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https://doi.org/10.11588/diglit.42899#0123
DES ARCHONTES ATHÉNIENS.
111
Archontes athéniens postérieurs à la CXXIIe olympiade.
Αγαθοκλής. Oljmp. CLXIII, 3 = 131 av. J. C. (Cf. page 1, tableau 1).
Josèpli. Antiq. jud. XIV, 8, 5, 2. Meier, Comm. H, p. 79. Corsini, t. I,
p. 181 ; t. IV, p. 114. Clinton, année 131. Keil, Rhe'ui. Mus. t. XV111,
p. 67. Pittakis, Éph. Arch. ύύ. 4104. Komanoudis, Phil. t. 1, l'asc. 1.
Grasberger, Actes de l’Acad, de Würtzbourg, 1862, 1. 1.
| Αγαθοκλής]. Le même que le précédent. Classé par Westermann entre les
années 47 et 40. Philistor, I, 1. Keil, Rhein. Mus. XVIII, p. 67. Ce se-
cond archonte doit être rayé des listes. Cf. page 29.
Άγασίας. Amphore panathénaïque. Formule ordinaire. C. I. G. 2035. Cf.
aussi n. 33 ; 1.1, p. 888, n. 406. Nous n’avons aucun renseignement sur
le style de cette amphore panathénaïque. Toutes les amphores panathé-
naïques datées, sauf celle d’Agasias, appartiennent à l’époque pour la-
quelle nous possédons les listes complètes. Il est peu probable que l’usage
de ces sortes de vases, et surtout l’habitude de les exporter, se soient con-
tinués plus tard que le début du troisième siècle. Άγασίας doit donc être
assez voisin de la CXXII olympiade. Les nouvelles découvertes faites en
Cyrénaïque par M. Denys ont du reste amené M. de Witte à rechercher à
quelle époque peuvent être attribuées les amphores panathénaïques les
plus récentes. Je renvoie à sa dissertation insérée dans les Comptes rendus
de l’Académie des inscriptions et belles-lettres, 1868.
Άγνίας (cf. page 40). Catalogue Rossopoulos. Inscr. éphéb. Seconde période
de l’histoire de l’éphébie.
Άγνόθεος. Après l’olymp. CXL.1V, 4. C. I. G. 121. Début du décret; mention
de la tribu Attalide.
Άγρίππας, cf. Αθηνόδωρος..
ΙΙόπλιος Αιλιος Άδριανός (cf. page 74). Olymp. CCXX1I, 4 = 111 apr. J . G.
Phlégon, Mirab. ch. 25. Spart. Hadr. 19. Corsini, t. Il, 106; t. IV, 171.
Éph. arch., Il, p. 1, Sér. n. V2A. Philistor, III, 4, 1. Philologus, XIX,
p. 358. Suppl. II, p. 594 et suiv. Scheibel, ’Ολυμπιαδ. Άναγρ. p. 210. An-
nales de Vlnstit. de corresp. arch. 1862, p. 159.
[Πό. Αιλ. Άδριανός pour la seconde fois]. Corsini (1. 1.) admet un second
archontat d’Adrien,, olymp. CCXXVII, 4. Réfutation par Meier, Comm.
II, p. 79. Dion Cassius, 64, 16. Le premier archontat d’Adrien mar-
que le début d’une nouvelle période des Panathénées. Cf. p. 10. Ère
athénienne datée du premier voyage d’Adrien à Athènes; cf. p. 8L
111
Archontes athéniens postérieurs à la CXXIIe olympiade.
Αγαθοκλής. Oljmp. CLXIII, 3 = 131 av. J. C. (Cf. page 1, tableau 1).
Josèpli. Antiq. jud. XIV, 8, 5, 2. Meier, Comm. H, p. 79. Corsini, t. I,
p. 181 ; t. IV, p. 114. Clinton, année 131. Keil, Rhe'ui. Mus. t. XV111,
p. 67. Pittakis, Éph. Arch. ύύ. 4104. Komanoudis, Phil. t. 1, l'asc. 1.
Grasberger, Actes de l’Acad, de Würtzbourg, 1862, 1. 1.
| Αγαθοκλής]. Le même que le précédent. Classé par Westermann entre les
années 47 et 40. Philistor, I, 1. Keil, Rhein. Mus. XVIII, p. 67. Ce se-
cond archonte doit être rayé des listes. Cf. page 29.
Άγασίας. Amphore panathénaïque. Formule ordinaire. C. I. G. 2035. Cf.
aussi n. 33 ; 1.1, p. 888, n. 406. Nous n’avons aucun renseignement sur
le style de cette amphore panathénaïque. Toutes les amphores panathé-
naïques datées, sauf celle d’Agasias, appartiennent à l’époque pour la-
quelle nous possédons les listes complètes. Il est peu probable que l’usage
de ces sortes de vases, et surtout l’habitude de les exporter, se soient con-
tinués plus tard que le début du troisième siècle. Άγασίας doit donc être
assez voisin de la CXXII olympiade. Les nouvelles découvertes faites en
Cyrénaïque par M. Denys ont du reste amené M. de Witte à rechercher à
quelle époque peuvent être attribuées les amphores panathénaïques les
plus récentes. Je renvoie à sa dissertation insérée dans les Comptes rendus
de l’Académie des inscriptions et belles-lettres, 1868.
Άγνίας (cf. page 40). Catalogue Rossopoulos. Inscr. éphéb. Seconde période
de l’histoire de l’éphébie.
Άγνόθεος. Après l’olymp. CXL.1V, 4. C. I. G. 121. Début du décret; mention
de la tribu Attalide.
Άγρίππας, cf. Αθηνόδωρος..
ΙΙόπλιος Αιλιος Άδριανός (cf. page 74). Olymp. CCXX1I, 4 = 111 apr. J . G.
Phlégon, Mirab. ch. 25. Spart. Hadr. 19. Corsini, t. Il, 106; t. IV, 171.
Éph. arch., Il, p. 1, Sér. n. V2A. Philistor, III, 4, 1. Philologus, XIX,
p. 358. Suppl. II, p. 594 et suiv. Scheibel, ’Ολυμπιαδ. Άναγρ. p. 210. An-
nales de Vlnstit. de corresp. arch. 1862, p. 159.
[Πό. Αιλ. Άδριανός pour la seconde fois]. Corsini (1. 1.) admet un second
archontat d’Adrien,, olymp. CCXXVII, 4. Réfutation par Meier, Comm.
II, p. 79. Dion Cassius, 64, 16. Le premier archontat d’Adrien mar-
que le début d’une nouvelle période des Panathénées. Cf. p. 10. Ère
athénienne datée du premier voyage d’Adrien à Athènes; cf. p. 8L