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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 2.1869

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https://doi.org/10.11588/diglit.3703#0024

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L'ÉCLIPSÉ

Fin janvier nous mettrons à la disposition de ceux de nos
acheteurs qui voudraient faire relier la t" année de l'Eclipsé:
un titre dessiné par A. Delanuoy et tiré en couleur; un
frontispice par Montbard, représentant les portraits de nos
collaborateurs, et enfin une table des matières.

ÉTREMNES DE L'ÉCLIPSÉ

Toute personne qui enverra directement en mandat ou et;
timbres-poste au directeur du journal, 16, rue du Croissant, a
Paris, _ le montant d'un abonnement d'un an à l'EcIsps^,
jouira des primes ci-dessous énoncées, aux conditions suivantes :
lf» PRIME
Une superbe lanterne-magique accompagnée de douze verres
fournissant 48 sujets, reproduits d'après les charges de Gill les plus
célèbres. (Voir aux annonces.)

L'abonnement pour Paris, avec cette prime.....12

Pour les départements (la prime expédiée franco, à do-
micile........•.......*6

2« PRIME
Une excellente montre de Genève. (Voir nos numéros précédente.)

L'abonnement pour Paris, avec cette prime......30

Pour les départements.............31

3e PRIME

Une boîte remplie de bâtons de vanille, bonbons fondants, parfu-
més, savoureux, fabriqués spécialement pour les abonnés de VÉclipse
par M. Berbey-Couturier, de Saint-Seine-1'Abbaye (Côte-d'Or).
L'Abonnement pour Paris, avec cette prime ..... 6

Pour les départements.............7

Avoir soin de bien indiquer celle des trois primes qu'on
choisit.

Tous nos abonnés peuvent jouir des primes ci-dessus, déduction
faite du prix de' l'abonnement déjà payé.

LA DEVOTE

M. V. Sardou, ce Grand Prix de Borne de l'Ecole des Beaux-
Arts dramatiques modernes, avait donné primitivement, on le
sait, du reste, le titre alléchant de la Dévote à l'amusante comé-
die que Ton joue maintenant au Gymnase sous le nom angélique
de Séraphïne.

Quels que soient les gens ou les raisons qui ont déterminé M.
V. Sardou à opérer ce changement important, il faut avouer, cette
fois, que ces gens ou ces raisons n'ont pas eu tout à fait tort.
Leurs ordres ou leurs conseils sont des conseils etdes ordres par-
tis d'un cœur ami; ils ont même rendu un signalé service au ri-
che propriétaire de .MarJy-le-Roi.

En effet, en sortant, le rire aux lèvres, de voir l'agréable et
spirituelle pièce de M. Sardou, où la dévotion régnante n'est
qu'un hors-d'œuvre propre à mettre en goût, qu'un moyen secon-
daire, voire môme un décor général, inusité depuis Molière, et
pour cause, on est désarmé, on n'a plus le droit de réclamer à
l'auteur de madame Benoiton le Tartufe femelle que la Dévote eût
promis, sur l'affiche.

Séraphïne ne promet rien. C'est un drame adroitement agencé,
servi avec un filet de larmes, et saupoudré abondamment d'un sel
très-parisien. On l'écoute. On s'y amuse. Voilà tout.

Quant à la plaie sociale, quant à l'hypocrisie religieuse, qui
montre de nouveau ses belles dents aiguës, et que, sous le titre
de la Dévote, on aurait pu s'attendre avoir traîner sur la scène, et
nafouer impitoyablement, il n'en est pas question un seul instant.

La chose était tentante, pourtant.

— L'ermitage confortable des diablesses qui se font vieilles,
certes voilà un tableau piquant. M. Sardou n'a point oublié de
nous le montrer, et avec la gaietéqui lui est naturelle. Mais la dia-
blesse elle-même, où est-elle? — N'a-t-il point vu, autour de lui,
dans cette société, vieillie, malsaine, fatiguée, avachie (qui se repent
de vingt ans de jouissances folles, parce qu'elle ne peut plus faire
autre chose), des types autrement saisissants que celui de Mme de
Rosanges, ce cliché presque vulgaire du zèle religieux d'aujour-
d'hui.

Chapelard est gai. Oui. Et beaucoup lui savent gré de ne point
rappeler le Tartufe de 1669. Je le regrette, moi.

Le Tartufe de 1869, quelle création terrible !

UImposteur de Molière est un homme jeune, désirant et pouvant
rassasier tous les appétits monstrueux de sa nature infâme; il veut
à la fois la fortune et la femme de son bienfaiteur, un,aveugle re-
ligieux. Il est dévoilé. — Mais la déconfiture de ce drôle vénéré
ne me semble pas une punition bien terrible : On l'emmène en
prison, comme un journaliste; bah! on n'en meurt pas!

Moi, je voudrais qu'un génie, je ne parle plus dp. M. V. Sardou,
prît dans sa litière dorée un de nos dévots d'aujourd'hui, le traî-
nât par le collet brodé de son habit de cour, devant le trou du
souffleur, au Théâtre-Français, et là, le montrât se débattant, ivre
de fiel, sous le poids de son passé et de son présent.

Vieux, riche, impuissant, je voudrais qu'il mît son âme exécra-
ble à nu; que la haine qu'il porte à tout ce qui est jeune, sincère,
généreux, dévoue, aimant et aimé, coulât à flots desabouche, mê-
lée avec le nom du Dieu qui le châtie.

■ Il se tordrait comme un ssrpentcoupé sur le sable qui envenime
ses blessures, en invoquant à haute voix le ciel, qui reste hourd,
d'abord pour en imposer à la foule, ensuite pour mendier honteu-
sement le pardon de ses fautes cachées.

Comme le Roi de Danemark, dans ïfamlet, on le verrait enlacer
la croix de ses bras tremblants, et pleurer lâchement.

Il faudrait le montrer crevant de désespoir, certain, eu vomis-
sant son âme,que Dieu la repoussera froidement du pied, là-haut.

Quant à la dévote, à la femelle du Tartufe, c'est également à
. l'âge où le souvenir des joies défendues, dont elle segorgea jadis,
revient avec violence et la torture dans son salon déserté, qu'il me
serait doux de la voir présentée au public.

Elle viendrait, l'œil baissé, mais mordue au cœur par tous les
désirs, prêcher le retour à ce Dieu de paix et de bonté qui console
et qui pardonne ; autour d'elle, des femmes jeunes, très-jeunes,
aimées, p;ir<:es, passeraient sans cesse aux bras d'hommes char-
mants.

Le terrible arrière-goût des plaisirs passés, des triomphes
d'autrefois, lui reviendrait sans relâche.

C'est alors que mentant à Dieu, qu'elle haït, parce qu'il punit;
mentant au monde quVlle hait, parce qu'il ne l'adore plus, la
dévote, l'hypocrite, la céleste hystérique, apparaîtrait, tout entière
à la religion attachée, comme jadis à sa proie, quand elle jouait
les Vénus.

Il serait nécessaire d'être brutal; peut-être? Certainement.

M. Sardou met trop de gants. Le taureau qu'il feint de prendre
par les cornes, a les cornes dorées, et d'ailleurs, il est de race
landaise, un trompe-l'œil.

Les comédies n'ont jamais rien corrigé. Le proverbe latin a
tort. C'est connu. Mais les comédies de M. Sardou, ridendo,
indiquent le vice facile à suivra, même en voyage.

M. Sardou ne peint pas son époque. C'est son époque qui sur
ses tableaux, exécutés d'une main fantaisiste, se modèle le plus
souvent. Nous lui devons les familles Benoiton. Elles n'existaient
qu'à l'état rudimentaire avant sa pièce.

Quant à la Séraphïne, pour y revenir, c'est une autre histoire,
une vieille histoire. Nous la connaissions. Elle ne nous a rien mon-
tré, rien démontré.

Et, reproche plus grave, cette œuvre assurément vivante, ne vît
pas de notre vie. Les hypocrites, mâles et femelles, qui redres-
sent leur tête de serpent depuis dix ans, n'y reçoivent même pas
un coup de coude, en passant.

A quand le coup de pied vengeur ?

le cousin Jacques.

UN PEU DE STATISTIQUE

La statistique est une excellente chose, en ce qu'elle n'a pas
besoin d'être commentée.

Le chiffre brutal est servi brutalement au lecteur, qui en dé-
duit lui-même toutes les conséquences qu'il juge à propos.

UEclipsca donc décidé de publier de temps à autre les ren-
seignements statistiques qu'elle recevra.

Et, sitôt dit, sitôt fait.

Un cocher d'omnibus a employé ses loisirs à faire les calculs
suivants :

Pendant l'année 1868, les gros mots employés par Louis
Vëuillot dans l'Univers se sont élevés au nombre de 78,425 dont
trois douteux.

Ajoutés, bout à boust, ils entoureraient l'église de Notre-Dame;
et les caractères d'imprimerie employés pour les composer re-
présenteraient juste le volume de l'abdomen de Louis Ulbacb.

On a célébré à Paris, en 1868, 11,523 mariages.
Au 31 décembre, 28 des nouveaux époux ne s'étaient pas en-
core plaints de leur sort.
Us se décomposaient ainsi : veufs, 16; veuves, 12.

On a calculé qu'à la porte de la salle de la Redoute, après une
séance dans laquelle on a discuté le droit des femmes, il y avait
eh moyenae 17 auditeurs sur 20 qui se grattaient dans le bas
des jambes en sortant.

Les accidents de chemins de fer ont été moins terribles que
pendant les années précédentes.

Il y a eu plus de voyageurs tués, mais ils ont été coupés en
moins de morceaux.

Ainsi en 1867 :

52 voyageurs occis avaient donné 185 morceaux ;

Tandis qu'en 1868 :

76 voyageurs tués n'en ont produit que 159.

Sur 548 manuscrits déposés à l'Odéon par de jeunes auteurs,
547 ont été reçus..... par les jeunes auteurs à qui on les a ren-
dus.

Mlle P..., du Gymnase, a joué en moyenae 17 fois par mois.
Bile a économisé un petit hôtel de quaire cent mille francs,
anx Champs-Elysées, sur ses feux.

*

* «

D'après une statistique que nous envole une îwbonnÉe, il se
perd à Paris de 200 à 225 vertus par semaine.

D'après un autre travail que nous adresse un abonné, il ne
s'en trouverait que 150 environ.

L'un des deux se trompe évidemment.
*

* *

Pendant l'année 1868, les différents corps de ballets de Paris
ont pris à la France 41,815 jeunes gens robustes, et lui ont rendu
41,815 crevés.

Le Gymnase Paz, lui, a pris à la France 52,419 crevés des
classes précédentes, et les lui a rendus hommes.
*

D'octobre à décembre dernier, sur les boulevards, 4,815 pro-
meneurs or>t eu l'occasion de maudire la trop grande ressem-
blance des olonnes à affiches de ihéàtres avec les autres.

De janvier à décembre 1868, le snonabre des imbéciles #.t .des
varices a augmenté dans la même 'proportion que celui des vélo-
cipèdes.

Léon Bienvenu.

UN INCENDIE

Voyez-vous cette ville accrochée sur le bord d'un rocher comme
le pompon sur le schako d'un chasseur à p;ied? C'est Langres,
ville principale de la coutellerie française.

Elle me rappelle une histoire qui se passait il y a longtemps.

En ce temps-là, Langres venait d'organiser sa première com-
pagnie de pompiers. — Ils étaient quarante-deux, commandés
par un capitaine.

Celui-ci, homme pratique et poussant le dévouement jusqu'au

rigorisme, avait fortement intrigué pour que sa troupe fût montée
sur des chevaux, la compagnie pouvant être appelée à porter r
pidement ses pompes dans les villages voisins. Mais on n'avait
pas trouvé quarante-deux chevaux dans la ville, et la compati
était restée à pied. Le capitaine s'en était consolé en exerçant
solidement ses hommes à la manipulation des bovaux ào
pompe.

Dans la ville de la coutellerie on attendait avec une impatienc
mal contenue qu'un incendie permît aux quarante-deux pompiers
enfants de la cité, de se distinguer comme il convenait. — On r'
tendit en vain.

^ Deux ans s'étaient écoulés depuis l'organisation du corps d'é-
lite, et ni dans la ville ni dans les environs on n'avait signalé le
moindre incendie. A la rigueur on se serait contenté d'un* feu de
cheminée; mais pas même un feu de cheminée!.,
affreux.

Les quarante-deux étaient na

C'était

rés. — Mais le capitaine, lui
faisait mat à voir, sombre, désolé, l'œil morne et cave... Ainsi
donc, tous ces exercices prodigieux qu'il faisait faire à ses hom-
mes, la bonne tenue de sa troupe, les casques luisants, les bovaux
graissés, la pompe huilée, choyée, dorlottéia; toute cette grande
dépense de soins et d'activité, tout cela était jeté dans le gouffre
des choses inutiles! 11 n'y avait point d'incendie I ! !

Turenne, la veille d'une bataille, dormit sur l'affût d'un canon
Lui, depuis qu'il était pompier et capitaine, il mangeait buvait
marchait, accomplissait tous les ac^.es de la vie, constamment en-
fermé dans son uniforme. Il disait qu'un capitaine de pompiers
est toujours'à la veille d'un incendie et que, semblableà Turenne
il ne devrait jamais dormir ailleurs que sur les boyaux de sa
pompe. — Vaine précaution, zèle inutile r Dans la ville de
Langres, comme dans'les environs, il n'y avait toujours point
d'incendie!

On le voyait errer dans les rues, casqué comme un Romain
penchant vers la terre sa longue figure ravagée par le désespoir '

La nuit, sur les routes, on distinguait vaguement une ombre gui
passait solitaire. — C'était lui, toujours lui, qui cherchait un
incendie.

11 ne rêvait plus que feux et flammes. Volontiers il eût mis le
feu à la moitié de la ville, pour voler avec ses braves à travers
les toits croulants des maisons enflammées.— La ville de Langres
ne saura jamais à quel horrible désastre elle a échappé.— Il voyait
rouge....

Par une belle soirée d'été, il promenait sa douleur sous les
grands arbres de la promenade de Blanche-Fontaine. L'obscurité
était profonde ; profonde aussi était son amertume. — En été ces
lieux ombragés sont l'asile de l'amour. Mais ni le chuchottement
des couples effrayés à son approche, ni le froissement précipité
des jupons blancs, rien n'arrachait le sombre promeneur aux
amères pensées qui assiégeaient son âme de pompier. Que lui im-
portaient à lui les doux serments échangés entre deux baisers la
nuit sous les arbres ? Ce qu'il cherchait, partout et toujours, c'était
un incendie, pour montrer à ses concitoyens comment il compre-
nait le sacerdoce dont il était revêtu. Je vops l'ai dit : il voyait
rouge.

11 releva la tête courbée sous le poids $e.son casque.

A ce moment, une clarté rougeàtre lui apparut derrière les
arbres. Anxieux, il s'arêta... A l'horizon, 1g ciel semblait en feu...
Plus de doute ; c'était un incendie gue la Providence compatis-
sante lui envoyait. \ ,

En% 1 ! 1... Et un long soupir s'échappa de sa pmtrine soulagée.'

Rentrer dans la ville, courir chez le tambour, lui donner l'ordre
de battre le rappel, fut pour le capitaine l'affaire d'un instant. Il
ne se sentait plus; la joie débordait de son cœur; et, par dessus
tout, il éprouvait cette fièvre d'impatience que les chefs d'armée
doivent avoir à ce moment solennel qui précède la bataille^

Pendant ce temps-là, le tambour roulait lugubrement dans les
rues étonnées.

Pour vous faire comprendre les dimensions de la ville, je par-
lais tout à l'heure d'un pompon de chasseur ; aussi moins d'un
quart d'heure après, les quarante-deux pompiers casqués et atte-
lés à la pompe municipale, volaient du càbé de l'incendie. Le capi-
taine tenait la tète; il était — beau; — son casque lançait des
éclairs.

Derrière la troupe vaillante, toute la population trottait, hom-
mes, femmes, vieillards, enfants, pressés, heurtés, compacts, les
poings sur les côtés, la tête en arrière, le genou relevé à la hau-
teur du nombril. Tout en courant, on admirait la tournure mar-
tiale des quarante-deux pompiers, orgueil des familles; on causait
de l'étendue du sinistre. A en croire le rapport du capitaine, le
département tout entier devait flamber; -4 ot les femmes, trem-
blantes, se serraient contre leurs voisins.. Il y eut même, dans
cette course mémorable, des couteliers astucieux qui abusèrent
de la situation et semèrent là peur, afin de presser contre leurs
poitrines d'homme les femmes peureuses. — Qu'elle est perfide,
l'âme d'un coutelier envahi par un désir coupablel

On s'arrêta sous les arbres, à l'endroit où le capitaine avait
aperçu les reflets de l'incendie. Le ciel était toujours rouge; ce
devait être un feu considérable.

Alors les boyaux de la pompe furent déroulés; il y en avait
cent-treize aunes. On avait aussi apporté de l'eau; mais n'en eût-
on pas eu, que la sueur qui ruisselait sous les quarante-deux che-
mises des quarante-deux pompiers eue suffi pour alimenter la
pompe.' — Tout était prêt; cent-treize aunes de boyaux, servies
par quarante-deux paires de bras intrépides, allaient livrer terri-
ble bataille à l'incendie.

On s'avança sous les arbres en bon ordre ; déjà on allait fran-
chir la lisière du petit bois, lorsque tout à coup la clarté parut
plus vive.

Les pompiers n'en demandent .pas davantage. Aveugles par
l'émotion, les voilà qui se mettent à pomper sans savoir sur quoi,
ep;rdus, haletants, 'hors d'eux-mêmes, mais avec un ensem
admirable. Un jet puissant s'échappe.... etlaiune, énorme, rouge,
splendide, sort de l'horizon et s'élance dans le ciel. —Fait ino
dans l'histoire ! les pompiers de Langres avaient pompé contre la
lunel!!

Ce que le capitaine d'abord, ses quarante-deux hommes ensuite
avaient pris pour les lueurs d'un incendie, c'était la rouge cl"

clarté



C'est naïf, >m"e\ ,

PlSo*etienUvo«
«peines et de d.mmut.

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Les félibres ^t nain"
sissent dans le genre Pi*

Oui, mais c'est toujeur

Continuez de faire d'as

leur maître, l'illnçtr'
untonavocat;Uapre
m tel poète, capable i e
d'être poète en français.

D'aucuns disent que c
et de rendre son patois I

L'auteur de Jfirito l
Miréio ?

A vrai dire, la douce 1
est charmante, pleine de
tiques.

Ce que j'aime moins,
mélange berniesque acco

Exemple :

Théodore Duciiapt étai
que temps à Bourges. S<
' qui donna szMarivole en-
Dem gentifcmorceaux, t
Yictor Hugo ou Victor Hi

Donnons à notre tour
race Donec oratus eram (H

Attention ! dit Lamarti
tons dans toutes les langi
du dialogue d'Horace et d

Duchapt ne l'a pas retri
tention :

Du temps qu't

Et que parsoun

Ne sarrait dans ses br

J'étais, morgue! pus I

Tant que je suis été s
Que Cataut à tes yeu:
Quand j't'acoutais m
Morgue ! qu'je l'tais-1

A c't'heure moun idé
Que l'rossigneux des
Qui saut' comme un
Pour allonger ses joi

Piarre, à moue, m'a
C'est qu'arrié (qu'ain;
Et si pour arlirer des
Fallait s'péri, d'bon c

Pas moins, si moun

Dormait dans l'eende
w ma porte rouvarte
Ures ce souèr se ban

°!l!;ders... et porta

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