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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 1.1868

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https://doi.org/10.11588/diglit.3702#0093
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A L'OCCASION DE LA FÊTE DE LA PENTECOTE

A PRIX RÉDUITS ,

• l)ussé-jo froisser l'amouivpropro d'autour ou les convictions
• l'imes de ce fantaisiste disciple do point Crépin, je ne lui caolie-

ai pas plus longtemps que sos affiches ueologiqucs ne tendent à
"en autre tju'a fairo passer les Français, on général, ot les catho-
fLes en particulier, pour do simple va-nu-pieds, puisqu'elles

poissent ;nsmuer qu'il faut a ecux-oi l'occasion d'une grande
fête pour se payer une paire do souliers en veau.

• Il est do la plus incontestable évidence que si un jouno
Océanien, fraîchement amené & Paris par les soins clos Missions
étrangères, so trouvait en faoc do l'uno do ces affiches, il se tien-
drait ce raisonnoment erroné :

,, Puisqu'il « I'ocoision » dos plus grandes «tes de la calholi-
c!le on vend aux fidèles des chaussures à vis, prix réduits, c'ost-
a dire a la portée des bourses pieuses mais dégarnies, j'en con-
clus que l'une des choses les plus agréables au Soigneur que
Pon puisse faire lors des solennités religieuses, c'est de porter
dès chaussures à vis. Pour prouver mon zèle aux bonspèros, et
bien que je sois gueux comme Job, jo vais m'offrir des escarpins
retapés! »

» Je déclare, pour ma part, que si j'étais M. Louis Vouillot,
je" no laisserais pas échapper cette magnifique occasion do com-
battre une hérésie naissante ; je prendrais mon bon gourdin de
Tolède et je tomberais a bras raccourcis sur ce mêli-mêlo de
cordonnerie et de catholicisme qui peut induire en si grande
erreur les fîmes naïves ot peu éclairées.

I e II. P- Citrouillard, du Tintamarre, me répondrait peut-être

nue ces chaussures sont d'une grande efficacité pour lo salut do

l'âme puisque, grâce il elles, on foule les vis aux pieds ; mais ce

barbare jeu de mots ne suffirait pas, je lo jure, pour arrêter, en

narcil cas, les élans de mon gèle,

1 Jules Pelpel. ,

PHRASES PERDUES...

1SB1... C'est l'heure de la première communion,— Mai
rayonne, parfumé de violettes, de lilas, de giroflées et de mu-
guets. Des troupeaux de robes blanches glissent sur les trottoirs
gris. Le soleil argenté les jupes où tombe la neige des voiles....
Et ces longues théories de vierges font de nos rues et de nos bou-
levards comme d'immenses voies lactées : — Goutteleites jaillics
de la gorge de sainte Mousseline !...

Regardez cette fillette, entre toutes,

Elle marche, brebis sans tache, dans son impénétrable candeur.
Sur le tissu qui, de la tête aux pieds, l'enveloppe, l'œil se brise,
impuissant. Elle redoute même un regard, a l'égal d'une souil-
lure... Aussi n'entrevoit-on qu'à peine l'or de ses cheveux et les
roses de sa joue, sous les vagues transparences du tulle aux grands
plis... Fou qui tenterait de deviner son profil!

Les falbalas tapageurs des parentes qui vont — froufrouant —
derrière elle, trahissent sa fortune et font pressentir sa naissance:
elle so nomme Mlle Jeanne-Antoinette Béatrice d'Escudor.

II

1868,,. C'est le temps des t'êtes du monde. — Elle est ma-
riée depuis quinze jours. Dans les salons pourtant, la voici déjà
reine. La mode, c'est elle !... Galanteries et doux propos caquet-
lent autour de sa beauté, comme les pierrots des Tuileries au-
iour du charmeur. — Adieu, mousseline! Salut, dentelle! Les
pudeurs de la jeune fille no sont plus; vive les audaces delà
femme! Elle se laisso voir,tant et si bien, aujourd'hui, qu'on dé-
terminerait le diamètre do son sein, presque à coup sur.

Et pourtant, à chaque nouveau bal, Péchancrure du corsage
s'abaisse encore. Le mari, dans sa vanité bèto, n'est pas fâché de
faire ainsi convoiter, à moins riche, les trésors qu'il possède —
seul, parbleu! Du reste, il se dit que la part du feu.,, des regards
ci rcon voisins, une fois faite, le corsage restera forcément station-
naire : la distance serait trop rudo à franchir qui sépare la cein-
ture do la cheville !...

— Hélas ! — Tandis que le corsage persiste à descendre, la jupe
commence à monter. Baisse en haut; hausse en bas. L'ourlet
finira par rencontrer la guimpe. Ce jour-là. madame en sera ré-
duite aux expédients d'Eve. — Hatez-vous messieurs, de planter
des liguiers!

JULEK DëMHNTHE.

GAZETTE A LA MIN

Mabille, — ce Casino aine, -? l'autre est le Casino Cadet, —
Manille voit actuellement la jeunesse française se livrer— autour
de ses palmiers au tronc do bronze, — aux feuilles de zinc, aux
fruits do gaz, — a une promenade effrénée qui ne finira guère
qu'à, la Toussaint.

Que dis-jo? la jeunesse française!...

La jeunesse du monde entier envoie des députations vers l'ave-
nue Montaigne — pour tourner, tourner sans cesse!

Dites : quel peuple n'a pas tourné dans ce jardin chorégra-
phique — depuis 1 Ecossais, qui ignore le pantalon, jusqu'au Bré-
silien, qui sème des bouchons de carafe sur le plastron de ses
chemises, et depuis le Persan, qui ne dépose jamais sa robe de
chambre, jusqu'au Chinois, qui porte un cordon de sonnette vissé
à l'occiput?

Ce tournoiement perpétuel a inspiré le projet suivant à un gar-
çon de beaucoup d'esprit :

On canaliserait les promeneurs, c'est-à-dire qu'on les prierai
de tourner moitié dans un sens et moitié dans l'autre. Chaque
moitié cheminerait sur un plateau distinct, et séparé de l'autre
par une balustrade. Ces plateaux, agencés en façon de turbines,
seraient mobiles, et recevraient leur impulsion de la marche
môme des promeneurs. En un mot, ce serait l'application hori-
zontale de ce qu'est verticaloment un chien qui. s agite dans un
tournebroche.

L'inventeur a calculé qu'on trouverait aisément l'emploi de cette
force motrice énorme, qui jusqu'à présent s'est dépensée en pure
porto. — Elle pourrait, par exemple, remplacer la pompe à feu de
Chai Ilot ou conduire les eaux de la Vanne à Paris.

De la sorte, tout individu, femme ou homme, allant à Mabïlle,
aurait la conscience d'apporter à l'humanité son contingent de
travail.

II ost môme probable que chaque unité motrice, au lieu de
paye]* trois francs à la porte, pourrait recevoir une rénumération
rie cinq ou six centimes.

Personne n'ignore quel concours dévoué M. deGirardin apporte
aux idées vraiment utilitaires, Je suis donc convaincu que la
Liberté ouvrira ses colonnes à tous les travaux relatifs à un sujet
si intéressant...

Encore un mot :

L'auteur de ce projet d'intérêt hydraulique est un ancien col-
laborateur du Nain Jaune, remercié jadis à l'avènement du tzigane
Grégory Gancsco.

Celui-ci ne le trouvait point assez sérieux pour écrire dans une
feuille d'économie — d'économie! — oh! là là! — politique et so-
ciale.

Qu'on le décore !

Pas M. Grégory... Tlorreseo... refffîensl...

Non point que ce dernier ne soit digne de la cruïx..,

Mais il a le temps d'attendre — et 1 on verra plus tard.

En passant sur la place de la Bourse, j'ai recueilli cette con-
versation :

— Vous n'achetez pas de Mobilier?...

— Non ! j'ai perdu ce qui me restait de ma mère à la dernière
liquidation.

— Alors vous êtes à sec ?

— Nonsuis on train do réaliser un oncle...

On demandaità Alexandre Weill :

— Préparez-vous quelque nouveau travail ?

— Oui ; mais je renonce à Vèrcintemcnt, je me lénifie, je vais
faire du panégyrique...

— Vraiment!

— Désormais, j'entends distribuer la réputation à qui bon me
semblera...

■— Diable ! murmura P... M... en souriant, ne la prodiguez pas
trop! Vous en avez besoin pour vous.

■ludltla Ferroyra

Judith Ferreyra vient de mourir!...

Elle avait à peine (rente ans!...

Jolie, — intelligente, — avec des yeux.de velours et des prin-
cipes de carton, cette Judith des Variétés, de la Porte-Saint-
Martin.

G'étaït-cIIc qui disait à X... d'une voix h-résistiblG :

— N'est-ce pas, cela ne te l'ait rien que je te trompe pour le
terme ?

Théâtre du Prince-Impérial.

J'applaudis — de toute ma plume — à la réouverture de cette
scène populaire...

Non, parce qu'en ces jours vengeurs de désastres dramatico-fi-
nanciors, il importe de souenir un directeur habile, probe et au-
dacieux...

Non, parce que la pièce représentée — en ce pioment — est

suffisamment intéressante, suffisamment montée, et Jouée.....

suffisamment,.,m

* *

Non, parce que log décors on sont très beaux, les costumes
très riches et très pittoresques et très ingénieux...

Non, non, non...

Mais parce quo Jo ballet d'Ali Raba m'a rendu mademoiselle
Pauline de Trébizourfe, dont l'origine, remontant le bosphoie
Saint-Martin, se perd dans la nuit de la Cnijrtillo..,

Mademoiselle Pauline de Tréhizonde est fille du sultan de ce

nom, dont les Etats, comme vous savez, s'étendent de Pantin a
Bellcville.

A l'âge d'un an moins quinze mois, elle fut enlevée par des
marchands de contremarques, qui, après lui avoir fait donner la
meilleure éducation, la cédèrent plus tard à un fabricant de
pommes do terres frites.

Longtemps, cette jeune héritière débita ce légume plébéien au
coin du faubourg du Temple et de î'estaininé bj Doisteaii...

I4C faisait-elle rissoler — le légume — à la flamme de sa che-
velure?

Il est permis de le supposer.

Oh! cette chevelure!...

Chaque soir, Pauline est attendue, à la sortie des artistes, par
plusieurs gentlemen qui n'appartiennent pas précisément au Joc-

key-Club..
Je demandais à

— Que l'nuL cas

— Ils Cultivent h

citoyens ?

Mademoiselle de Tréhizonde possède- les extrémités de la reine
Berthe.

Ouï, mais la reine Berthe filait...

Pauline ne file pas:

Elle se contente de faire des grimaces au publié. -~ et In féli-
cité du chef de servicede la salle...

L'autre jour, à la suite d'une altercation conjugale, ce mesfre d
claque en reçut une de son amante, capable, de 'lui défoncer ï'esto
mac...

Lo lendemain, la fillette soupirait :

— Je crains de lui avoir cassé un navire dans la poitrine,

Elle voulait dire un vaisseau!

Lo Ballon cnpUf cïo PBlippotlroino

C'est Vattraction, — la mode, — la fureur !...
Chaque jour est devenu la fête de V ascension \...
On est tenté do se croire si grand — alors qu'un voit les autres
si petits !,..

Nous apprenons —- avec ivresse
laboralcur Léon Bienvenu , — Bi
Gommerson, — rentre au Tiniamai
teur associé.

Nous apprenons — avec non nid
Gustave Lafarge, — porter thé.
YEcïneiiintt illltstré, — est nommé :

Oyez, bourge-ois, gentilshommes

— quo notre confrère et col-
mvenu, comme devrait dire
'e—en qualité d'administra-

ns de délire — que notre ami
itral du Constitutionnel et de
errétaire général de la Gaîté.
et manants!...

On avait causé de Bourdin...
On avait causé de Jouvin...
On causait de leur beau-père...

— Pour celui-là, fit une dame, c'est eue orc le plus amusant de
ses gendres.

— Etes-vous allé au Salon? demandait-on à Courbet.

— Je n'y vais jamais quand j'y ai un tableau.

— Pourquoi cela ?

— Parce qu'alors je n'ai pas le temps de regarder les autres.

L'historlelSe cïe la (In.

Un épicier — un de ces vieux épiciers à épiées, et non, comme
de nosjours, un marchand de denrées coloniales — avait vendu à
Frédérick-Lernaître, je ne sais quoi de très mauvais' et d'excessi
vcment avarié.

Cet épicier demeurait près du Palais-Royal, dans une de ces
boutiques séculaires qu'on ne voit plus que dans les décors de
drame.

Trompé, Frédérik résolut de causer une salutaire terreur au
négociant prévaricateur.

Un soir, un soir d'hiver horrible et ténébreux, un étranger se
présenta chez l'épicier coupable.

Un feutre noir, un manteau couleur de muraille, un pourpoint
gris, une rapière, tel était le costume de l'inconnu...

11 s'avance près du comptoir, et do cette voix héroïque efc
royale, que oout le monde lui a connue, Frederick, — car c'étai t
lui, — s'écrie :

— Epicier coupable, il est onze heures ! à minuit, il y aura —
un chat crevé sur ton comptoir.

Et splendide, méprisant, le comédien, décrivant en l'air des
gestes surprenants et indescriptibles, disparaît...

L'épicier, ahuri, n'y comprenant rien, s'abîme dans des rôves
sans lin...

Une demi-heure plus tard, sombre, terrible, ironique, s'avance
dans la boutique, lugubrement éclairée par un quinquet, un au-
tre inconnu tout de noir vêtu.

Ses yeux roulaient, flamboyants, sous d'épais sourcils...

L'épicier tressaille, et se recommande à la sainte Vierge.

— Epicier coupable ! gronde alors la voix profonde, pleine d'a-
mertume, de l'inconnu, — qui n'était autre que Bocage, — il est
onze heures et demie !—A minuit, il y aura un chat crevé sur ton
comptoir.

Pour le coup, en écoutant les paroles du sublime amoureux
enfiévré qui faisait frémir toute une salle, l'épicier se trouble, et
sent une sueur perler sur son front...

A minuit, pareil au taureau mugissant, impétueux comme.
Neptune offensé, implacable comme Néron, Beauvallet, entouré
de terreur, entre et fait éclater toute la puissance de son organe :

— Epicier coupable! — il est minuit! —Voilà, voilà le chat
crevé !

L'épicier tomba
grandi !

Quand on le releva, — il avait
Emiui Bl-ondet.

-,„•«!-« 1"""

Le sargoiit a dit ;

L'amour c'est lo fapin de Cythore,
, oiisqu'il y ,1 un régiment de vo-
lupeté.

Sargent, qu'est-ce ça gné que
velupelé ?

llùlou ! je crois que vous raison-
nez. Je vous colle pour deu^
jours h la salle de police.

{La suite ait-prochain umèro.)
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Les amours du fusilier Midou (suite) - par Gédéon
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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré
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Bildunterschrift: "Le sargent a dit:" "L'amour c'est le tapin de Cythère, ousqu'il y a un régiment de volupeté" "Sargent, qu'est-ce ça gnè qué la volupté?" "La volupeté.... c'est la volupeté!" "Mais sargent..." "Midou! je crois que vons raisonnez. Je vous celle pour deux jours à la salle de police" Signatur: "G" Sonstige Angaben: "(La suite au prochain (n)uméro.)"

Maß-/Formatangaben

Auflage/Druckzustand

Werktitel/Werkverzeichnis

Herstellung/Entstehung

Künstler/Urheber/Hersteller (GND)
Gédéon
Entstehungsort (GND)
Paris

Auftrag

Publikation

Fund/Ausgrabung

Provenienz

Restaurierung

Sammlung Eingang

Ausstellung

Bearbeitung/Umgestaltung

Thema/Bildinhalt

Thema/Bildinhalt (GND)
Säbel
Soldat <Motiv>
Offizier <Motiv>
Infanterist <Motiv>
Liebe
Karikatur
Orden <Ehrenzeichen>
Uniform <Motiv>
Satirische Zeitschrift
Frankreich
Thema/Bildinhalt (normiert)
Second Empire

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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré, 1.1868, Nr. 19, S. 83_3

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