L'ART A L'ÉCOLE
JACQUES
TM fzMzzpx 7*072222272 .' habiHer et orner
fOjPfooz'azzJ. La jeune vierge, aux mains
de ses suivantes, rêveuse, se laisse attifer
pour la présentation matrimoniale. A droite
une artiste décore un vase, présent de
circonstance, une vasque déborde d'eau
fraîche ; à gauche, un perron, le ciel,
une Minerve armée et casquée, un brasier
odoriférant.
Tzz zzzoj^azz zzg*a.' broder fÆozYfzzz'azzJ. A
l'intérieur d'un château, une femme enlu-
mine un missel, une autre est assise au
métier; la châtelaine, vêtue d'une robe ar-
moriée, vient examiner l'ouvrage, une mar-
chande lui offre une étoffe.
T 22 rczzzpA zzzonUzvza.' la tapisserie en Asie-
carreau, agitant les fuseaux sur le cous-
sin. A gauche, un plant de soleils dans
un pot...
....Voici deux panneaux d'un grand
charme, je ne sais plus dans quelle école je
les ai vus : le décor d'encadrement, un peu
géométrique, un banc droit sous une vous-
sure, est occupé dans chacun par une femme
drapée, assise, dont la silhouette émerge
sur un horizon de paysage délicat. L'une a
une lyre, des parfums montent à ses côtés,
une couronne de bluets lui fait un diadème,
c'est la Voé-yz'a. L'autre, songeuse, absorbée,
tient un compas, les regards fixés sur une
mappemonde, c'est bVafazzAc/zup (la Science).
Les symboles sont d'une extrême simpli-
sur ses lauréats des Beaux-Arts. Elles sont
diverses de temps et de latitude, mais la
facture, robuste et souple, est d'une sédui-
sante matière. En tout cas, les sujets, de
dimensions respectables (q^.Xc"\5o), répon-
dent aux préoccupations de ce milieu. Le
peintre, M. Bosiers (commande de 1901), a
traité LaA ^'uvuzzA* zzzzzzzzzc/x nia /u ^azzzzzza .'
MineurefTzzjzzyAMaizazz/ Les orientales, debout
ou accroupies, vêtues de gandourahs flot-
tantes, coiffées de madras, tissent d'ardentes
étoffes tendues sur des cordes.
Tzz ?a772j9A 772oafa7'72a .' dentellières bru-
geoises fÆztzzAMaz'AazzJ. Un intérieur modeste
du quai de la Vache ou du Béguinage, des
commères qui causent en travaillant au
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JACQUES
TM fzMzzpx 7*072222272 .' habiHer et orner
fOjPfooz'azzJ. La jeune vierge, aux mains
de ses suivantes, rêveuse, se laisse attifer
pour la présentation matrimoniale. A droite
une artiste décore un vase, présent de
circonstance, une vasque déborde d'eau
fraîche ; à gauche, un perron, le ciel,
une Minerve armée et casquée, un brasier
odoriférant.
Tzz zzzoj^azz zzg*a.' broder fÆozYfzzz'azzJ. A
l'intérieur d'un château, une femme enlu-
mine un missel, une autre est assise au
métier; la châtelaine, vêtue d'une robe ar-
moriée, vient examiner l'ouvrage, une mar-
chande lui offre une étoffe.
T 22 rczzzpA zzzonUzvza.' la tapisserie en Asie-
carreau, agitant les fuseaux sur le cous-
sin. A gauche, un plant de soleils dans
un pot...
....Voici deux panneaux d'un grand
charme, je ne sais plus dans quelle école je
les ai vus : le décor d'encadrement, un peu
géométrique, un banc droit sous une vous-
sure, est occupé dans chacun par une femme
drapée, assise, dont la silhouette émerge
sur un horizon de paysage délicat. L'une a
une lyre, des parfums montent à ses côtés,
une couronne de bluets lui fait un diadème,
c'est la Voé-yz'a. L'autre, songeuse, absorbée,
tient un compas, les regards fixés sur une
mappemonde, c'est bVafazzAc/zup (la Science).
Les symboles sont d'une extrême simpli-
sur ses lauréats des Beaux-Arts. Elles sont
diverses de temps et de latitude, mais la
facture, robuste et souple, est d'une sédui-
sante matière. En tout cas, les sujets, de
dimensions respectables (q^.Xc"\5o), répon-
dent aux préoccupations de ce milieu. Le
peintre, M. Bosiers (commande de 1901), a
traité LaA ^'uvuzzA* zzzzzzzzzc/x nia /u ^azzzzzza .'
MineurefTzzjzzyAMaizazz/ Les orientales, debout
ou accroupies, vêtues de gandourahs flot-
tantes, coiffées de madras, tissent d'ardentes
étoffes tendues sur des cordes.
Tzz ?a772j9A 772oafa7'72a .' dentellières bru-
geoises fÆztzzAMaz'AazzJ. Un intérieur modeste
du quai de la Vache ou du Béguinage, des
commères qui causent en travaillant au
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