /u
de AfurcAe/zu par M. Verlet, qui a
su traiter les mousselines de soie de la robe
Z,<? Secret
avec une habileté qui sait négliger
le détail en l'indiquant. Par le
même artiste, il faut voir un buste
rempli de charme: Au Cozzzte^e
de Cru77??7z07zt.
Et ainsi nous sommes ame-
nés à faire une excursion parmi
les innombrables bustes qui cer-
nent les massifs de verdure d'un
rempart grimaçant. Cependant
parmi ces centaines de visages
quelques-uns savent nous attirer
par leur expressivité ou par leur
grâce. Dans cette dernière caté-
gorie se placent : le -SLzmeL jolies
confidences chuchotées par deux
bouches féminines et que M. Kra-
tina nous convie à écouter; les
To7A7'uz'AdeAZ^"Af.... g^A.A....
par André d'Houdain, mort ré-
cemment. Une douceur fluide en-
veloppe ces deux figures de jeunes filles, une
mélancolie voile leurs faces auxquelles la
pénombre bien répartie donne la pénétrante
qualité du mystère.
J'admire toujours le parti que M. Louis
Guigues sait tirer de la matière. Son TVoc-
?zz7*7zè est une nouvelle preuve de son adresse
dans cet ordre d'idées. Le bois en est
somptueux et profond comme le crépuscule
qu'il évoque.
YvANHOÉ RAMBOSSON
O. WALDMANN A'U3M?*p<2teM7* rqp*<3/ ; /?07! Cf 7770M/U7?
(Grès Émit: MuHer)
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J. KRATINA
spirituel croquis. Ce sont aussi des croquis,
avec tout ce que l'illustrateur peut mettre
d'alerte et de primesautier au bout de son
crayon rapide, que M. Silva Gouveia a ins-
crit dans ses cires perdues. A la caractéris-
tique statuette de femme assise, en robe de
bal, campée par M. Delagrange dans une
pose élégante , j'ajouterai une figurine de
M. Van der Straeten et le aG /u
de AfurcAe/zu par M. Verlet, qui a
su traiter les mousselines de soie de la robe
Z,<? Secret
avec une habileté qui sait négliger
le détail en l'indiquant. Par le
même artiste, il faut voir un buste
rempli de charme: Au Cozzzte^e
de Cru77??7z07zt.
Et ainsi nous sommes ame-
nés à faire une excursion parmi
les innombrables bustes qui cer-
nent les massifs de verdure d'un
rempart grimaçant. Cependant
parmi ces centaines de visages
quelques-uns savent nous attirer
par leur expressivité ou par leur
grâce. Dans cette dernière caté-
gorie se placent : le -SLzmeL jolies
confidences chuchotées par deux
bouches féminines et que M. Kra-
tina nous convie à écouter; les
To7A7'uz'AdeAZ^"Af.... g^A.A....
par André d'Houdain, mort ré-
cemment. Une douceur fluide en-
veloppe ces deux figures de jeunes filles, une
mélancolie voile leurs faces auxquelles la
pénombre bien répartie donne la pénétrante
qualité du mystère.
J'admire toujours le parti que M. Louis
Guigues sait tirer de la matière. Son TVoc-
?zz7*7zè est une nouvelle preuve de son adresse
dans cet ordre d'idées. Le bois en est
somptueux et profond comme le crépuscule
qu'il évoque.
YvANHOÉ RAMBOSSON
O. WALDMANN A'U3M?*p<2teM7* rqp*<3/ ; /?07! Cf 7770M/U7?
(Grès Émit: MuHer)
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