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Institut Egyptien <al-Qāhira> [Editor]
Bulletin de l'Institut Egyptien — 3.Ser. 3.1892(1893)

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https://doi.org/10.11588/diglit.12564#0325
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— 137 —

ratifs de cr ~=EE époques, plus ou moins écartées, de la chronologie
égyptienq ^2-EEEixquelles cette sorte d'année depuis longtemps
abandonnl z=- ne pas se rapporter, représente une unité de
comparais oo_== commode il est vrai, mais dont l'application en
deçà de cJ ==qimite, ou époque plus ou moins inconnue, ne peut
conduire 1 r>. EEE résultats tout à fait incertains ou inexacts.

Cette sir~ =j.nëe peut, en effet, servir de commune mesure à
une foula ^ EEEles, c'est-à-dire de périodes de temps composées
d'années,h*" ='icoles. soit astronomiques, lunaires, solaires, sidé-
rales ; toi :—s, le plus souvent purement théoriques et que,
cependant— — la meilleure foi du monde, on croit quelquefois
découvrij —àent, soit dans des écrits de rédaction plus ou moins
altérée, a ^-EEE; des tableaux et inscriptions souvent grossièrement
sculptés,! ■ —joduits plus ou moins fidèlement par l'ouvrier, et le
tout plus <^_£EE:ts bien interprété.

EnfinJ ==fti concerne le calendrier proprement dit.

Les an]<M EEEffyptiens ont connu la vraie valeur de l'année, soit
solaire, |T~ =jrale. Et la connaissant, il n'y a pas de raison pour
supposer! EEE,'en aient jamais fait usage. C'est du moins ce qui
résulte ij*~ =d des raisonnements, analyses de documents, dis-
cussions! —jusions partielles qui font l'objet de cette note et de
celle quiiT— ~l=*édée.

Ils con ~-—jnt aussi la révolution synodique de la Lune, dont
une noiO>-^3te leur était nécessaire pour fixer d'avance les
retours I ■ —jfs des nouvelles et pleines lunes. (La lune Aah,
représeijoo-^^s la figure de Khons enfant, qui est l'Horus de la
triade tï =\ est, en effet, dans les textes en perpétuelle relation
avec leL EEpe renaissance et de renouvellement) ; d'après la
forme ni =nnée à l'année solaire, la période au bout de laquelle

les deui =p lunaire et solaire revenaient aux mêmes con-
cordand =fait aussi être connue des anciens Egyptiens, bien

avant 1
J'exami

tempér
trop us

iue découverte du cycle d'or, attribuée à Méton. —
tte question dans le cours d'un Essai sur les origi-

nes ég'\ ~=es de quelques anciens calendriers solaires et

CNJ

qu'il me reste â vous présenter, et que j'ai, vu la
îservé pour une séance ultérieure, ne voulant pas
rd'hui de votre bienveillante attention.

(A suivre).
 
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