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phyxier le patient ! Ceci se nomme le Métro, 'parce'
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(4) Parfois aussi, la tête du soldat étant introduite dans
un arrosoir, on bourre le bec de jl’arrosbir avec du pap’er
qu’on'allume ensuite et dont la fumée, montant par ce canal,
vient asphyxier le patient ! Ceci se nommé lé Métro, 'parce
qu’il rappelle les catastrophes célèbres où furent asphyxiés
les voyageurs !
(5) Une autre «fantaisie ». dite « Le \ \
Conteur Arabe », consiste à faire asseoir
sur une plaque de fourneau allumé un soldat
dont la bouche est remplie d’eau. Le sous-off lui raconte
alors des contes des Mille et Une Nuits.en attendant que
vienne à bouillir l’eau qu’il a dans la bouche !
,,, -Les Conseils de Guerre
d Allemagne jugent annuelle-
ment environ 600 à 1.000 supé-
rieurs accusés de mauvais Irai-?
tements envers leurs soldats,
et ces séances tous révèlent cha-
que jour des: supplices inédits.
(3) Parfois, afin de le faire mar-
cher la tête haute, on lui intro-
duit dans les narines u. hameçon
servant d’ancre à un ceif-volant.
(2) Bien souvent le soldat
est pour son supérieur un ins-
trument pour m surer l’effet de
sa force et de ses poings.