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Bulletin de la Société pour la Conservation des Monuments Historiques d'Alsace — 2.Sér. 17.1895

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Mittheilungen / Mémoires
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Sitzungs-Berichte / Procès-Verbaux
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General-Versammlung vom 19. Juli 1893 / Assemblée générale du 19 juillet 1893
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https://doi.org/10.11588/diglit.24724#0223
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77 —

zâhlen wir in Lothringen. Zu diesen gesellen sicli
dann noch 16 Mitglieder im tibrigen Deutschen
Reiche, meist ehemalige hiesige Beamte, 10 Mit-
glieder in Frankreich, 2 in der Schweiz und l
in Oesterreich.

Auch in Betreff der Lebensstellung giebt eine
nahere Betrachtung des Mitgliederverzeichnisses
zu interessanten Beobachtungen Anlass, die darauf
hinweisen, welcher weite Spielraum uns noch für
fernere moralische Erobernngen übrig bleibt.
Weitaus ara zahlreichsten, fast ein Drittel der Ge-
sammtzalil, ist mit 128 Mitgliedern der geistliche
Stand vertreten; neben ihnen zâhlen wir 41 meist
hôhere Beamte, darunter die Spitzen der Ver-
waltung des Reichslandes ; 36 Fabrikanten und
Kaufleute; 30 Universitâîs- und Gymnasialpro-
fessor en und Lehrer an technischen Schulen;
18 Buchdrucker und Buchhdndler; 12 Biblio-
thekare, Archiv- und Museumsvorstànde u. s. w.
Ganze Kategorien von Personlichkeiten, deren
gescllschaftliche Stellung und Bildungsgang sie
f(lr die Bestrebungen unserer Gesellschaft em-
pfânglich stimmen sollten, und deren Einkommen
ihnen eine praktische Bethâtigung dieses Inter-
esses sehr leicht machen würde, sind in unserm
Mitgliederverzeichniss nur ausserst schwach oder
gar nicht vertreten. Hier steht der eifrigen Thâtig-
keit eines jeden Freundes des Vereins ein
weites Feld offen, und ich kann nur jeden
einzelnen unter Ihnen, geehrteste Herren, im
Namen des Yorstandes dringend auffordern, das
Rekrutiren neuer Elemente mit Energie zu be-
treiben; unseres besten Dankes sind Sie im voraus
gewiss.

Doch ist Zeit, davon zu reden, nicht was ge-
schehen kônnte, wenn wir eine zahlreichere
Schaar waren und eine besser gefüllte Kasse be-
sâssen, sondern davon, was wir mit unsern be-
scheidenen Mitteln im verflossenen Jahre zu Wege
gebracht haben, und worüber der Vorstand in
seinen sieben Sitzungen, vom 19. Oktober 1892
bis zum 26. Juni 1893, ktlrzer oder weitlâufiger
verhandelt hat.

Haute-Alsace compte 8G membres seulement, et
il n’y en a que trois en Lorraine. Au dehors nous
comptons 16 membres dans le reste de l’Alle-
magne, pour la plupart anciens fonctionnaires du
pays d’Empire, dix membres en France, deux en
Suisse et un en Autriche.

En parcourant cette liste de nos membres, on
peut y constater aussi plus d’un fait intéressant
par rapport à leurs occupations, à leur activité
intellectuelle, à leur position sociale, et constater
de la sorte combien est vaste encore le champ
d’activité ouvert à de nouvelles conquêtes mo-
rales. La catégorie la plus nombreuse — elle
forme près du tiers du chiffre total — est celle
des ecclésiastiques ; nous en comptons 128 parmi
nous. Après eux viennent les fonctionnaires de
tout rang et de toute catégorie, au nombre de 41,
et parmi eux les sommités administratives de
l’Alsace-Lorraine; mentionnons ensuite 36 fabri-
cants et négociants, 30 professeurs, appartenant
soit à l’enseignement supérieur, soit à l’enseigne-
ment secondaire et spécial; 18 imprimeurs et
libraires; 12 bibliothécaires, archivistes et di-
recteurs de musées, etc. Bien des catégories de
personnes que leur position sociale et leur culture
intellectuelle devraient intéresser au but pour-
suivi par la Société, et à qui l’état de leur for-
tune permettrait aisément de prouver cet intérêt
par leur appui effectif, ne sont donc que faible-
ment représentées parmi nous ou font entièrement
défaut. Il se présente ici une occasion favorable
pour chacun de nos membres de prouver son
zèle en recrutant de nouveaux amis à l’œuvre
je ne puis que vous inviter, messieurs, à vous
livrer à ce travail avec toute l’ardeur possible,
en vous assurant d’avance de la vive reconnais-
sance du Comité.

Mais il est grand temps de vous entretenir,
non pas de ce qui pourrait se faire, si nous étions
plus nombreux et si notre caisse était mieux
fournie, mais de ce que nous avons pu faire,
dans l’année qui vient de finir, avec les modestes
ressources dont nous pouvions disposer. J’ai à
rendre compte aussi des discussions qui ont eu
lieu dans nos séances, du 19 octobre 1892 au
26 juin 1893, et des votes qui les ont résu-
mées.
 
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