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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 2.1869

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https://doi.org/10.11588/diglit.3703#0025

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L'ECLIPSE

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qui précède le lever de la lune dans les grands jours d'été.
Un gémissement sortit immense de toutes les poitrines et les
s boyaux retombèrent inanimées sur le sol.

A. HUMBERT.

cent-treize aunes i

------------=e-^------------

LES FÉLIBRES

0 poètes de clocher! vous faites d'assezjolies choses.
On lit des vers provençaux qui ont bien leur petit mérite, il
î audrait ne pas-savoir la langue d'Avignon pour y contredire , et,
comme Ernest Daudet, notre nourrice nous a bercé au chant des
noëls de Suboly

Les ouhreto des félibres me plaisent... quelquefois.

C'est naïf, imagé, colorié, moelleux, primitif, mélancolique;
cela vous zinzilule à l'oreille comme un doux bruit de ebante-
pleure.

L'idiome tient à votre disposition nombre d'expressions onoma-
topéiques et de diminutifs de fantaisie qui se prêtent merveilleu-
sement à la poésie... patoise.

Ce qui ne nous empêche pas de trouver, en notre temps de lo-
comotion à toute vapeur, un peu naïvement superficiel ce juge-
ment par analogie de M. Ernest Daudet :

« A côté du français, langue universelle, il peut y avoir un lan-
gage de luxe, comme au moyen âge, à côté du latin, que.parlaient
les tabellions et le clergé, il y a eu la langue des troubadours. »

Quoique imprimeur et quoique libraire, M. Aubanel et M. Rou-
manille ont des loisirs. Ils les emploient, en esprits distingués et
délicats, à cultiver la poésie fugitive.

Les félibres sont naturellement idylliques et élégiaques ; ils réus-
sissent dans le genre pleurard.

Oui, mais c'est toujours de la petite musique.

Continuez de faire d'assez jolies choses, les troubadours.

Leur maître, l'illustre Mistral, aurait pu se résoudre à être
un bon avocat; il a préféré se faire le premier des félibres. A
un tel poète, capable d'enfourcher l'hippogriffe, il ne manque que
d'être poète en français.

D'aucuns disent que c'est adroit de renoncer ainsi au français
et de rendre son patois plus facile.

L'auteur de Mirèio restera-t-il donc simplement l'auteur de
Mire'io ?

A vrai dire, la douce langue provençale, bien tournée en vers,
est charmante, pleine de fantaisies musquées et de surprises poé-
tiques.

Ce que j'aime moins,, ce sont les jargons hybride?, faits d'un
mélange berniesque accommodé comme à plaisir.

Exemple :

Théodore Duchapt était un poète berrichon, mort depuis quel-
que temps à Bourges. Son noin figura un jour .darv le Figaro;
' qui donna sa Marivole en-regârd'de'la Coccinelle de Victor Hugo.
Deuxgentils.morceaux, tels qu'on ne saurait si Duchapt a traduit
Victor Hugo ou Victor Hugo Duchapt.

Donnons à notre tour sa traduction de la fameuse ode d'Ho-
race Donec qratus eram {Horace et Lydie).

Attention I dit Lamartine, depuis deux mille ans que nous chan-
tons dans toutes les langues, nous n'avons pas retrouvé la note
du dialogue d'Horace et de Lydie.

Duchapt ne l'a pas retrouvée non plus, mais il avait bonne in-
tention :

TIENNOT.

Du temps qu'tu l'étais moun amoureuse,

Et que parsoune aut'e que moue
Ne sarrait dans ses bras ta taille nonchaleuse,
J'étais, morgue! pus fiar et pus content qu'un roué.

FANCHETTE.

Tant que je suis été seule ta boune amie,
Que Cataut à tes yeux ne l'tait ren, ren du tout;
Quand j't'acoutais m'noumer ta mignoune et ta.mie,
Morgue! qu'je l'tais-ti pus contente et fiare itoul

* TIENNOT.

A c't'beure rooun idée est à Cataut, eun'fille
Que l'rossigneux des bois, quandeU'chante,assourille (écoute),
Qui saut' comme un cabri, qu'a l'teint d'ia rose en fleur :
Pour allonger ses jours, j'baill'raïs les miens d'bon cœur.

FANCUETTE.

Piarre, à moue, m'a douné dans l'œil que j'en seus bête :
C'est qu'arrié (qu'ainsi) c'est un gas tornê qu'ça fait plaisi;
Et si pour attirer dès mains d'Ja mort sa tête,
Fallait s'péri, d'bon cœur je m'périrais aussi.

TIENNOT.

Pas moins, si moun amour, faut pas qu'ça t'émagine (te

(surprenne,)
Dormait dans l'eenderier, au lieur d'être éteindu,
Si ma porte rouvarte à ton pas attendu
Drès ce souèr se barrait an nez de Catherine...

FANCUETTE.

Oh! alors... et portantacoute, moun chari,
Piarre est un franc-bon-cœur; toué, pus léger qu'un liège ;
T'es sornais et jaleux ; — moué-môm' j'm'en amége (étonne),
Avec toué si portant je l'veux viv'e et mori.

C'est là peut-être un joli travail de traduction.
Joli tant que vous voudrez; mais..

J'aime mieux que rien ne se mêle
A la langue que je connais,
Ni berrichon, ni caquiquôle,
Ni charabia, ni javanais.

Beynet Saint-Mabc.

GAZETTE A LA MAIN

... J'ai assisté, — cette semaine, — à l'un des spectacles les
plus curieux, les plus bizarres et les plus extraordinaires qu'il
m'ait jamais éié donné de contempler...

Je veux parler de la façon dont l'immense nef du Châlelet se
transforme, — chaque samedi, — en un formidable saion à
danser...

Cette métamorphose s'accomplit avec une rapidité fou-
droyante...

11 est minuit; Théodoros vient de finir; la toile s'est baissée
lentement sur la scène encombrée de Cipayes, d'Abyssins, de
dragons anglais, d'amazones, de chevaux et de canons...

Le temps de sortir par la porte du public pour rentrer par celle
des artistes...

Les praticables qui s'étageaient des premiers plans aux frises,
sur lesquels s'asseyait la forteresse de Magdala et qu'escaladait
tout à l'heure au galop un escadron d'intrépides écuyères; le dé-
cor découpé en ferme, compliqué, surabondant, inextricable ; la
foule des figurants, les cavaliers et leurs montures, les accessoires,
les trucs, les hprses et les portants hérissés de lumières,—tout
cela a disparu comme par enchantement...

A peine Patonnelle, Laray et Donato ont-ils eu le temps de se
débarbouiller pour se capitonner l'estomac d'une soupe au fro-
mage chez Poyé oud'une charcuterie variée chez Gouthrot...

*

Soudain, la vaste salle, assombrie par la rampe éteinte et fris-
sonnante encore du rire ou de i'émotiqn de la foule, est envahie
par une armée de machinistes qui jaillit du fond du théâtre,
chargée de chevalets qu'on pose dans l'orchestre...

A l'instant, une autre bande accourt avec de larges morceaux
de planches qu'on abat sur ces chevalets...

L'orchestre, recouvert, forme un pont qui permet à d'autres
ouvriers d'arriver avec de nouveaux chevalets jusqu'à la région du
parterre...

Aussitôt qu'ils sont plantés, le plancher s'avance par plaques
numérotées, et ainsi de suite, jusqu'à ce que la circonférence soit'
remplie; les lustres s'abaissent, carcasses.mornes, et se relèvent
girandoles éblouissantes; le laiton devient or, le grain de verre
diamant.

C'est d'abord un tumulte incroyable, un grouillement de four-
millière renversée; tout le monde court à, droite, à gauche ; on se
croise, on s'embrouille, on s'embarrasse, en apparence du moins;
car tous savent ce qu'ils font ; tous ces fragments qui descendent
des Irises, qui montent du dessous, ont leur place fixée d'avance,
et ils y courent sans s'égarer à travers ce désordre.

Gare à vous !

Voilà le plafond qui tombe du ciel et l'orchestre qui s'élève par
une trappe !

Si vous n'y prenez garde, vous allez recevoir un prodigieux
soufflet de ce décor qui se déploie...

Et vousn'aurez pas la consolation de pouvoir l'appeler en duel..

Ou vont ces hommes portant des espèces de volets?

Ils vont fermer les baignoires, que le haussement du parquet
transforme en grottes souterraines où plus d'une Didon et d'un
Enée pourraient se réfugier sans avoir l'orage classique pour
prétexte et pour excuse.

Et ceux-là avec leurs escaliers?

Etablir les degrés de cette cascade de masques que la première
galerie verse incessamment dans le parterre...

Hein?... Quoi?... Qu'est-ce que vous dites?...

Je me suis retourné pour répondre à une question...

Et voilà Olivier Métra qui a installé les cent-vingt canons de
son orchestre...

A n'en pas douter, nous entendons le bruit des instruments
qui s'accordent à un endroit où tout à l'heure il n'y avait que
deux pompiers mélancoliques et somnolents...

Un carton suspendu indique les Roses et le Tour du Monde, —
deux valses adorables qu'on n'oublie plus une lois qu'on les a en-
tendues...

Déjà l'invariable ohé! par où se traduit la joie du peuple le
plus spirituel de la terre, retentit au dehors devant la Chambre
des Notaires...

Comment faire, bon Dieu?

Et les glaces qui ne sont pas en place!...

Et les tapis qui ne sont pas ciou,és 1...

Il nous reste dix minutes, nous avons le temps.

Escaliers, couloirs, foyer, tout est revêtu en un clin d'œtl d'é-
paisses et moelleuses moquettes...

De nombreuses glaces se renvoient les feux d'innombrables
bougies...

Les fleurs rares et délicates attendent, dans les jardinières, un
pillage inévitable ..

Monsieur le Public est servi !

Oui, mais Claude Riotton,— l'habile chef-machiniste,— a
trempé plus d'une chemise...

Le maire d'une commune rurale est appelé à délivrer un passe-
port à la duchesse de X...

Celle-ci est l'une des propriétaires les plus imposées du pays.

Le magistrat municipal est son fermier.

Comme toutes les grandes dames de 1!'ancien régime, la duchesse
est coquette, hautaine et susceptible à faire frémir...

Avec cela, elle a perdu un œil par accident...

Le maire est galant — et subalterne...

Comment, dans le signalement, faire la mention indispensable
de cet accident sans offusquer la douairière?...

Le maire écrit:

« Yeux noirs, — très-beaux, très doux, très-expressifs, — DONT
UN ABSENT. » r '

Notre quatrième page.

Décidément Théodoros aura les honneurs de YEclipse\...

Ce n'est pas que le public s'intéresse immodérément aux oura-
gans de colère du négus Beauvalet, non plus qu'aux infortunes du
pasteur Butler, de sa femme et ses deux filles. — Arondel,
MmesDaubrun/Deshayes et Fleury, — une famille de potirons
au milieu de laquelle une asperge a poussé...

Non; mais les soins que la nouvelle direction du Châtelet a
apportés à monter cet ouvrage médiocre, et le talent de ses inter-
prêtes méritent une mention spéciale...

Cet énergique Laray, — surtout!

S'est-il badigeonné le faciès avec un siccatif assez consciencieux
et assez héroïquel...

C'est égal, je n'aime pas Laray au beurre noir.

Mademoiselle Milla gazouille dans la pièce ainsi qu'une fauvette
dans la bouche d'un canon...

Une fine comédienne, celle-là, qui chante, qui dar.se et qui
joue comme une Esméralda coiffée de la toison d'or...

Pour Rafaëla Montero, elle est faite à se mettre à genoux de-
vant — et derrière!...

Si vous croyez que je sais tout ce qu'elle donna tôt— ou tard!,..

Elle ade la grâce, du salero, un jarret de fer — et d'enfer!...

On lui disaL qu'un journaliste avait débiné son serpent...

— Jalousie de métier 1 fit-elle.

Les ballets d'Honoré et la musique de Victor Chéri ne sont pas
les moindres attraits de Théodoros...'.

Honoré est un chorégraphe d'une imagination inépuisable.
Chacune de ses compositions se recommande par une grande et
gracieuse variété d'agencement. Ce n'est pas lui que l'on accusera,
comme son confrère Justament, de perpétuelles manœuvres à l'in-
térieur...

Je ne veux point oublier Donato...

Donato est un fier et beau garçqn qui"1 n'est déplacé nulle
part...

Les établissements voisins ont quelque peu abusé de sa photo-
graphie dans les Pirates de la Savane...

C'est ce qui.l'a fait baptiser;

La miss Menhen du Châtelet.

*

Une publication originale, s'il en fut, c'est ÏOstériculture, —
écho de l'Ecole centrale...

Croquis au trait très-réussis de cftic, de verve et de désinvol-
ture !...

Articles pleins d'humour, — pour des gens qui n'en font pas
leur métier I...

Si les savants se mettent à avoir de l'esprit!...

m '

( La revue des Délassements-Comiques, — les Hannetons de
Vannée, — marche gaillardement vers un.succès de cent repré-
sentations, en emboîtant le pas à son chef de file Boquillon...

MM. Monréal et Blondeau, — les Cbivot et Duru de l'avenir,
— ont eu là une idée vraiment neuve, .vraiment hardie et vrai-
ment excellente, de substituer au sempiternel compère de cette
sorte de pièces l'immortel fusilier évadé de cerveau d'Humbert
armé du chassepot du.bon sens!...

Tacova est entré dans cette garance comme dans une seconde
peau. On applaudit aux environs les jeunes Massue. Ci joint un
quatrain, moins décolleté assurément que l'aînée de ces deux fil-
lettes qui n'ont rien autre chose de sauvage, — que le nom :

Pour animer une revue

Et pour goûter le vrai bonheur,

Prenez-moi l'une ou l'autre sœur... ■

Bien ne vaut un coup de massue!

Pièce curieuse

Saint-Saulve (Nord), près Valentiennes, le 30 Décembre 1867

MONSIEUR,

A mesure que s'approche le nouvel an, je sens de plus en plus
combien il me serait doux de vous dire prochainement, en per-
sonne, que je vous souhaite, de tout mon cœur (pour vous et pour
tous ceux qui vous sont chers), une bonne année, une parfaite santé
et l accomplissement entier de tous vos vœux. Telle est,et telle sera,
à monpremier réveil de 68, ma première pensée APRES CELLES
QOE JE DOIS, NATURELLEMENT, A MA FAMILLE ET À
MES PATRONS. '

Si j'osais, Monsieur, solliciter quelque chose de vous en ce jour
d'étrennes, ce serait un ordre graisses, huiles, pétrole, mastic, ou.
etc. etc., pour être expédié (àdes prix de faveur), à telle ou telle
époque, plus ou moins éloignée.

En me l'adressant, cet ordre, chez mon patron, vous ferez plai-
sir à celui qui est toujours sensible à votre bon accueil, et qui est
heureux de se dire, depuis déjà quatre ans,
Monsieur,
Votre tout dévoué et très-reconnaissant serviteur,

H..

Un soir, Charles Baudelaire voit entrer chez lui une fort jolie
personne...

__Vous êtes l'auteur des Fleurs du mal ? lui dit-elle avec une

certaine impétuosité.

— Oui, madame.

—J'ai lu ce livre. Je vous adore. Je suis belle. M'aimez-vous?

Le lendemain matin, —après déjeuner, — l'expansive créature
prend congé...

Elle est entrain de descendre l'escalier..... Baudelaire la

rappelle :

— Madame!... hé! madame !... Qu'est-ce que vous êtes venue
donc faire chez moi?

Emile Blondet.

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LE BOUGEOIR, Lanterne des Dames, par E. Blondet. 0 50

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LA LANTERNE EN VERS DE BOHÊME . . 0 25
L'ALMANACH DES LANTERNES. ■ . . . . 0 40

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L'ALMANACH DE L'ECLIPSE....... 0 20

L'ART DE VIVRE CENT ANS....., . » 10

L'ALMANACH DE BOQUILLON...... 0 10

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