MASO FINIGUERRA.
X 56
gloire de la découverte de l’impression
des estampes.
Il paroit cependant que Finiguerra n'a
tiré de son soufre que très peu d’épreu-
ves; en effet on n’en cormoit qu’une seule
qui soit venue jusqu’à nos temps. Cette
épreuve se trouve à Paris à la bibliothè-
que impériale. Zani en a publié une de-
scription détaillée, ainsi qu’une copie at-
testée comme très exacte, qui se trou-
vent, l’une et l’autre, dans l’ouvrage cité
de cet auteur, où nous renvoyons les
curieux.
Après avoir vu l’estampe de Finiguerra
ou seulement la copie dont on vient de
parler, on ne peut plus croire le moin-
drement, que Finiguerra puisse être en
même temps l’auteur de ces autres pièces
que quelques écrivains lui ont attribuées,
parce quelles sont généralement d’un
goût tout-à-fait différent, et trop médio-
cres pour avoir pu sortir d’une si belle
source.
La seule pièce que l’abbé Zani est porté
à attribuer pareillement à Finiguerra, c’est
celle qu’il a vue à Paris au cabinet de
M*. Borduge, et dont il donne, page 53,
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gloire de la découverte de l’impression
des estampes.
Il paroit cependant que Finiguerra n'a
tiré de son soufre que très peu d’épreu-
ves; en effet on n’en cormoit qu’une seule
qui soit venue jusqu’à nos temps. Cette
épreuve se trouve à Paris à la bibliothè-
que impériale. Zani en a publié une de-
scription détaillée, ainsi qu’une copie at-
testée comme très exacte, qui se trou-
vent, l’une et l’autre, dans l’ouvrage cité
de cet auteur, où nous renvoyons les
curieux.
Après avoir vu l’estampe de Finiguerra
ou seulement la copie dont on vient de
parler, on ne peut plus croire le moin-
drement, que Finiguerra puisse être en
même temps l’auteur de ces autres pièces
que quelques écrivains lui ont attribuées,
parce quelles sont généralement d’un
goût tout-à-fait différent, et trop médio-
cres pour avoir pu sortir d’une si belle
source.
La seule pièce que l’abbé Zani est porté
à attribuer pareillement à Finiguerra, c’est
celle qu’il a vue à Paris au cabinet de
M*. Borduge, et dont il donne, page 53,