urvint la mort de son père qui fut suivie d’une période de calme recueillement
et de silence.
Le premier acte politique de Monseigneur le Prétendant fut cet éclatant
désaveu infligé dans une lettre publique à Arthur Meyer, auquel elle arracha
cette réponse éplorée : « Sur qui donc Sa Majesté fonde-t-elle ses espoirs, si elle
nous traite ainsi, nous autres de la vieille noblesse de France ? » N’étant pas
encore devenu l’arrière petit-fils du Maréchal de la Tour d’Auvergne, Arthur
avait fait alors illusion uniquement à la noblesse... de ses sentiments... évidem-
ment !
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