Royal Society <London> [Editor]: Abrégé des transactions philosophiques de la Société Royale de Londres (11/12, Tome second.1790) [Cicognara, 2475B]

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Alrr. M®üî.s} Couï. st Usagëo

ïétabli d’après ie poids du contenu de i’ancien,
tomme rinscriprion le fait voir. Le quadrantai *T’^ed,
étoît un vaisleau trop embarrassanr pour servir aux M.s
uiages ordinaires 3 on iui substitua le conge ; de P ie,i rûU:i:a‘
sorte que je ne vols pas à quoi le quadrantal pouvoit
être bon , stnon pour déterminer le poids de la
îiqueur que devoit contenir le conge , Sc pour
prendre la mesiire du pied sur sun de ses cdtés ;
mais nous voyons icl que la capacîté du conge sut
déterminée au polds, & ii n’est pas vraisembiabie
qu’on eut sait un nouveau quadrantal seulement
pou.r ajuster le pisd.

C'est pourquoi ii estj très-probabîe que le pied
étalon fut rétabii sans avoir aucun égard à son rap-
port avec le quadrantaL Quant à la dissérence qui
se trouve entre le pied déduit du conge & celui
déduit des autres monumens, ii faut observer qu’il
est extrêmement disficiie d’ajuster exadternent ies
rnesires de capacité aux autres mesures, meme
aujourd’hui, en Angieterre, où son est paxvènu,
dans ces cboses-ià sur-tout, à un très-grand degré
<de précision -, c’est pourquoi je ne vois aucune rab
son de rejeter ie témoignage de Villalpandus Bi de
Pœtus, quelquê différence quii y ait dans leurs
poids du contenu du conge de Vefpasien.