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Le charivari — 14.1845

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Avril (No. 91-120)
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https://doi.org/10.11588/diglit.17624#0475
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MERCREDI 30 AVRIL 184*. Çg 1#7T X QUATORZIÈME ANNÉE.—» N° 120.

tentera le r

e prog

d'autV°'ranini« i i ■. rédaction et ne l'akintaiou. a Fans, l|à B fk Publiant chaque jour un nouveau dessin en lithographie.

0ee« CSS(j ' " ,. c«OISSAVT, « 'HOTEL COI.BEKT^ ^J"^^^w_i^^^^^^J'BCS>^^»aH'if UQ(J^_ jÉL «U GRAVURES, ET ÏICXETTES SUIS BOIS.

d'»Mce sera fc, .

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ivresse.. aIe%

>a salle des Italien, I
imps-Elysées. Mhei

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iS fr. 18 fr ^^W/^Jti^ralWM^Jb S.lfê^ nfÊmSM « La collection complète de la nouvelle sôrio, d.n«j.iu-

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Chaque volume......................... 30

............." w . . JS^I^^^^O^^ ^Êfefetej^^^^" Un numéro isolé avec lithographie...... - 50.

datent des I" et le de chaque moi». *sl§™ÏKllf Pœw^TB^P^fflKSîéw^

„ now la France et l'Étranger, aux bu- 2»œËE3ËSP /MlftlXîfe^^lM IBBBftfltlfi 0n re*oit en paicment deS abon"cn,,ens' !M raan-

s':il>oTjne, v« chM ,w correspondons, les Li- MBÊÊÊd/lài~l fi IHlà Y^F^W^i\\Kr âats à vue sur le Trésor et sur la Poste, et les effets

15 d1,' niiwleurs de poste, et, fans aucune aug- ^&'"!~S&SÊBL^m^ÊUi^n^Êkk^^i &^<^~~^^ *ar 1rs maisons de Banque de Pari». — Tout ce qui

S'Sîo n^^ïïï«Gé^^^ ^i^^^^^^^HB^St^^ «onceme le Journal doit être adressé (franco) au Di-

pt, P.°"r * Ks 6: à Londres, à M. Richard Mare* ~*^!^IIz5r^^^ -~^'UlCi»^^^^jrr^ recteur. — Les lettre» non alfranchie» 8«ront riaou-

fies Epcro"' Bo'u_court, Fleei-SlreeS. ^*raatt«asâ^-- • —=— -v"^ reusement refusées.

LE CHARIVARI.

finement. Ce qUeT„„letl1»

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iversel que cet" ~"uVre'

LE RÊVE DES HOMHESS»

let. Sous ce rapport,
Actionnaire natiàn„, **
. bibliothèque^1^ *?5
iversel que cet ouvi4„ ' >*

emSsls&.^?«§ *«» : ^ C/tanoine de l'Auxerrois, de.
nent de la langue propre!*' (H

iphie l'hisioirc et la bioïnli L'ombre couvrait les toits confus,

les bib othèques de« *•1 • «• -a . w i '

ans, car la meiî eure „ }H Le paVe f''°'d "e tr6mblait plu*;

un peu difficultueux ce m î'! La ville était éteinte-

oncé comme ne devant foS! Comme un réveil de noirs géans.

. hiïZÀtrTsz à ^dain palf' d?mes béans

emier volume qui touch à ei S'agitant dans 1 enceinte,

premiers jours de mai, " ?''gardèrent mille fourneaux

3 signant de feu les arsenaux...
Les béfrois sourds
Bientôt dans les tours
Poussèrent une plainte.

INAL

ceux qui existent,

lature et de .«es développai»
ême espace. Il a été honoréd(

Louvre aux splendides corridors,
Qui donc ainsi, quand tu t'endors*

T'éveille plein de crainte ?
Quel noir nuage dans les cieux
Vient couvrir tes murs radieux

Autour de mon Paris si fier... »
Et dans les tours
Les cloches toujours
Poussaient leur sourde plainte.

Bientôt l'arc, signe triomphal,
L'hôtel, cercueil impérial,

Les nefs à l'ombre sainte ,
Les grands ponts couchés sur les eaux,
Les colonnades, les arceaux,

Poussèrent, dans leur crainte,
Ce cri par la nuit répété :
# Malheur sur la grande cité... »
Et les bonds sourds
Du beffroi des tours -
., Répondaient à leur plainte.

L. DE L.

ntpensier, l'empereur 4'Amtnd Les cioches toujours

i faire retirer le plus prompteur:

10S A 15 CENT. LA LIVIUliï

, éditeur, rue des Fossés-du-Tec

Nous ne dirons rien du pénible incident si mal-
heureusement soulevé par M. le marquis de Langle,
— D'abord, parce que M. de Langle a été suffisam-
D"ùn7sinistrTtêînTeV""* S ment Puni Par la di°ne réponse de M. Ledru-Rollin,

— Oh! chaque nuit sur mes trésors I par les nobles paroles de M. Odilon-Earrot et par

Grandit l'ombre des châteaux forts... * I l'attitude de la chambre.

Et dans les tours I — Ensuite, parce que nous ne pourrions rien dire

Poussaient leur sourde plainte»

Panthéon, qui fait sourciller
Ton front où le génie allier

>s médecins, chifiif A gravé son empreinte ?

Unes, avec I'in<li(<; Et pourquoi, d'un air effaré,

ie, 53, où l'on i

d© lois et l'egleiP Troubler dans son repos sacré ;

m portant. Utile i Geneviève la sainte?

l'art médical, et tf - J'appelle, j'appelle à grands cris

dU royaume l1] L» femme qui sauva Paris... »
' - - Et dans les tours

Les c'oches toujours
Poussaient leur sourde plainte.

Dans tes flancs qui met ce frisson,
Notre-Dame? Au funèbre son

De ton bourdon qui tinte.
Anges, dragons, démons impurs
S'agitent troublés sur les murs
De ton noir labyrinthe.

;er.
1ENS
tout
i frais.

CAPACITÉ, _ K[n%.

18

i\. 1 375
N° 2. 500 g,
N> 3. i ki|0
j^. 4. 3 kilo
jj° 5. 5kilo.
N° 6. 6kilo.

S 60
» 80
'100

rri^tioM internes «t «l;™5t ~ ^ frisionne, car dans la nuit

-■ la durée du jet par une ..g ^ La ^ canous reluit...

Et dans les tours
Les cloches toujours

qui valût le simple récit de ce fait étrangement ri-
dicule d'un député qui, n'étant ni jeune ni doré (et
ce n'est pas plus un mal qu'ê>re doré et jeune n'en
est un) sans va sans nécessité et sans opportunité
prendre en main la défense de la jeunesse dorée.

Il ne faut pas trop insister sur ces fautes, parce
que le mieux qui puisse arriver c'est qu'on les ou-
blie quant au fait passé et quant aux personnes, et
qu'on ne s'en souvienne que pour en prévenir et en
empêcher le retour.

CRIS) VIVIENNE) Poussaient leur sourde plainte.

'argent,cylindre,pla^s»nli^i • ^^^MM^W excite les chattes à colporter leur

'or.cylind^e. p^.»^s 28fji. Empereur, pourquoi presses-tu' V ifvVHj» progéniture au berceau, d'un coin

f à grands cadrans, f"^; ,. Le pommeau de ton sabre nu pJfcSCv3S| dans un autre. La comparaison

'avecpolka, MAZrfa^,'i»!':' Dans une fièreétreinte? ! l'Âj^rSW est triviale, mais elle est vraie,

i poids, 12 fr.i| jointaiD,""*' Pourquoi, de ton pied souverain, tftîhsÊfilk Rien n'est beau 1ue le Vfai' a dit

«frWtfoS^* Ebranler ton pilier d'airain fe^pCX Boileau-

De la base à la plinthe? ^^^^^ Tantôt M. Meyerbeer trouve que

— Infans, je ne *eux pas 4e te l'Opéra est très mal situé dans^lâtbsjelletier; alors

>2~

L'ÉVÉNEMENT D'HIER.

rande nouvel le. On
lisait que M. Meyer-
beer a deux opéras
en portefeuille, le
Prophète et Y'Afri-
caine. Ces deux o -
péras, il les transporte sans cesse
de Paris à Berlin et de Berlin à
Paris. Il éprouve à leur égard le
?mëmc besoin de déplacement qui

il se décide à transporter son Prophète à Berlin, en
attendant qu'une nouvelle salle soit construite sur les
plans adoptés par le conseil de la Seine. A peine ar-
rivé à Berlin, le climat lui semble nébuleux, ou bien
c'est le visage d'un passant qui lui déplaît, et voilà le
maestro qui réemballe son opéra et revient à Paris.

11 a fait son entrée hier par la barrière Saint-De-
nis, pour la quinzième fois depuis que le Prophète
est terminé. Comme toujours, il avait fait annoncer
à son de trompe que. ses irrésolutions ayant cessé,
il venait mettre définitivement ses manuscrits à la
disposition de M. Pillet. La joie était grande dans
les coulisses de l'Opéra.

Les diletfanti s'étaient levés avec l'aurore pour
célébrer ce beau jour; ils portaient tous la cravate et
l'habit de première représentation. Bien qu'ils eussent
été quatorze fois trompés dans leur espoir de possé-
der enfin le Prophète, ils allaient encore se laisser
tromper une quinzième fois, tant l'illusion est na-
turelle et nécessaire à l'homme !

Mais le doyen des abonnés de l'Opéra, vieillard
vénérable, ami de feu Noël de Quersonnière, rendu
plus prudent par une longue expérience, rêvait un
grand projet depuis le moment où un pigeon envoyé
tout exprès de Berlin lui avait appris le départ d«
M. Meyerbeer.

La ruse qu'il avait conçue ne saurait se comparer
dans l'histoire qu'au fameux cheval de Troie.
 
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