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innombrables. Je découvre peu à
peu que ces ennemis innombrables
n’étaient que des alliés et des esclaves
mystérieux qui n’avaient pas
encore appris à le servir. Il est sur le
point de reconnaitre que tout ce
qui l’entoure ne demande qu’à
lui venir en aide, est prêt à travailler
avec lui et pour lui, pourvu qu’il
sache se faire comprendre. Cette bonne
nouvelle se répand chaque jour davan-
tage dans tous les domaines qui défriche
l’intelligence de l’homme. Seul l’artis-
te, jusqu’ici, par une sorte d’orgueil
suranné, se refusait à écouter cette
voix trop récente. On pouvait le
comparer à ce malheureux tisse-
rand solitaire qu’on trouve encore
dans les campagnes arriérées et
qui, accablé de fatigues et de
misères inutiles, s’obstine à tisser
sur un métier antique et délabré
une toile grossière,
alors qu’à quelques pas de sa cabane,
la force des torrents de la houille
ou du vent, s’offre à faire vingt fois
en une heure la besogne qui lui demande
un long mois d’esclavage, et à la faire
mieux.