BIJLAGEN
B* rajjjrftcaßon hu nu m sculptmre (IK
g|TORSQ_U!ON se demande le pourquoi de maintes choses, on est
A4* fort surpris de n’y trouver qu’une reponse : la routine. En effet
5^ la routine gouverne le monde et sa puissance est si colossale
jgj^) qu’elle a la force de la verite et que toute atteinte portee ä sa
souverainete semble un crime de lese-majeste. Toute innovation, aussi
excellente soit-elle, rencontre ä son apparition une resistance acharnee
et Ton voit l’opiriion publique se lever avec indignation contre celui
qui ose troubler le cours paisible et respecte de ce fleuve des erreurs.
L’application du nu en sculpture en est certes un exemple, car
si Fantiquite a produit des chefs-d’oeuvre de beaute plastique depour-
vus de tout voile; si ses dieux et ses deesses ont charme les yeux
par la perfection de leurs formes ou la gräce de leurs contours
seduisants, eile a fait preuve de la plus indiscutable logique, puisqu’elle
s’est inspiree de sa religion, de ses mceurs, de son climat pour
personnifier ceux que leurs actions glorieuses ou leur beaute parfaite
avaient eleves a la divinisation. Le paganisme fut avant tout le
culte de la beaute physique *et la glorification de la chair.
La civilisation antique, loin de precher Foubli du corps pour
exalter la Suprematie de Fäme, attacha une importance capitale
au developpement des forces physiques et de la beaute corporelle.
L’artiste etait inspire de toutes parts par les beautes qui s’offraient
ä sa vue. D’un cote un climat enchanteur favorisant la vie en
plein air; un£ nature belle et riche, et, mieux que cela, une race
d’hommes aux formes sculpturales, s’adonnant avec passion aux
lüttes et aux exercices du corps propres ä developper la force, la
gräce et l’agilite.
(i) Verg. hierbij het artikel van Erich Frantz, bl. 656, en
verder wat wij bl, 127 en 161 in 1888 over het opnemen van
artikels in het fransch geschreven hebben gezegd.
B* rajjjrftcaßon hu nu m sculptmre (IK
g|TORSQ_U!ON se demande le pourquoi de maintes choses, on est
A4* fort surpris de n’y trouver qu’une reponse : la routine. En effet
5^ la routine gouverne le monde et sa puissance est si colossale
jgj^) qu’elle a la force de la verite et que toute atteinte portee ä sa
souverainete semble un crime de lese-majeste. Toute innovation, aussi
excellente soit-elle, rencontre ä son apparition une resistance acharnee
et Ton voit l’opiriion publique se lever avec indignation contre celui
qui ose troubler le cours paisible et respecte de ce fleuve des erreurs.
L’application du nu en sculpture en est certes un exemple, car
si Fantiquite a produit des chefs-d’oeuvre de beaute plastique depour-
vus de tout voile; si ses dieux et ses deesses ont charme les yeux
par la perfection de leurs formes ou la gräce de leurs contours
seduisants, eile a fait preuve de la plus indiscutable logique, puisqu’elle
s’est inspiree de sa religion, de ses mceurs, de son climat pour
personnifier ceux que leurs actions glorieuses ou leur beaute parfaite
avaient eleves a la divinisation. Le paganisme fut avant tout le
culte de la beaute physique *et la glorification de la chair.
La civilisation antique, loin de precher Foubli du corps pour
exalter la Suprematie de Fäme, attacha une importance capitale
au developpement des forces physiques et de la beaute corporelle.
L’artiste etait inspire de toutes parts par les beautes qui s’offraient
ä sa vue. D’un cote un climat enchanteur favorisant la vie en
plein air; un£ nature belle et riche, et, mieux que cela, une race
d’hommes aux formes sculpturales, s’adonnant avec passion aux
lüttes et aux exercices du corps propres ä developper la force, la
gräce et l’agilite.
(i) Verg. hierbij het artikel van Erich Frantz, bl. 656, en
verder wat wij bl, 127 en 161 in 1888 over het opnemen van
artikels in het fransch geschreven hebben gezegd.