DOI issue:
No. 513 28 Janvier 1911
DOI Page / Citation link:https://doi.org/10.11588/diglit.44968#0722
717
[OOo.oqQ'
abitué à braver les foudres de la Gueuse, Monseigneur vint un
jour à Paris, pour fêter le Réveillon en compagnie de ses
fidèles. Suivant sa coutume, il se fit remarquer par le sans-
gêne de ses expressions, ce qui fit dire à l’un des assistants :
« Le Prince emploie par trop souvent le mot de Cambronne,
et même cela n’est pas à lui, il l’a volé aux Bonapartes I »
[OOo.oqQ'
abitué à braver les foudres de la Gueuse, Monseigneur vint un
jour à Paris, pour fêter le Réveillon en compagnie de ses
fidèles. Suivant sa coutume, il se fit remarquer par le sans-
gêne de ses expressions, ce qui fit dire à l’un des assistants :
« Le Prince emploie par trop souvent le mot de Cambronne,
et même cela n’est pas à lui, il l’a volé aux Bonapartes I »