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Papers of the American School of Classical Studies at Athens — 1.1882-1883

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Bevier, Louis: The Olympieion at Athens
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https://doi.org/10.11588/diglit.8560#0209
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THE OLYMPIEION AT ATHENS.

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following (p. 204) : " Ce meme empereur fit fairc pour soy un palais
fort magnifique dont on void encore des restes dans un champ entre
la ville et une petite riviere. On dit qu'il y avoit autrefois six vingt
colomnes de marbre. II en reste encore environ seize, cxtremement
hautes, et si grosses que deux homines n'en sauraient embrasser une,
et sur chacune desquelles on void des restes d'unc petite gallerie
vout£e. Entre quatre de ces colomnes il y a une petite chapelle
des Grecs route entiere." He understates the number of columns by
one ; for seventeen were standing four years later, and remained until
after the visit of Stuart to Greece in 1753.

To a German belongs the honor of having first discovered what
the so-called pillars of Hadrian really were. Joh. G. Transfeldt (cf.
Wachsmuth, p. 71) was a prisoner of the Turks in the years 1673
and 1674, and occupied a part of his time in archaeological investi-
gations. He recognized the Olympieion from the descriptions of
Pausanias and Vitruvius. His work was not published, and so we find
later travellers making the same old mistakes.

Guillet, in 1675 (cf. Laborde, I. pp. 223, 224), calls it again by
the traditional name : " Le jeudy matin," he writes, "25 avril nous
sortimes pour aller voir les mines du stadion Panathenaicon, et celles
du Palais d'Adrien. . . . Au dehors de la porte de Raphti nous lais-
sames le Palais d'Adrien a main gauche et a. coste' le lieu qu'ils appel-
lent ' ta mnimouria' [to /j.i'rj/j.ovpLa], c'est le cemetiere des Turcs."
After describing his visit to the Stadion, he continues : " Nous en-
trasmes dans celuy d'Agrae. De la tournant a. main droite nous fumes
admirer les superbes colomnes et le magnifique portail qui restent du
Palais d'Adrien. Le Vulguaire l'appelle Didascalion."

To an Englishman is due the first description that makes any claim
to accuracy in detail. Francis Vernon wrote a letter from Smyrna in
1676 which was translated into French, and published by Spon in his
Voyage. The passage that concerns this subject is as follows : " Toutes
les colomnes qui restent du portique de l'empereur Hadrien sont mag-
nifiques, elles sont d'ordre Corinthien d'environ 52 pieds de hauteur
et 197} du circonference. Elles sont cannel<§es et il y en a sur pied dix-
sept entieres avec une partie de leurs corniches. J'ay mesure" l'en-
ceinte du batiment auquel elles appartenoient, le plus juste que j'ay
pu, et j'ay trouve qu'elle a environ 1000 pieds de longueur et 6So de
largeur." These measurements are not very exact; but they are not
 
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