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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 2.1869

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https://doi.org/10.11588/diglit.3703#0040

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L'ECLIPSE

PRIMES BE L'ÉCLIPSÉ

Toute personne qui enverra dîpcctsaaicai; en mandat ou en
•■ timbres-poste au directeur du journal, 16, rue du Croissant, à
. Paris, — le montant d'un abonaement d'un a» à l'Eclipsé,
jouira des primes ci-dessous énoncées, aux conditions suivantes :

iro PRIME

Une superbe lanterne-magique accompagnée de douze verres
fournissant 48 sujets, reproduits d'après tes charges de GiU les plus
célèbres.( Voir aux annonces,)
. L'abonnement pour Paris, avec cette prime. . ... 12

Pour les départements (la prime expédiée franco, à do-
micile................™

2" PRIMC
Une excellente montre de Genève. (Voir nos précédents numéros')

L'abonnement pour Paris, avec cette prime......30

Pour-les départements............. 31

3« PRIME
50 charges (TAkdré Gill.
L'Abonnement pour Paris, avec cette prime. . . . 7 50

Pour les départements............9 »

Avoir soin de hien indiquer celle des trois primes qu'on

choisit.
Tous nos abonnés peuvent jouir des primes ci-dessus, déduction

faite du prix de l'abonnement déjà payé.

A VMS M3ÊP OMtTAJXT.— Tout resioztvetlement
të'ttOasîsseiBiePit ©aseh&ngemeat tVa&resse «Soit
être aceoMt&fggtté tte ë'utse «tes eferaaîères
battîtes «fis JTonrBtœt. Ajouter 50 centimes
pour tes cfctusgesiteisis tte zïomîcite.

LE CMMjtYAL £N PROVINCE

Jusqu'à midi, la ville reste endormie dans son calme ordinaire :
l'herbe croit silencieuse le long des maisons, les chiens folâtrent
devant les portes, et dans l'intérieur des ménages,, les demoiselles
prennent leur café au lait.

Un peu plus, et le facteur qui fait sa tournée serait seul à égayer
la solitude des rues. Mais voyez-vous ces dames qui foulent l'as-
phalte du trottoir d'un pas discret et précipité, enveloppées dans
dés tartans et des paniers au bras ? — Dans les petites villes, on
voit encore des tartans ; ça . sert aux dames pour aller au msft**é.

Jetez un regard hardi d'ans les paniers : — vous y verrez des
abondances de saindoux J J'ignore s'il y a des villes de province
qui font exception, mais à Yesoul, chef-lieu du département de
la Haute-Saône, toutes les dames que l'on rencontre dans la rue,
le matin du Mardi-Gras, ont des paniers au bras, — et, dans tous
les paniers, il y a du saindoux. C'est un iridiée; le carnaval n'est
pas loin. Tout à l'heure, nous verrons ce saindoux jouer un rôle
important dans les réjouissances de la famille.

Cependant, une à une, les dames rentrent dans leurs ménages avec
leurs paniers de saindoux, semblables à des abeilles laborieuses qui
. viennent de butiner dans les jardins du voisinage, — et la rue
reprend son silence................

Enfin, midi sonne; c'est l'heure de la nourriture. Mais on ne
mange pas ; il faut ménager son estomac pour les grands combats
du soir. — Alors la ville sort de sa léthargie.

Des groupes' de jeunes gens stationnent au coin des rues et par-
lent avec mystère. — Des.'blanchisseuses, des petites couturières,
espoir de la nuit prochaine, tiennent des conciliabules sur le trot-
toir avec des clercs de notaire et les surnuméraires de [la Recette
Générale, pendant que chez les épiciers on débite l'eau de fleur
d'oranger nécessaire à la manipulation des beignets.
- Par intervalle, un commis de banque, ou un clerc d'avoué, ou
un expéditionnaire à la. Préfecture passe fiévreux comme un cons-
pirateur, avec un paquet discrètement enveloppé qu'il a l'air de
vouloir.cacher, —mais dont il laisse passer quelque morceau rouge
ou jaune, afin que derrière lui chacun puisse s'écrier : — Le fils
Moucbotte se déguisera ce soir... En voilà un qui s'amuse! Quel
Sardanapale !

. - Et cela pose avantageusement le jeune Mouchotte dans l'esprit
des demoiselles, qui se tiennent rêveuses sur la porte des maga-
sins.

Pendant ce temps-là, par toutes les portes, par toutes les fenê-
tres, le long des rues, il s'échappe des émanations de choucroute
qui saisissent brutalement le passant aux narines. On nage dans
une atmosphère de choucroute. De midi à quatre heures, dans

. toute la ville, on respire'de la choucroute. C'est que cette prépara-

■ tien culinaire est la pierre fondamentale de tout repas carnava-
lesque. — Je parle toujours de Yesoul, chef-lieu du département
de la Haute-Saône.

A côté de cette choucroute qui gargouille dans les marmites et
remplit la cuisine de sa vapeur nourrissante, les beignets beignent
dans un lac de saindoux en ébullition, sous l'œil vigilant de la
mère de famille.

Vers quatre heures; umtumulte extraordinaire emplit la rue :
des pieds nombreux piétinent sur le pavé ; on s'appelle, on crie, on
vocifère. Ce sont peut-être des masques qui passent !

Les portes se garnissent de curieux ; les mères de famille, aban-
donnant un instant les beignets dans leur saindoux, penchent par

■ les croisées des charmes rougis au feu de la cuisine. — Ce sont
des masques qui passent!... Une bande !... Ils sont trois !... Trois
polissons déguenillés et machurés, incomplètement couverts de
mauvais habits de femme. Bousculés par tous les galopins de la
Ville, ils ont peine à défendre leurs guenilles contre la dent des
chiens agacés,

Mais bientôt l'émotion s'apaise, le bruit s'éloigne : les masques
ont passé.... et les mères de famille retournent à leurs beignets qui
cuisent dans le saindoux. — Si les mères de famille faisaient cuire
souvent des beignets, les -demoiselles de charcutier auraient vite
une dot.

Puis, la nuit se fait, le gaz municipal brille ça et là, éclairant
-parcimonieusement le silence des rues. A part quelques curieux
arrêtés devant les boutiques des coiffeurs, pour entrevoir les petits
employés qui se font friser pour le bal, ou les sous-officiers de la

garnison en train de choisir des costumes, on ne voit plus rien sur
le trottoir.

Mais partout dans la ville, s'il se trouvait quelque passant at-
tardé, il n'entendrait plus que le elapottement des mâchoires et le
bruit des assiettes heurtées par les cuillers. — La ville mange.

Lorsqu'on a fait la part du ventre, la population se répand dans
les rues pour voir les masques. C'est le moment où l'on s'amuse
véritablement.

Avez-vous entendu ce cri du matelot placé en vigie sur la vergue
d'un navire : Terre ! Terre I L'équipage tout entier se précipite en
avant, haletant, les yeux ouverts, pour découvrir enfin cette terre
bienheureuse que l'on n'a pas vue depuis si long-temps. — Tel est
l'émoi de la foule lorsqu'une voix retentît : Voici un masque ! ! ! —
Et au coin d'une rue apparaît un Pierrot.

Aussitôt on se rue au-devant de lui avec des cris de bonheur, et
les acclamations montent jusqu'aux nues. Merci, mon Dieu !
le carnaval ne se passera donc pas sans qu'on ait vu un
masque !

Plus loin, voici encore un Pierrot... puis un. autre... puis qua-
tre... puis deux. Et toujours des Pierrots. —En province, on abuse
de ce costume; cela tient peut-être au peu de frais qu'il nécessite.
J'ai connu des jeunes gens peu fortunés, mais, à l'imagination ar-
dente, qui confectionnaient un costume de Pierrot avec un simple
pantalon de coutil blanc et une camisole de femme, à laquelle ils
adaptaient des gros boutons rouges.

On arrête les masques, on les suit, on les provoque ; c'est un
va-et-vient à interpellations sans queue ni tète; la joie inonde
les âmes, et les plus heureux sont ceux qui peuvent dire à leur
femme : Je l'ai reconnu tout de suite ce mousquetaire-là ; c'est
Raquinet, de la mairie !

Soyez sur que l'homme quia donné cette preuve étonnante de
sagacité, n'oubliera jamais le moment de son existence où il a re-
connu Raquinet déguisé en mousquetaire.

Des groupes de masques pénètrent dans les magasins et s'in-
troduisent môme jusque dans les arrière-boutiques. Les maisons
où se trouvent des demoiselles "jouissent seules de cette faveur.
— Le papa, tout rond, offre la goutte à la bande joyeuse ; la ma-
man présente la corbeille de beignets, les tantes minaudent, et la
demoiselle, toute rouge, se demande dans son intérieur virginal,
si ce beau masque qui a un habit do velours et des bottines vernies
ne serait pas l'officier qui passe si souvent devant la porte.

Les demoiselles de la province contractent toujours des passions
vivaces pour les officiers. Par exemple, lorsque les officiers sont
dans la cavalerie, la passion va jusqu'au délire.

Il est dix heures, les masques entrent au bal ou vont se coucher;
la population rentre, les portes seferment,les lumières s'éteignent
et dans la rue, tout redevient calme et silencieux.

■ A. Humbert. ■ _

LE PETIT VSPEREAU

AIMARD (Gustave). — Oh ! le joli farceur que l'auteur des
Cascades de Francastor! Il nous a fait des Contes Américains qui
sont empruntés aux vieux romanciers Anglais. Si on laissait faire
ce trappeur d'Ambigu-Comique, ilprouverait, l'espingoleàla main,
qu'il a pris et découvert à lui seul les deux Amériques.

La vérité est qu'il a fait le tour de leurs côtes sans être jamais
entré dedans!

Ses Trappeurs de VÀrkansas ont des faux nez, ils sont faux teint,
et pourraient s'appeler les Trappeurs de l'Alcazar; ses Rôdeurs de
frontières pourraient, sans trop s'altérer, se désigner sous le nom
de Rôdeurs de barrières. Les romans d'Aimard ont eu un énorme
succès, parce que tout ce qui est usé dans le drame français sert
encore dans le drame du Nouveau-monde ou de l'autre côté du
détroit.

Jean la Poste et [""Abîme ont eu deux cents représentations parce
qu'ils avaient passé lu Manche, parce qu'ils éUûent de vieux habits
français retournés!

Les Trappeurs ont eu vingt éditions, parce que leur auieur,
sans le savoir, les avait rendus à leur première patrie! parce
qu'ils revenaient tout bêtement de l'océan.

Tout ce qui a traversé la mer a du reste un sel nouveau pour les
Béotiens de Paris : Les œuvres d'A'imard, après leur retour
d'Amérique, déjà dénationalisées, pouvaient donc se dispenser
d'être écrites en français!

Cela n'en valait que mieux; ceh ne faisait que leur donner un
plus beau vernis exotique.

Aussi leurs fautes de langue et de logique, leurs exagérations
bouffonnes, ont-elles passé pour de l'originalité sous la plume de
cet autour franco-américain; cependant Aimard est Français
comme vous et moi. C'est un ancien enseigne de vaisseau déguisé
plus tard en trappeur pour se pousser écrivain et traduire en style
de fantaisie les romans d'Anne RadclilT. Or, tout est faux chez
l'auteur des Cascades de Francastor : son espingole, sa grande bar-
be, sa peau de bête, empruntée à un arsenal de photographe. Ce
qui est vraiment amusant, c'est sa pose sérieuse dans son costume
de Ghicard, —franco-espagnol-américain.

En réalité, Aimard est un bon bourgeois, un pompier de Nan-
rerre"déguisé en Peau-Rouge, un farceur, quoi!

ALPHONSINE.—C'est ça qui aime l'art pour l'art et qui vous
trousse un rôle sans en avoir l'ail" ! Le paradis des titis est à elle.
On a beau faire des théâtres bien stupides et bien froids, elle les
réchauffe de son éblouissant sourire et de son entrain du diablel
Feu Lambert Thiboust, un autre bon enfant, l'a sacrée bonne
enfant, dans cette chanson dont la musique est de mon ami Da-
niel Dugenne: A ma petite amie Alphonsine, son vieux Lambert
Thiboust. Je cite ses derniers couplels, ils complètent sa por-
traiture :

Eh quoil vraiment?... Toujours la même?

Pas de duc, de marquis? tant mieux !

Murger, refaisant la Bohême,

Te saluerait, ô Mimi II.

Calèches aristocratiques,

Roulez-en d'autres; Frétillon

Promène à pied son cotillon.

Comme aux Délassements-Comiques.

Travail le - et bon succès, ma
Ton soleil monte à l'horizon *""'
Bilboquet dit-on, fut ton père
Et te voila dans sa maison ' -•
Que la muse des excentriques '
Inspire ton talent moqueur ':
Et reste un brave petit cœur
Comme aux Délassements-Comiqms_
Et c'est aussi parce qu'elle est restée la ,raip ,„
du bon temps, qu'elle a déserté aujourd'hui h \ e d« %

idiotisée par le genre offenbachipie.

Et allez donc I vive ïhéroïne du Meurtrier rf
Royaume des femmes ! vive l'art aux trognons H
glaces à deux liards I A bas les pèches °

^Qdare
pommes

%

... cœur. Vive Alphonsine qui a quitté les yl , a les*
pour allez au Palais-Royal où elle retrouve™ J ' > "'
hss Corn, et des Funamb,, son public aux nom P lic d«

; pommes i

AMPERE.

Membre de l'Institut.

BALATHIER-BBAGELONNÈ.-A jla Cueille!,
dresse et la Verduretle] le rédacteur en chef ïé'là'ter l *la r"

mf ™,';i ™ r. D-:.. „......., C "''Wîf, Pj,

métier; c'est,

tendre pourtant qu'il en a l'air, ce véritable' nom" "™,,Pli
qui a éprouvé tous les malheurs inhérents du -'" ""
licat, un sceptique et un pointu !

Balathier Bragelonne a beaucoup vu, beaucoup sent; i
souffert. 11 s'est fait petit pour se mettre au niveau d '»

moderne. C'est un réfractaire de l'esprit passé d'air , "**
la littérature Timotkeo-Ttmi&iiTK. s a'SH>

aval ft,.
1™ h' absorbé.
en chef je |,

UN BODDOm BODLEVAED HATJSSMANN (neuf hetU'eS 'du SOIT).

Mademoiselle Balancelle, dans un déshabilla galant et Ircs-tlicf, P»«
revue de ses bijoux et "diamants étalés sur une petite table de loquo, ue-

vantun bon feu, car la scène se passe au mois..... de janvier, si

voulez.

— Que les hommes sont idiotsl «oilà la parure de 6,000 lwjS
qne m'a donnée cet imbécile de V'... le jour où j'ai remarqa
mon pauvre petit Arthur aux fauteuils de l'AthénéeI... »
ça lui a réussi... à ce gros hippopotame!... Il a voulu faire M (
loux... je me .suis trouvée mal d'indignation, et le lenae
m'envoyait cette parure, tandis qu'Arthur, lui, »>apP»™
bouquet de trois francs I... Le soir, Arthur poussait '"'"f ^j,
verrou de sûreté, tandis que Monsieur se retiraitdes01'" c,
pn obtenir son pardon!... Oh! les hommes!... quels af™^t.
bracelet, cette montre, ces boucles d'oreilles, autant
nirs des beaux jours que j'ai passés avec Arthur... » v [(
Meudon, à Bade... à Bougival; on aurait dit vraim nt^1^
monstre-là devinait mes escapades et voulait me msie

avec ses cadeaux!.. Comme c'est bon de se sentir ^

cela... Arthur n'est pas riche, lui... mais il le sera on] « ff_
besoin do cela pour l'aimer... et comme ^,.

je n ai i

il m'est fidèle... Il n'y a qu'un 1

. dans notre

bonheur,

■aturc Tîmot/ieo-TiuMANTE.
Oui, Balathier-Bragelonne, a eu tous les malheur-
Fils d'un greffier d'Auxerre, nommé Monnot ™,1
M.Marie, ancien Ministre, il fut attaché p'ar so° S6'*i"f
gouvernement de la République quoique fort peu ' \f'm'*
mier grief contre la destinée ! "" °>'enl pre-

Fils adoptif de M. de Bafethfe-Bragelonne de h i ,
dette des Balathier, il n'eut que son „„m pour L,! °'I
Quand Balathier venait demander au caissier de so '!

avance pour son père, le caissier lui répondait " I°°""1*
quel? » • ' ™» If-

Seconde raillerie du sort!

Balathier-Bragelonne débuta au Cabinet de Leelm
thenay; il devint directeur de cette feuille,
parle Voleur, son concurrent; il passa rédacteur
Silhouette, hélas ! en

La voix do l'émeute étouffa la crécelle de h-Silhsmi J'ai,,,,,
sorttes toutes nos illustrations et nos puissances • Louis I„ »
Albéric Second, Mare Fournie,-, Champfleury, m,AJl
faïences; Nadar, areonaute-photographe; Vitu, homme. paljuW
Salle de Gosse, préfet. 4 '

La catastrophe de ce journal n'étonna pas Balathier accoatai
a tous les guignons ; on a vu comment il sortitdujaAroM-
Silhouette, qui contint, nn moment, avec tout l'esprit de Paris
la fortune et la gloire de Balathier-Bragelonne.

On connaît aussi ses malheurs qui l'ont fait passer secrétaire de
la rédaction dn Figaro et de l'Evénement.

Aujourd'hui, Balathier-Bragelonne, pour laisser son cœma
paix, ne donneplus ni trêve ni merci à son intelligence, il la torture
auprolit de la Petite Presse.

En résumé: Très-ingénieuse «t très-vaillante plume qui alje,-
le droit, par le destin, d'avoir le bec... très-pointu.

BARON: (Les)

Baron (M»116) costumière de théâtre.

Baron (M1') comédien.

Baron (Mlle) peintre.

Baron (Mr) sculpteur.

La famille Baron, grands et petits Baron, ont vu de loin le grain
qui devait commencer la tempête et engloutir un jour sons les flols
de la mer Nantaise tout l'équipage dramatique de leur époas, fils,
gendre ou beau-frère : M. Marc Fournier. Les Baron ont déserté le
théâtre, pour se garder, sur leurs vieux jours, un peu de pain set'
la planche,

(A suivre).

Th. LabourieM

Ml HISTOIRE PARISIENNE

te qui n» vien'
^"00'œ son beau &>■»

»iriiiha\ lu»"»1*
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voirl ..Pour combien yen a-t-

" Pour 80,000 francs... jeu

Il m'importe beaucoup !..-

...al.fismrei... Et les monter

_ Je ne sais, Arthur...

Qu'

plus!
_ pins que jamais!

(Trois coup

• ■ „ As-tu entendn?...

_ Quoi?...

-C'est sa manière de frappl
_ Ne m'as-tu pas dit qu'il é
__Oui; mai» as-tu mis le ve

— Ma foi non...

-On ouvre ici... je lui ai lai
Un monsieur cnlre et par

— Parbleu, ma belle... il par
de la compagnie... Je m'en
prendre à ce piège grossier du I
forte que ça...

— Monsieur, je suis à vos ot

— Mais, Arthur, je ne conna
vu !...

— Tais-toi, pauvre enfant, ne
vais que monsieur existait, et c
arriverait...

— Mais, je te jure...

— Allons, madame, cessons i
un jaloux de mélodrame moi, je
internions sont plus pacifiques qi
partient, car j'ai tout payé, gare

— Arthur, je te répèle que je

— Ne répète pas ce pieux met
reprendre tout ce qu'il t'a donné
mon amour! Prenez, monsieur, <

'C'est votre droit de le faire... em

— Ah 1 non par exemple!.,.
•- Tais-toi, ange, tais-toi...

■monsieur... vous oubliez cette m

— Mais, Arthur, je ne veux p
i«i mtlant la main sur la ooi

sors avec lui pour ne rentrer jatr

— Mais je le jarè... je suis dé
Lemomimr. sortant.

-Je serai jusqu'à îme heure i
a votre disposition, chez Hills
il sort.

— f! serai, mon.ieur, et au«
-- Arthur, atiends-moi, écouta
Mt'ir en tenfamat.
-Adieu, an»e; jeVais ïe

«Mite h quatre.
Deux voix.

— Le cordon s'il vous plaît?

— Dzmgg!,,.

V*»" une brasserie
:J««^ les'bibelots,...
0'. dans ma poche ,...„„
^ Elle m'a dit 20,000 ! P

0h!c^^efaSeb;e"-m*

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