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Copeau, Jacques: Sorolla y Bastida
DOI Seite / Zitierlink:https://doi.org/10.11588/diglit.36451#0103
SOROLLA Y BASTIDA
A^ezzz*y, l'A^//e -yozzx /ex /u;zzz'/ez*x-z*oxex, te
C/zez*c/zezzz* afe zzzozz/ex, Afex ezz/hzz/x ezz cox-
/zzz??e <ie En/ezzce ùfzz YT77A x/èc/e — cette
dernière l'une des toites ies plus récentes
et, à cet égard, les plus significatives — et
enfin tous les tableaux sur lesquels semble
porter un effort définitif, ne sont que des
dispersée dans son oeuvre sans que jamais
les impressions ne s'organisent autour d'un
point lucide, sans qu'elles se coordonnent
en une synthèse originale. L'observateur
n'obéit qu'à l'instinct d'augmenter sa fami-
liarité avec les choses. A mesure qu'il se
perfectionne, dans tous les sens à la fois,
Porfraz? So7*o//<3
études aux vastes proportions. D'incontes-
tables qualités picturales s'y attestent. On
voudrait que s'y résumât nettement la per-
sonnalité d'un artiste et le résultat d'une
CZZ//ZZZœ.
L'œuvre de M. Sorolla paraît nier toute
culture, dont la norme impliquerait pour
lui : choix, mesure, restriction.
Tel est l'emportement de son énergie
sans régulateur, telle l'énormité confuse de
son ambition : il prétend, par la verve, la
profusion, les ressources du tempérament
égaler son génie créateur à celui de la na-
ture même. Eile est fragmentée, détaillée,
il restreint, il écarte de plus en plus l'émo-
tion particulière de l'homme en présence
de la création jusqu'au point de ne plus
éprouver, dans sa création à lui, la diffi-
culté : ce sentiment, cette inquiétude, cette
hésitation toujours générateurs de beauté,
pourvu qu'ils ne se heurtent à aucune
impossibité matérielle. M. Sorolla ne
conçoit pas la beauté. Il se borne à
cozzx/u/ez*, par la peinture, le spectacle. Et
s'il aime la nature, c'est d'un amour
indifférent.
Sans doute avons-nous tort de lui re-
procher d'avoir fait... ce qu'il a voulu faire.
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A^ezzz*y, l'A^//e -yozzx /ex /u;zzz'/ez*x-z*oxex, te
C/zez*c/zezzz* afe zzzozz/ex, Afex ezz/hzz/x ezz cox-
/zzz??e <ie En/ezzce ùfzz YT77A x/èc/e — cette
dernière l'une des toites ies plus récentes
et, à cet égard, les plus significatives — et
enfin tous les tableaux sur lesquels semble
porter un effort définitif, ne sont que des
dispersée dans son oeuvre sans que jamais
les impressions ne s'organisent autour d'un
point lucide, sans qu'elles se coordonnent
en une synthèse originale. L'observateur
n'obéit qu'à l'instinct d'augmenter sa fami-
liarité avec les choses. A mesure qu'il se
perfectionne, dans tous les sens à la fois,
Porfraz? So7*o//<3
études aux vastes proportions. D'incontes-
tables qualités picturales s'y attestent. On
voudrait que s'y résumât nettement la per-
sonnalité d'un artiste et le résultat d'une
CZZ//ZZZœ.
L'œuvre de M. Sorolla paraît nier toute
culture, dont la norme impliquerait pour
lui : choix, mesure, restriction.
Tel est l'emportement de son énergie
sans régulateur, telle l'énormité confuse de
son ambition : il prétend, par la verve, la
profusion, les ressources du tempérament
égaler son génie créateur à celui de la na-
ture même. Eile est fragmentée, détaillée,
il restreint, il écarte de plus en plus l'émo-
tion particulière de l'homme en présence
de la création jusqu'au point de ne plus
éprouver, dans sa création à lui, la diffi-
culté : ce sentiment, cette inquiétude, cette
hésitation toujours générateurs de beauté,
pourvu qu'ils ne se heurtent à aucune
impossibité matérielle. M. Sorolla ne
conçoit pas la beauté. Il se borne à
cozzx/u/ez*, par la peinture, le spectacle. Et
s'il aime la nature, c'est d'un amour
indifférent.
Sans doute avons-nous tort de lui re-
procher d'avoir fait... ce qu'il a voulu faire.
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