8î Là Sciencë
B &: le tore A , qui sont au-dessus ; commé
ces moulures tournent autour de la co-
lonne, & l'enveloppent comme feroit une
ceinture , on sent qu'indépendamment des
ombres que reçoivent chacune de ces mou-
lures , elles en portent encore toutes sur
la droite une qui s'éclaircit, en venant
gagner la partie qui reçoit le jour_, comme
nous l'avons fait remarquer à l'égard du
cylindre , Chapitre III, Section première.
Ces moulures jointes à la plinte H, qui est
toujours quarrée , composent ensemble la
base d'une colonne. Si la plinte étoit vue
par l'angle, au lieu d'être vue en face, on
conçoit que la surfaee qui ne recevroit
point les rayons doit être ombrée.
SECTION IL
Du lieu & de la nature des ombses
fur le chapiteau d'une colonne.
Fîg. 200. S I le jour donne sur le chapiteau d'une
colonne , représente par la figure 200 s
on voit que la saillie du lifitau ou rêglet
A, fait une ombre sur la moulure iui-
vante B.
Cette moulure B, qu'on nomme talon
B &: le tore A , qui sont au-dessus ; commé
ces moulures tournent autour de la co-
lonne, & l'enveloppent comme feroit une
ceinture , on sent qu'indépendamment des
ombres que reçoivent chacune de ces mou-
lures , elles en portent encore toutes sur
la droite une qui s'éclaircit, en venant
gagner la partie qui reçoit le jour_, comme
nous l'avons fait remarquer à l'égard du
cylindre , Chapitre III, Section première.
Ces moulures jointes à la plinte H, qui est
toujours quarrée , composent ensemble la
base d'une colonne. Si la plinte étoit vue
par l'angle, au lieu d'être vue en face, on
conçoit que la surfaee qui ne recevroit
point les rayons doit être ombrée.
SECTION IL
Du lieu & de la nature des ombses
fur le chapiteau d'une colonne.
Fîg. 200. S I le jour donne sur le chapiteau d'une
colonne , représente par la figure 200 s
on voit que la saillie du lifitau ou rêglet
A, fait une ombre sur la moulure iui-
vante B.
Cette moulure B, qu'on nomme talon