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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 1.1868

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https://doi.org/10.11588/diglit.3702#0062
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L'ECLIPSE

preu

TROUBLES AU SQUARE LOUVOIS

'Samedi, de la me de Ridhelieu, midi.

Je vous l'avais bien dit, mon cher Palo! «Ce que j'avais prévu
arrive en ce moment.'Le square Louvois présente depuis plu-
sieurs jours le tableau le plus lamentable, le plus empoignant 1
Ce ne sont que cris et gémissements dans toutes les bouches, ce
ne sont 'que larmes et sueurs glacées sur tous les visages!

C'est un spectacle à fendre l'âme d'un président de 6Q chambre 1

— Mon Dieu! mais qu'arrïve-t-il donc, là*bas, bfcn loin, au
square Louvois? demandez-vous.

Eh quoi! mon cher ami, ne vous rappelez-vous plus mes der-
nières paroles?

Pendant la quinzaine de Pâques, on ferme les salies de la
Bibliothèque impériale, vous le savez? G'est bien.

Mais cette année, à -cause des travaux d'emménagement des
livres dans la nouvelle salle de lecture, ou n'a pu Indiquer avec
précision au public l'époq;;;j de la réouverte de la Biblio^
tèque.

« Une affiche ultérieure Vannoncera,» a fait écrire Mi Taschereau,
sur un petit bout de papier blanc, à la porte de son temple.

Depuis que ce petit morceau de' papier se balance, rue de Ri-
chelieu, à la hauteur du shako de la sentinelle qui veille aux
barrières de la Bibliothèque, une foule, sans cesse accrue de lec-
teurs de tous âges, depuis l'enfance jusqu'à l'extrême décrépi-
tude, s'amoncelle devant la porte, pleurant et geignant, encom-
brant la voie publique, interceptant le cours déjà assez irrégùlïer
des omnibus, et surtout inondant les portiques laissés à sa dis-
crétion !

Le square Louvois est devenu un camp. Oti y mange, on y boit.
Plusieurs lecteurs'acharnés couchent môme sur les basos, profi-
tant odieusement ainsi de la clémence de la saison.

Quelques échelles, car les habitués désolés songent déjà, à l'es'
calade, circulent sous le manteau. Je les ai vues. Ces gens sont
capables de tout ! Le monsieur à barbe noire qui Ht alternative-
ment, depuis sept ans, le premier volume du Consul ai et de V Em-
pire, et l'Histoire des Samoîêdes, se fait remarquer parmi les plus
ardents. Il a acheté des boîtes d'allumettes. Pourquoi? Voudrait-
il imiter Omar? Horreur !

Le chevalier dcF,.,, son mouchoir à carreaux sur la tête comme
toujours (tel un mortel qui fait sa sieste), donne, par instant, de
petits coups de canif dans le battant droit des portas.

MlleL... (soixante-dix ans de salle de lecture) s'est chargée du
battant gauche (côté du cœur)!

Le concierge, Desrqches, charge sa cou;euvrine dans l'intérieur
de la bibliothèque. On l'entend déchirer.,, touche avec effort.

Cependant le flot houleux se rue sur la port© et l'ébranlé.
M. Taschereau se montre sur le toit, un sceau de bonnes raisons
à la main, et quelques lettres aux journaux dans sa poche.

— Que voulez-vous ? dit-il, majestueux et impeccable.

— Savoir tout de suite l'époque de la réouverture. Nous sé-
chons d'impatience. Nous avons le nez cassé; depuis huit jours.
Ouvrez I Ouvrez I Nous voulons lire. Nous avons faim de lire !
Nous avons soif de lire ! Ouvrez !

— Vous le saurez ultérieurement, fait le superbe directeur, ejj«
voyant dans les airs une réponse à un journal quelconque ! — Et
il se retire, tel Akilleus au pied léger!

— A sac! à sac ! hurle la foule, mer tumultueuse et qui ne
sent pas bon. Et de nouveau la porte retentit sous leg coups de
canif du chevalier de F..., et de mademoiselle L... (soixante-
dix ans de salle de lecture).

— Yiva la Franeia, viva Garibaldil chante sur un air trop
connu, un digne Italien à moustaches et à cheveux blancs. Ou-
vrez-moi. Je serai très discret, pas bruyant, Un livre greo, mes-
sieurs, rien qu'un livre grec, ou je meurs!

— Non ! répond Desrocbes, de l'intérieur, pesant de tout son
poids sur la herse (?) Non! pas un livre (Et le vieux ^ave fleure),

— L'histoire des Samoièdes, crie plaintivement par le troa de la
serrure l'homme à la barbe noire.

— Non I mugit de nouveau Desroches, et Combat, le trieorne
en frégate, vient lui prêter main-forte, — Mille hommes au ravin !
mille hommes aux créneaux I hurlent des voix souterraines, et l'on
entend tomber des piles de livres rares !

Mais quelle clameur soudaine fait tressaillir jusqu'aux sfatu.es
de bronze de la fontaine, dans le square !,

Oh! malheur! trois fois malheur! C'est le vioauate de la B---
(le monsieur qui copie textuellement des Histoires de Fraties Hligk
conques, pour se faire la main, depuis cent sept! ans) q*oi vient dô
se trouver mal.

Combat, le brigadier, lui offre tous les matins une prise. Et
voilà quinze jours que cette prise — elle équivaut à celle êo la
Bastille pour le vicomte de la B,.. — lui est refusée. Pas de
prise depuis huit jours. — Le vicomte reprend ses esprits avec
peine, et verse des larmes abondantes.

Tel est, mon cher Polo, l'affreux spectacle que le square Lou-
vois, offre aux regards des voyageurs de l'impériale, qui vont de
l'Odéoh à Batignolles, et vice versa.

Comment tout ceci finira-t-il ?

Je vous engage à. aller vous promener par là, vers trois heu-
res, Il serait bon de semer froidement quelque alarmante nou-
velle dans ces cœurs déjà si ulcérés. Peut-être ©btiendrions-nous
par ce procédé l'abdication de M. Taschereau, et sa mipe au se-
cret dans des cachots très noirs et particulièrement humides !
Je vous qerre la main,

SftNBST B'HflKVILt.tf.

SAZETTE A Là iÂIH

... Que si vous mo demandiez, par hasard, ce qu'il y avait cette
.Pâques-oi jsr comme la précédente — à la Foire au pain d'kpiois
o'e ïa place du Trône, je vous répondrais — certainement i— avto
r.otremaîtrs Féval :

Il y avait le' dentiste de l'empereur du Brésil, le pédicure de Sa
très gracieuse Majesté la reine d'Angleterre, et le savant chimiste
qui lubrique les ouirs à rasoir de l'automate #§ toutes les Rusaiee,

Il y avait aussi, bien entendu, le célèbre Cochorie, Laroche,
l'universel, les frères Grégoire et le cirque Bouthors, — toute
l'aristocratie de la baraque...

Il y avait — enfin — la dam,e incomplètement lavée qui tire tes
cartes aux archiduchesses d'Autriche, la somnambule ordinaire
des infantes d'Espagne, l'Abencerage qui livre aux palatins le
vernis pour les chaussures, et le général argentin qui, non con-
tent de dégraisser la cour de Suède, fourbit encore les casserolles
du palais de Saint-James, recolle les porcelaines de l'Escurial et
vend — par privilège — le poil à gratter à la maison du roi de
Prusse !

Oh ! ce Féval I

II,y a comme cela, dans les livres qu'il bourre d'intérêt, du pi-
gnon au caveau, des coins humoristiques qu'illumine le rire, —
le rire substantiel de Rabelais, le rire du peuple, —lourd et ter-
rible comme un pavé, — le gr.os rire éclatant des gars de Basse-
Bretagne, démasquant les trente-deux crocs d'un Gavroche pari-
sien !.,,

J'ai lu hier — tout d'une haleine — le volume nouveau que
vient de lui éditer Dentu :

l.a rue de Jéi-usalora.

La rue de Jérusalem !...

Quoique incrustés enlettres sombres sur une muraille plus som-
bre encore, ces trois mots flamboyaient jadis comme le Lasciaie
ogni speranza des uns, comme le Mané-Thecel-Pharès des autres,
au coin du boyau sinistre, étroit et ténébreux qui reliait le quai
des Orfèvres à l'antre de la Sûreté.

Boile*ui y était né, je crois, et Voltaire y avait passé une partie
de son enfance...

Mais la légende de Vidocq et de Coco Licour y faisait tort —
assurément — au souvenir de ces deux lieutenants criminels du

La Rue de Jérusalem es*; un roman mathématique.

Paul Féval n'appartient pas, en effet, à cette Ecole du Non Sens,
qui prend, pour les élans de l'imagination l'hystérie de la vio-
lence, de l'excessif et de l'absurde...

0 liberté... de la boucherie, que de crimes l'on commet en ton
corn — au bas des feuilles populaires !...

Si seulement, dans ces amoncellements de cadavres, on ne dé-
couvrait paa parfois la Syntaxe portant au flanc le couteau dj Ro-
oambole on l'Orthographe ayant'au cou le lacet de Feringhea!...

L'écrivain qui nous occupe procède, au contraire, par le sim-
ple, le possible et le vrai. Chacune de ses œuvres récentes est cu^
rieuse comme

lité.Son drame a l'inflexible puissance

avec le prestige du rêve et ces folles terreurs du cauchemar toutes
baignées d'un charme acre, subtil et souverain!

; une partie d'échecs entre le Fantastique et la Réa-
ïe a l'inflexible puissance du fait gui peut être arrivé,

Le comique H... a imaginé, à l'endroit de. ceux qu'il baptise
les bourgeois, ce qu'il appelle une excellente balançoire.

Ii vous aborde dans un lieu public, et, donnant de la voix
comme une meute :

Cher ami v>us crie-t-il, vous savez que j'ai perdu ma

— Ah!..,

— Mon Dieu, oui, Son agonie a duré dix-sept heures. C'était
d'un rigolo à tout casser.

Plusieurs personnes prêtent l'oreille.
H... continue en forçant le diapason :

— Quand les crises l'ont empoignée, elle m'a prié d'aller cher-
cher un médecin... As-tu fini? Est-oe que j'étais son domesti-
que?... Je m'ensuis allé au café, tout tranquillement, faire un bé-
siguede longueur, et, à minuit, j'ai été souper avec Andréa jusqu'au
lendemain matin. — Lorsque je suiB rentré, ma femme était
claquée, et les enfanta pleuraient comme des veaux', à cause de
laur mère, d'abord, et puis-parce qu'ils crevaient de faim depuis
la veille... J'ai flanqué le fouet aux moutards...

Vous vous mettez à regarder II,.. avec stùpaur...

La galerie murmure.',.

Votre interlocuteur poursuit, en parlant plus haut :

r-Ona enterré ma femme hier. J'étais pochard, oh ! mais po-
chard!... J'ai fichu les »omes aux Enfants-Trouvés, et j'ai filé
chez Andréa...

En entendant un homme décemment couvert arborer de pareils-
sentiments et de pareilles expressions, la galerie s'éloigne avec
dégoût.

Vous restez ahuri.
H... vous tape sur le ventre.

— Hein, ma vieille, comme c'est joué ! Avez-vous assez connu
dedans ? Ah I mais, c'est que je la fais bjan,j la balançoire '

Le soir de Pftques, H... va au théâtre Beaumarchais.
La salle est comble

pa

On le place dans une loge de quatre personnes, déjà occnnft0

.r deux dames, Ml■

On cause.

Entre un monsieur à moustaches grises et décoré.

Celui-ci, après avoir toisé H... s'écrie d'une voix de tonnerre ■

— Ah! ça, vous n'avez pas la prétention de rester auprès rlÂ
ma femme et de ma fille, j'imagine? * 9

— Monsieur...

— Oh I mais je vous connais, moi ! Je v»ug ai entendu l'autru
jour, au café, vous vanter de toutes vos 'infamies. Vous êtes tin!
fumeuse canaille ! - *

*
* #

Et la monsieur de raconter au public l'histoire do la femmG
élaguée et des enfants qui crevaient de faim,,.

Tumulte épouvantable.

H... est criblé de huées — et d'œ'ifs rougas.

Les sergents de ville ont beaucoup de peina à le soustraira à
l'indignation de la foule, — et bousculé, déchiré, contusionné il
est encore poursuivi, jusqu'à son domicile, par les clameurs—
fit l"s projectiles — dft.la multitude furieuse.

H... ne la fera plus, la balançoire !

Un petit crevé, plus fort comme activer que comme humaniste
se présente aux examens du baccalauréat. '

Grâce au nom de son père, haut placé dans le monde, et à de
puissantes recommandations, on l'interroge pour la forme ! il
passe aussi facilement que sur le pont-aux-ânes. '

Le succès rend ingrat, parfois môme insolent.

— Quoi! ce n'est que cela I murmure notre impertinent tout
surpris de se voir bachelier à si bon marché. Que ne l'ai-ie su
plus tôt! au lieu de laisser mon cheval à la porte, je l'aurais
présenté à l'examen,

— Vous auriez eu tort, jeune homme, riposte un examina-
teur doué d'une oreille assez fine; nous ne recevons jamais
qu'une bote à la fois.

La vicomte de R..,, qui affiche publiquement pour Dulcinée
une beauté connue- par sa maturité, porte sentimentalement en
breloque un cachet sur lequel se dessine un lierre entouré de
cette légende : Je meurs où je m'attache.

— Que le vicomte a dons bien choisi son emblème! disait en
riant aux éclats la comtesse de Z... : le lierre se plaît sur les
ruines.

Comme tous les esprits élevés, en môme temps qu'humains
M. Jules Lacroix adore dans Shakespeare le Beau, le Grand la
Vrai.

La Comédie-Française lui doit Valêria et le Testament de César,
— deux œuvres saines et fortes, — et l'Odéon, une traduction de
Macbeth qui fut l'un d«s plus éclatants succès da ces dernières
anuêes.

■ Le Roi Lear aura-t-il la même vogue ? Je n'ose l'espérer. —
Pourtant Beauvallet, Taillade et Paul Deshayes y sont très remar-
quables.

Quant à Mlle Agar, je me demande en vérité comment elle a
pu mériter l'honneur que VEclipse lui a fait la semaine passée.

Le Palais-Royal, revenant avec grand' raison à ce que feu Cou>
part appelait les saines traditions de la gaieté française, vient de
mettre en répétition le Lys de la Vallée,— trois actes de MM. Grange
et Bernard, qui serviront de début à Alphonsine.

Nous ne doutons pas que ce retour à un genre un peu négligé
depuis quelque temps ne soit très apprécié et très applaudi ou
public, qui commence à se lasser d'Aristide Oflanbach et de ses
stmpiterneis mirlitons.

On demandait à Mlle M.,,, une ex-actrice de l'Ambigu ;

— Comment avez-vous pu prendre pour amant un mulâtre?

— Que voulez-vous ? Je suis en deuil,

C'est la même Mlle M... qui disait au même M. C... :
— Il y a longtemps que je n'ai mangé du pain d'ôpice. Viens -
ue je t'embrasse.

Emile Blonoet.

IGn vente eu bureau «Se L'ÉC£,IJPSE

Paris ~ 5, cité Bergère

ALBUM DE LA LUNE

PORTRAITS-CHARGES DESSIIVÉS PAR A. GILI

1 Ces portraits, choisis parmi les plus remarqués de ceux publiés
par notre journal, forment la plus amusante comme la plus res-
semblante galeuwe contemporaine. Toutes les célébrités de la
politique, des lettçes, des arts et du théâtre s'y trouvent rassem-
blés.

Tirés à part sur papier vélin satiné et colorié avec le plus
grand soin, ces portraits forment on magnifique album grand
in-8°. L'Abum pris dans nos bureaux ÎO francs. — rendu /V«wcq
à domicile : 12 franos.

Du TRAITEMENT dea nial&dies tiontagieuuea ot affections de fa pt»u
par la mo-
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wume:r.os x>3e k-^v x--buiwiss i=»^*.s:©i

' CHARGES Prix

Les Lunatiques ( Très rare)....... 50 ^>

Le3 Etoiles populaires........... 3*

Dernier quartier,................ » KO

Un bal dans la Lune. {Rare)..... 10 «

Ce qu'on voit dans la Lune. (Rare.) 8 »

Les Travailleurs de lamer. (Rare.) b u

Frontispice..................... » 50

Les journaux vont vite.......... "50

Revue comique................. 1 »

Le salon pour rire. (Rare)....... 6 »

D° d° ..... 1 »

Le boulevard Montmartre....... 1 »

r'.ml^magorie............,...... 1 »

Cendrillon.....................- » 50

Celle que j'aime................ » 59

Un voyage an Grand]- Tb6S.tre-

Parîsien...................... » 50

Carte du Théâtre de la guerre.... » 50

Aux Pieuvres les Timides!...... 1 »

Blondïn......................... 1 »

N°* charges Prix

20 Le Fusîl à aiguille.............. 1

21 Le mois d'août................. 1

22 Le câble transatlantique..,.*,... 1

23 Le Quinze Aoiit.............,,. . 1

24 Une femme à la mer............ 1

25 La dernîire mort de Rocambole. 1

26 Les 'faugs. (1res rare.).......... 10

27 Th6résa........................ 1

28 La Bourse du jour.............. »

29 TimolMe Trimm............... »

30 L'été de 1S'G6................... 1

31 Les Ogres du journalisme....... 2

32 Vie loricri Sardou................ 5

33 Suzanne Lagier................. 5

34 Le Théâtre moderne.........

35 Oïïenbach..............___

30 Emile de Girardin...........

37 La rédaction du Figaro.....,

38 Adelina et Carlotta Patti...-.

39 Alexandre Dumas père.......

15

Noa CHARGES F

40 Les Odeurs de P-aris..,.......... »

11 Paul Féval.....".....,.......... »

42 M0 Lachaud...................., »

43 La Rédaction de la Lune-....... >•

Il Strauss et les Clodoebes......... »

45 Théâtre de la Lune......,. ..... l

46 Schneider-Silly.........,....... »

47 Mélingue....................'... »

48 Mlle Cora Pearl...........,..... u

4!) Miss dada Menken......,........ »

50 L. Havin........................ »

5 i Ponson du Terrai!............... »

52 Le BçeuT gras................... »

53 Glais-Bizoin-.................... !

54 Thiers...................,...... i

i5 Alex. Dumas [ils........•......... »

56 Jules Favre...................... »

57 M. de Bismark................., »

■8 Le baron Brisse.............,-.. «

50 Louis Vcuillot.........'.....,,.., »

N«a CHARGES

60 M1»* Mario Sass................

6i Henry Roehefort et Albert Wolf.

62 £rncst Renan..................

63 Vict.r Hugo,.6...........,.. ..,

Si M"1" Ugalcie....................

65 Nadar.........................

66 Courbet........................

67 Fréclérick-Lem;iUre.............

6S Le Dompteur Batty ...........

6Û Hcrnani (Auguste Vaequcriû)....

70 Ros*iiu.........................

71 Jules ValJès..........'..,., ...

72 Ernest Picard......, ,„....;....

73 Juarez et Lopez ...'.,...........

74 Salot (Casque-de-Fer)..........

Fanfan ÏÏcnoîton.............

76 Paul de Kock.............■......

77 Edmond About____,...........

75 Le Zouave guérisseur............

79 Le Générel Prim........... ...

Si SES ÏF* ^. 3=ï 32=2 ïfeE 3E EW T

Prix

» 15

rtARtjE:

Prix

80 And. Gill.»

St Gariboldi........,,..,..,......: » 25

82 Ferdinand de Lesseps............ ■* lï

S3 Jules Mirés..................... » 15

8i Laferrière....................... « î|,

85 Le Docteur Ricord .,.....-....... » 25

56 Les jolies Actrices de Paris...... >» 25

80 àis. La Résurrection de Rocambole. » 50

57 Les Lutteurs masqués............ » $ft

$8 Virginie Déjazet................. "

89 Portrait authentique dcRocambqle.

90 La Réduction du Corsairu........ - '«

91 Madame Galli-Marïé............. » *5

92 Madame Judith.................. » ^

93. La Résurrection de Théwsaa».., ■. * *5

94 Théodoros, rot d'Abyssimo....... » ^

95 Alfred Darimon................. » 15

96 Figaro en voyage...........,, ,. » 13

97 Le Couple iVlontrouge ,.,,....... » *5

"" Ernest Feydeau...,.,,..........■ » 15

15

Bien indiquer ceux des numéros qu'on désire. Envoyer le montant de la demande en mandats ou timbres

franco par retour du courrier.

LA COLLECTION COMPLETE: 100 FRANCS

■poste, à l'adresse du directeur de YEclipse, 5, cité Bergère,

Paris. Envoi

F, PO

Trol.

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OUHeAU*. I

Le Gérant ! L. MAUGER,

Paris.— ïmp G. tfowne, mo d'Aboutir,, i
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