L'ART DÉCORATIF AU SALON DE L'AUTOMOBILE
de l'outil, la délicatesse et le bon goût, la
grâce et l'élégance de la présentation pour
le plaisir des yeux.
L'avenue Alexandre 111, vestibule lumi-
neux de ce brasier de la pensée créatrice,
rutilait elle-même des feux de l'électricité
répartis en frises décoratives aux tons chauds
ou des lueurs diffuses des lampes à vapeur
année, très remarqués et que cette Exposi-
tion marque un progrès sensible sur ses de-
vancières.
Nous n'analyserons cependant pas les
résultats techniques obtenus dans la voiture
de luxe, la voiture de transport en commun
ou de camionnage, ce qui serait un peu en
dehors du cadre de notre Revue.
H. ROBERT
Sf<272<i de /<2 .Société <ftz Trè/7e d yea:7/e^ Rrdxz'er
de mercure et vous invitait de ses attrayantes
séductions à franchir le seuil du vaste Palais.
A l'intérieur, dans un même élan fra-
ternel, avec le même entrain, le même zèle
nous avons vu constructeurs, architectes,
artistes de toutes sortes, ouvriers collaborant
avec ardeur suivant leurs dons et leurs
moyens d'invention, d'originalité ou de pa-
tient labeur à la glorification d'une industrie
où la France tient une place tout à fait
prépondérante.
Il paraît que les perfectionnements ap-
portés aux différentes pièces qui entrent dans
la composition de l'automobile ont été, cette
Nous visiterons, si vous voulez bien,
l'Exposition au point de vue purement dé-
coratif en indiquant les stands qui nous
aurons paru les plus étudiés, les plus origi-
naux et étant le plus dans le caractère.
Plusieurs maisons qui ont fait depuis
quelques années des frais assez considé-
rables pour l'installation et la décoration
de leur stand, se représentent à nos regards
sous le même aspect. Elles étaient cette
fois-ci assez nombreuses.
Il est certain que ces maisons ne peuvent
renouveler à chaque exposition une décora-
tion qui leur a été assez onéreuse, mais si
22 t
de l'outil, la délicatesse et le bon goût, la
grâce et l'élégance de la présentation pour
le plaisir des yeux.
L'avenue Alexandre 111, vestibule lumi-
neux de ce brasier de la pensée créatrice,
rutilait elle-même des feux de l'électricité
répartis en frises décoratives aux tons chauds
ou des lueurs diffuses des lampes à vapeur
année, très remarqués et que cette Exposi-
tion marque un progrès sensible sur ses de-
vancières.
Nous n'analyserons cependant pas les
résultats techniques obtenus dans la voiture
de luxe, la voiture de transport en commun
ou de camionnage, ce qui serait un peu en
dehors du cadre de notre Revue.
H. ROBERT
Sf<272<i de /<2 .Société <ftz Trè/7e d yea:7/e^ Rrdxz'er
de mercure et vous invitait de ses attrayantes
séductions à franchir le seuil du vaste Palais.
A l'intérieur, dans un même élan fra-
ternel, avec le même entrain, le même zèle
nous avons vu constructeurs, architectes,
artistes de toutes sortes, ouvriers collaborant
avec ardeur suivant leurs dons et leurs
moyens d'invention, d'originalité ou de pa-
tient labeur à la glorification d'une industrie
où la France tient une place tout à fait
prépondérante.
Il paraît que les perfectionnements ap-
portés aux différentes pièces qui entrent dans
la composition de l'automobile ont été, cette
Nous visiterons, si vous voulez bien,
l'Exposition au point de vue purement dé-
coratif en indiquant les stands qui nous
aurons paru les plus étudiés, les plus origi-
naux et étant le plus dans le caractère.
Plusieurs maisons qui ont fait depuis
quelques années des frais assez considé-
rables pour l'installation et la décoration
de leur stand, se représentent à nos regards
sous le même aspect. Elles étaient cette
fois-ci assez nombreuses.
Il est certain que ces maisons ne peuvent
renouveler à chaque exposition une décora-
tion qui leur a été assez onéreuse, mais si
22 t