Blanchard, Pierre; Leprieur, Pierre-Sébastien [Oth.]; Imbert, Jean-Baptiste [Oth.]; Plutarchus [Oth.]: Le Plutarque De La Jeunesse, Ou Abrégé Des Vies Des Plus Grands Hommes De Toutes Les Nations: Depuis Les Temps Les Plus Reculés Jusqu'À Nos Jours; Au nombre de plus de 200, et ornées de leurs portraits. Ouvrage Élémentaire, Propre à élever l'âme des jeunes gens, e à leur insirer les vertus utiles à la société (Tome Second) (A Paris: Chez Le Prieur, Libraire, 1803)

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la sanctification, du vendredi sont les pra-
tiques extérieures de cette religion. Il pro-
posa pour récompense à ceux qui la sui-
vraient, un lieu de délices où l’ame serait
enivrée de tous les plaisirs spirituels , et où
le corps ressuscité avec ses sens goûterait
par ces sens mêmes toutes les voluptés qui
lui sont propres. On doit y trouver un
nombre infini de femmes plus belles qu il
n’est permis à ^imagination de se les figu-
rer. Dans cette religion, les femmes sont
moins considérées comme une partie du


balternes créés seulement pour l’avantage
des hommes. Ceux-ci, par les lois de
Mahomet, ont la permission d’avoir plu-
sieurs femmes, de les battre quand elles
ne voudront point Iteur obéir, et de les
répudier, si elles viennent à déplaire. Les
femmes n’ont pas le même droit, et il ne
leur est permis que de se remarier deux
fois 5 si elles sont répudiées une troisième
fois, et que leur premier mari ne veuille
point les reprendre , elles renoncent au
mariage pour toute leur vie. Du reste ,
elles sont obligées de vivre très-retirées ?