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fon goût, ibid. Sa réputation s'é-
tend dans tous les environs , ibid.
Sa mort, ibid. Ses élèves, ibid. Ses
graveurs, ibid.
Steenwick (Nicolas) fils de Hen-
ri, & fon élève, 116.11 fe rend ha-
bile dans le talent de fon père, &
pafife en Angleterre, ibid. Il donne
dans ce pays des preuves de fon
habileté, ibid.
Stella (Antoine Bouffonnet) ne-
veu & élève de Jacques, 258. Il
fuit la manière de fon oncle, ibid.
Ses ouvrages à Lyon, ibid. Sa mort,
ibid.
Stella (François) peintre, pere
de Jacques & de François Stella,
2 5 6. Sa mort, ibid.
Stella ( François ) peintre, frère
de Jacques, 257. Il fe rend à Ro-
me avec lui, ibid.
Stella (Jacques ) Sa naiflance ,
256". A quel âge il commençoit à
bien deffiner , ibid. Ses travaux à
Florence dans fon voyage d'Italie,
ibid. & fuiv. Il fe rend à Rome ,
257. Réputation qu'il s'y fait, ibid.
Ses études en cette ville, ibid. Il
fait amirié avec le Poufîïn, & s'at-
tache à fa manière , ibid. Vierge
qu'il defîine avec du charbon étant
en prifon, ibid. Son retour en Fran-
ce, ibid. On veut en pafïànt à Mi-
lan , le faire directeur de l'Acadé-
mie de peinture, ibid. Il eft. nom-
mé d'abord peintre du Roy , en-
fuite premier peintre de fa Majefté
& fait chevalier de faint Michel ,
ibid. Sa manière de peindre , ibid.
En quoi il a excellé, ibid. Son def-
fein, & fon coloris , ibid. Ce qui
manque à fes ouvrages, ibid. & fuiv.
Son amour pour fon art, 258. Sa
mort, ibiâ. Ses élèves, ibid. Goût
de fes deffeins, ibid. Ses ouvrages à
Paris, ibid. A Provins, ibid, A Lyon,
L E
ibid. Chez le Roy , 259. Ses gra-
veurs , ibid,
Stradan (Jean) Sa naiflance ,&
fa famille , 112. Ses maîtres dans
la peinture, ibid. Ses voyages & fes
travaux dans différentes villes, ibid.
& fuiv. Il eft. employé à Rome par
Daniel de Volterre , par Salviati
8c par Vafari, 113. Ses talens, &
ce qu'on peut lui reprocher , ibid.
Sa mort, ibid. Ses élèves, ibid. Goût
de fes defTeins, ibid. Ses ouvrages
à Florence, ibid, & fuiv. A Rome „
114. A Regio , ibid, A Naples, ibid.
Ses graveurs, ibid.
Sueur (Euftache le ) Sa naiffan-
ce, & fa famille, 201. Son maître
dans la peinture , & fes progrès
étonnans , ibid. En quoi l'école de
Voiiet lui nuifit, ibid. Ce qui l'a fait
nommer le Raphaël de la France,
292. Son talent, ibid. Sa réception
à l'Académie de faint Luc , & fon
tableau à ce fujet, ibid. Il eft nom-
mé un des douze anciens, qui com-
mencèrent rétabliffement de l'Aca-
démie de peinture , ibid. Sa maniè-
re , & fon goût, ibid. Il ne tarde pas
à fe diftinguer des autres peintres,
ibid. Ses mœurs douces, & fon ex-
trême probité , ibid. Son mariage ,
ibid. Par où il fait connoître toute
l'étendue de fon génie, ibid. Goût
de fes peintures, ibid. & fuiv. On
ne trouve chez lui que le grand
& le fublime , 293. Il fert de preu-
ve évidente , qu'on peut devenir
habile en peinture, fans aller en
Italie, ibid. Les Italiens affectent de
ne le pas connoître, ibid. Ce que
fes ennemis lui ont reproché, ibid.
Les plus confîdérables de fes ou-
vrages , ibid. & fuiv. Ce que dit
le Brun, étant venu le voir au lit
de la mort , 294. Sentiment de
quelques Italiens fur la comparai-
fon goût, ibid. Sa réputation s'é-
tend dans tous les environs , ibid.
Sa mort, ibid. Ses élèves, ibid. Ses
graveurs, ibid.
Steenwick (Nicolas) fils de Hen-
ri, & fon élève, 116.11 fe rend ha-
bile dans le talent de fon père, &
pafife en Angleterre, ibid. Il donne
dans ce pays des preuves de fon
habileté, ibid.
Stella (Antoine Bouffonnet) ne-
veu & élève de Jacques, 258. Il
fuit la manière de fon oncle, ibid.
Ses ouvrages à Lyon, ibid. Sa mort,
ibid.
Stella (François) peintre, pere
de Jacques & de François Stella,
2 5 6. Sa mort, ibid.
Stella ( François ) peintre, frère
de Jacques, 257. Il fe rend à Ro-
me avec lui, ibid.
Stella (Jacques ) Sa naiflance ,
256". A quel âge il commençoit à
bien deffiner , ibid. Ses travaux à
Florence dans fon voyage d'Italie,
ibid. & fuiv. Il fe rend à Rome ,
257. Réputation qu'il s'y fait, ibid.
Ses études en cette ville, ibid. Il
fait amirié avec le Poufîïn, & s'at-
tache à fa manière , ibid. Vierge
qu'il defîine avec du charbon étant
en prifon, ibid. Son retour en Fran-
ce, ibid. On veut en pafïànt à Mi-
lan , le faire directeur de l'Acadé-
mie de peinture, ibid. Il eft. nom-
mé d'abord peintre du Roy , en-
fuite premier peintre de fa Majefté
& fait chevalier de faint Michel ,
ibid. Sa manière de peindre , ibid.
En quoi il a excellé, ibid. Son def-
fein, & fon coloris , ibid. Ce qui
manque à fes ouvrages, ibid. & fuiv.
Son amour pour fon art, 258. Sa
mort, ibiâ. Ses élèves, ibid. Goût
de fes deffeins, ibid. Ses ouvrages à
Paris, ibid. A Provins, ibid, A Lyon,
L E
ibid. Chez le Roy , 259. Ses gra-
veurs , ibid,
Stradan (Jean) Sa naiflance ,&
fa famille , 112. Ses maîtres dans
la peinture, ibid. Ses voyages & fes
travaux dans différentes villes, ibid.
& fuiv. Il eft. employé à Rome par
Daniel de Volterre , par Salviati
8c par Vafari, 113. Ses talens, &
ce qu'on peut lui reprocher , ibid.
Sa mort, ibid. Ses élèves, ibid. Goût
de fes defTeins, ibid. Ses ouvrages
à Florence, ibid, & fuiv. A Rome „
114. A Regio , ibid, A Naples, ibid.
Ses graveurs, ibid.
Sueur (Euftache le ) Sa naiffan-
ce, & fa famille, 201. Son maître
dans la peinture , & fes progrès
étonnans , ibid. En quoi l'école de
Voiiet lui nuifit, ibid. Ce qui l'a fait
nommer le Raphaël de la France,
292. Son talent, ibid. Sa réception
à l'Académie de faint Luc , & fon
tableau à ce fujet, ibid. Il eft nom-
mé un des douze anciens, qui com-
mencèrent rétabliffement de l'Aca-
démie de peinture , ibid. Sa maniè-
re , & fon goût, ibid. Il ne tarde pas
à fe diftinguer des autres peintres,
ibid. Ses mœurs douces, & fon ex-
trême probité , ibid. Son mariage ,
ibid. Par où il fait connoître toute
l'étendue de fon génie, ibid. Goût
de fes peintures, ibid. & fuiv. On
ne trouve chez lui que le grand
& le fublime , 293. Il fert de preu-
ve évidente , qu'on peut devenir
habile en peinture, fans aller en
Italie, ibid. Les Italiens affectent de
ne le pas connoître, ibid. Ce que
fes ennemis lui ont reproché, ibid.
Les plus confîdérables de fes ou-
vrages , ibid. & fuiv. Ce que dit
le Brun, étant venu le voir au lit
de la mort , 294. Sentiment de
quelques Italiens fur la comparai-