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Séance du 1er avril 1892
DOI Seite / Zitierlink: https://doi.org/10.11588/diglit.12564#0049
le mois de mars 1892, laquelle, selon l'usage, sera insérée
în-extenso à la fin de ce procès-verbal.
M. le président donne la parole à M. le professeur
Mayer-Eymard, pour la lecture de sa communication sur
l'Omis de Moéleh.
(Voir annexe n° 1).
La communication de M. le professeur Mayer-Eymard
est accueillie par les applaudissements unanimes de
l'assistance.
M. le président remercie chaleureusement l'auteur au
nom de l'Institut tout entier, et lui adresse toutes ses
félicitations personnelles. Il fait remarquer, en outre, que
la découverte récente, à Minieh, d'un gisement de sel
gemme, vient heureusement confirmer l'une des sa\Tantes
observations rapportées par le conférencier.
M. Cope-Whiteiiouse obtient la parole pour ajouter
quelques remarques sur la cartographie du Ouadi
Mouellah.
Les cartes ptolémaïques, dit-il, donnent au lac Mœris une exten-
sion longue et étroite; vers le sud, et marquée, vers le nord-est,
par une ville dont la latitude et la longitude sont également fixées
par le texte.
En 1882, M. Gope-Whitehouse avait indiqué la probabilité que
les ruines, vues par Belzoni, étaient celles de Dionysias.
En 1883, le préopinant a pénétré dans la vallée de Behnesa. Dans
son expédition de 1885, acompagné par M. Stadler, il a pu relever
des observations sur le Ouadi-Mouellah, et faire la ligne de nivel-
lements que M. le D1' Schweinfurth lui a empruntée pour sa carte.
En 1886, partant de Bannacha, en face de Mac/aga, il a tracé
în-extenso à la fin de ce procès-verbal.
M. le président donne la parole à M. le professeur
Mayer-Eymard, pour la lecture de sa communication sur
l'Omis de Moéleh.
(Voir annexe n° 1).
La communication de M. le professeur Mayer-Eymard
est accueillie par les applaudissements unanimes de
l'assistance.
M. le président remercie chaleureusement l'auteur au
nom de l'Institut tout entier, et lui adresse toutes ses
félicitations personnelles. Il fait remarquer, en outre, que
la découverte récente, à Minieh, d'un gisement de sel
gemme, vient heureusement confirmer l'une des sa\Tantes
observations rapportées par le conférencier.
M. Cope-Whiteiiouse obtient la parole pour ajouter
quelques remarques sur la cartographie du Ouadi
Mouellah.
Les cartes ptolémaïques, dit-il, donnent au lac Mœris une exten-
sion longue et étroite; vers le sud, et marquée, vers le nord-est,
par une ville dont la latitude et la longitude sont également fixées
par le texte.
En 1882, M. Gope-Whitehouse avait indiqué la probabilité que
les ruines, vues par Belzoni, étaient celles de Dionysias.
En 1883, le préopinant a pénétré dans la vallée de Behnesa. Dans
son expédition de 1885, acompagné par M. Stadler, il a pu relever
des observations sur le Ouadi-Mouellah, et faire la ligne de nivel-
lements que M. le D1' Schweinfurth lui a empruntée pour sa carte.
En 1886, partant de Bannacha, en face de Mac/aga, il a tracé