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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 2.1869

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https://doi.org/10.11588/diglit.3703#0041

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L'ECLIPSE

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-Pho de ce journal „ïtalnaflsB!
■gnons; on a ™ comment il «,£*
[m çontmt, un moment, avec tatf,?
la gloire de Balathiep-Biagelomie
aussi ses malheurs qui l'ont kiimSli
In Figaro et de VEvmmnl.
ti, Baiathier-Bragelonue, pour lia,,
icplus ni trêve ni merci à son nui,.,
Pelile Presse.

: Très-ingénieuse et très-raillante j!«j|ii
e destin, d'avoir le bec... tris-joinli,

(£«)

'•) costumière de théâtre,

) comédien.

k) peintre.

I sculpteur.

■aron, grands et petits tors», ont ti i k

mencerla tempête et engloutir m j««t

aise tout l'éiinipage dramatique ilkift

i-frère : M. Marc Foumier. Les A»»*

B garder, sur leurs vieus jours, m pot?

Th.:

jSE HISTOIRE PARISIENNE

s trouvée mal dln,°°|»,.'r.

c'est tout ce luxe qui ne vient pas de ici; aussi je vais cacher tout
cela pour que son beau front n'ait pas une ride en entrant ici... Il
est si délicat et si fier,'!.,. Trop tard!... C'est lui.

Arthur fait son entrée. Il est blond foncé, ses cheveux sont
assez longs et très-soïgnès; ses yeux, bleu faïence, sont
cerclés de noir et peut-être un peu maquillsé; il est bien
rais, il a le physique de l'emploi.

— Te voilà, mon bébé; d'où viens-tu?.,.

— Du Cercle, ma chère enfant.

— Bien sûr... On dirait que tu sens la pipe.,. Mais dis-moi,
chéri, il ne va pas de. femmes à ton Cercle, au moins?

— Quel enfantillage!...

— C'est que je suis jalouse, vois-tu, et si une autre femme...

— Qu'est-ce qui te prend... Je ne te quitte pas... je suis ici
tous lesjours, excepté... (d'un air sombre) certains jours!...

— Ne parlons pas de ça, Arthur; tu sais bien que je n'aime que
toi!...

— Ohl il faut que je le croie hien... car sans cela, vois-tu 1...
Oh! cet homme!

— Arthur!...

— Et voilà ses bijoux, ses diamants, que je ne voulais plus
voir!... Pour combien y en a-t-il là-dessus?..:

— Pour 20,000 francs... je ne sais... Mais que t'importe ..

— Il m'importe beaucoup!... Oh! comme je voudrais les lui je-
terà la figure !... Et les montures... à combien les estime-t-on?..,

— Je ne sais, Arthur... Qu'as-tu, mon bébé.,, tune m'aimes
plusl

— Plus que jamais I

(Trois coups de marteau à la porte cocher c.}

— As-tu entendu?.,.

— Quoi?...

— C'est sa manière de frapper à lui... On monte...

— Ne m'as-tu pas dit qu'il était en voyage?

— Oui; mais as-tu mis le verrou en entrant?...

— Ma foi non...

— On ouvre ici... je lui ai laissé une clef!... Ah! sauve-moi!....

Un monsieur entre et parait fort surpris de ce qu'il voit...

— Parbleu, ma belle... il paraît qu'en mon absence, il vous faut
de la compagnie... Je m'en doutais, et vous vous êtes laissée
prendre àce piège grossier du faux voyage.,. Je vous croyais plus
forte que ça...

— Monsieur, je suis à vos ordres... et demain...

— Mais, Arthur, je ne connais pas monsieur I Je ne l'ai jamais
vu !..,

— Tais-toi, pauvre enfant, ne cherche pas à me tromper, je sa-
vais que monsieur existait, et qu'un jour ou l'autre ce qui arrive,
arriverait...

— Mais, je te jure...

— Allons, madame, cesso,ns celte plaisanterie... je ne guis pas
un jaloux de mélodrame moi, je n'ai aucun revolver sur moi, mes
intentions sont plus pacifiques que cela ! Tout ce qui est ici m'ap-
partient, car j'ai tout payé, gardez tout, mais...

— Arthur, je te répète que je ne connais pas cet homme !...

— Ne répète pas ce pieux mensonge, ange, je t'&ime, laisse-le
reprendre tout ce qu'il t'a donné, je te remplacerai tout cela.... par
mon amour! Prenez, monsieur, ce que vous faites eat petit.,, mais

-■c'est votre droit de le faire... emportez ces bijoux.,.

— Ah ! non par exemple !...

— Tais-toi, ange, tais-toi... laisse faire ce négociant.-, allez,
monsieur... vous oubliez cette montre. .

— MaïSj Arthur, je ne veux pas!,..

Lui mettant la main~sur la bouche. — Pas un mot de plus ou je
sors avec lui pour ne rentrer jamais I

— Mais je te jure... je suis dévalisée,., tu te trompes... Arthur,
Le monsieur-sortant.

—Je serai jusqu'à une heure du matin avec deux de mes amïs
à votre disposition, chez Hills ou au Helder à votre choix!....
Il sort.

— J'y serai, mon.-leur, et aussitôt que vous 1

<*=r Arthur, attends-moi, écoute-moi... je te répète..,
Arthur en Icnfeitn-ant.

— Adieu, ange; je vais venger mon honneur 1... Il descend
quatre à quatre.

Deux voix.
, — Le cordon s'il vous plaît?

— Dzingg !...

f .Com^ ", . mais'1

ti.»1""! ,B»«

Dans une brasserie.

— Tu as tous les bibelots!.,.

— Oui, dans ma pocha f... pour combien à peu près ?

— Elle m'a dit 20,000!

— Mettons 15... ça fait 7,500 pour chacun!

— Si nous prenions le train de nuit pour le Havre... j';
de voir l'exposition...

— Garçon, payez-vous... et gardez tout !.,,^
""Le garçon. — Merci bien, messieurs !

Oh! ces fils de famille!

GAZETTE A LA MAIN

Vanitas vanitatum et omnia Vanitas l

Tous les ans, à pareille époque, cette vérité, — enseignée par
l'Eglise dans un latin qui .ferait honneur au bar jn Brisse, — reçoit
une éclatante et invincible consécration...

Le baromètre, avec une rapidité de variations dont quelques di-
plomates et certains fonctionnaires semblent seuls posséder le se-
cret, se charge d'affirmer aux yeux des plus incrédules qu'il n'y a
rien de solide dans les choses humaines...

Vanitas vanitatum : — La fête des patineurs n'a pas eu Heu...

Et omnia vanitas : — Car le dégel est arrivé...

Pauvre fête aux flambeaux !

Toutes les fois que je la vois annoncée, — pour un samedi, par
exemple, — dans les colonnes des journaux, je m'empresse, le
vendredi, de dire à ma femme de

— Pas besoin d'allumer du feu demain matin au salon... Cette
nuit, le temps va changer.

Les plus grandes dames de l'Empire avaient déjà rayé sous les
lames d'or de leurs patins la glace du Grand-Lac pris jusque dans
ses profondeurs.

Tailleuses et couturiers s'agitaient a l'envi : on préparait les tal-
packs d'Astrakan et les kolbacks de loutre, les dolmans fourrés de
zibeline et les pelisses garnies de renard bleu.,.

Les clochettes d'argent tintaient à l'attelage des troikas, des
kibichts, des drofsehis...

Los traineauz à main allongeaient leur col de cygne hors des
remises et s'apprêtaient à balayer la neige de leurs peaux d'ours et
de loup dentelées d'êcarlate...

Les torches allaient flamboyer ; le Bois s'illuminait; les son-
neurs embouchaient leur trompe pour célébrer les jolies femmes
qui montraient leur... agilité dans les glissades, les coulés et les
demi-cercles...

— Cora Pearl — surtout — ne se sentait pas d'aise...
Patiner1,...

Dame, vous devez comprendre la joie d'un verbe passif, qui de-
vient actif, — une fois, — par hasard !

Pataira !...

L'air s'attiédit, — îa pluie tombe, — la glace craque...
Va te faire... lanlairel...

Cette dernière phrase s'applique — spécialement — à mademoi-
selle Cora.

C'EST LE DÉGEL !!!

J'ai raconté cette déconvenue à l'un des membres de l'ambas-
sade chinoise, descendant du sage Kon-Fu-Tsé. Ce mandarin m'a
tenu un langage assez embrouillé :

— O mon fils, il en est du Club des Patineurs comme du Gou-
vernement — de Pékin...

Celui-ci est à la tête d'une Majorité compacte, inébranlable, â
toute épreuve...

Il compte sur elle pour la semaine prochaine...

Oui, mais un vent chaud souffle, l'atmosphère - s'embrase, les
nuées crèvent....

La surface qu'on croyait si ferme se fendille, se morcelé, se dé-
sagrège, se liquéfie...

Plus un point où poser le pied : le Grand-Lac moutonne et
écume; le vide remplace la croûte diamantée sur laquelle le patin
traçait ses arabesques; où un miroir étincelait, l'eau noire et ra-
geuse tourbillonne....

c'est le dégel !

Il existe, dans une toute petite ville de province, un yieùxméde
cin, membre du conseil municipal, qui passe toutes ses soirées au
café, dominé qu'il est par la passiou du domino.

Un soir, qu'il était resté le dernier, selon son habitude, et que le
cabaretior n'attendait plus que son départ pour fermer la porte, un
gendarme se présenta.

— Allons, Monsieur X..v il faut vous en aller, dit le repré-
sentant de l'autorité. Le café devrait être fermé depuis 'long-
temps : vous me forcerez un de ces jours, à dresser procès-verbal,
Le règlement de police est formel, vous le savez mieux que per-
sonne .

— Mais, mon ami, il n'est que dix heures,,..
—.11 est dix heures et demie.

— Il n'fist que dix heures, je vous assure,..

— Et moi, je vous répète qu'il est dix heures et demie pas-
sées.

— C'est bien, répliqua le bon docteur en soupirant véhémente-
ment, ne vous fâchez pas, je m'en vais. J'avais l'intention d'ache-
ter une montre, mais je change d'avis. J'achèterai un gendarme,
c'est plus exact et on n'a pas besoin de le remonter.

Me Crémieux a fait dimanche — dans la salle de la Redoute —
Une conférence sur VArt théâtral.

11 y a obtenu un grand succès.

Aussi Paulin Ménier se propose-t-il d'étudier prochainement le
Droit de Réunion — au Vieux-Chêne.

Personne n'admire plus que moi le talent et le caractère du re-
marquable et sympathique oratonr,..

Mais on me concédera, je l'espère, qu'il ne ressemble que mé-
diocrement à M. Capoul...

A quoi cela lui servirait-il î

Non ; M" Grémieux n'est point beau...

Un jour, il plaidait au Palais...

Il s'agissait d'une demande en séparation de corps...

Notre avocat parlait pour îa demanderesse :

— Messieurs, commence-t-il, outragée dans noire dignité d'é-
pouse, blessée'dans nos affections de mère, nous venons, avec
confiance, invoquer la séparation de corps... Oui, Messieurs, on»
eu l'audace d'introduire une concubine dans notre maison ; on a
donné à notre rivale un groom, une voiture et quatre chevaux ; on
a abusé de notre faiblesse et de notre candeur; on a froissé notre
pudeur, terni notre vertu par des imputations calomnieuses; on a.
la cruauté, que dis-je !... la barbarie de nous séparer de nos en-
fants, des enfants que nous avons portés dans nos flancs,.que nous
avons nourris de notre.lait...

■ Un auditeur envisageant M0 Crémieux :

— Pauvres petits malheureux !

Dimiaiue don Biégue et Pouracaugnac Rajuai'd
J'ai eu trop rarement le plaisir de complimenter M. Dumaine,
pour laisser perdre cette occasion de le louer sans restriction...

Je lui ai vu, la semaine passée, jouer don Diègue, du Cid, dans
l'un de ces spectacles-parlotes que l'on vient d'installer, le di-
manche, à la Gaité, — et je déclare que personne ne m'a jamais
aussi puissamment remué dans ce rôle.
Exceptionnellement servi par ée moyv que chacun lut connaît,

— ampleur du geste, de la taille, de l'organe, de l'allure, — il a au
se montrer à la fois héroïque et superbe comme un vieillard de
Corneille, paternel et humain comme un vieillard d'Hugo! ...

Quand à Raynard, on pouvait craindre qu'il ne fût écrasé, — à
l'Odéon, — par la grande perruque du gentilhomme limosin. Il
n'en a rien été. Raynard abordait « le répertoire » avec une peur
qui témoignait de sa modestie personnelle et de sort respect à l'en-
droit des maîtres immortels. 11 a été amusant, sans marcher dans
les semelles do la Tradition et sans chausser celles de la Pasqui-
nade... Le voilà qui finit comme Grenier a commencé !...
L'Écossais de Chatou aux Bonfles-Parisiêns

Un éclat de rire après lequel il devient «* tout bonnement— im
possible d'entendre Vile de Tulipatan1....

On péterait dans sa gaine, quoi !...

Figurez-vous Désiré, qui a assisté h SIX CENT SOIXANTE-
SIX représentations de la Dame blanche, et qui, abruti par ce
chef-d'œuvre, a entrepris d'exercer aux environs de Bougival —
en France — l'hospitalité des Highlands!..,

Figurez-vous ses deux domestiques, — Bonnet et Mlîê Fonti, —
travestis en Georges Brown et en miss Anna de là Courtille et
âésenmaniaawnt ce jovial vieillard par les romances lés moins os-
sianesques et les scotichs les plus mabiliennes !..,

Jetez au milieu de tout cela Hamburger en cornet à piston am-
bulant, amoureux et mélancolique !...

Et, ma foi, conservez vos bretelles, — si vous pduvez!...

J'assistais à la toilette d'une femme du monde,,.
Le, coiffeur interroge ; _ , ,

— Qu'est-ce que je composerai sur les tempes de Madame" ?' 0eLs
coques, des frisons, un crêpé ?

— Non ; un ou deux petits Capoul seulement.

Deux jours auparavant, dans une charcuterie du Faubourg-Mont-
martre, j'avais entendu demander une demi-douzaine de Fréde-
gonde...

Capoul!...

Frédegonde !...

Ces deux locutions m'intriguaient...

Je m'informai...

Les Capoul sont des accroche-c&mr^.

Et les Frédegonde, de gros boufUns blancs — de volmlle- ~Hruffés.

La Comtesse de Monlt'Ohrisio, — qûla occupé, pehdantun certain
temps, le rez-de-chaussée de la Petite Pfèsse, vient de paraître chez
: Dentu.

Que Jean du Boys fût uri lettré, un styliste, un poète, personne
n'en doutait assurément...

Mais qu'il sût charpente:*, mouvementer, conduire un roman
d'action, — intéressant, dramatique, observé, vécu, — c'est ce
qu'il vient de pfOuVer surabondamment par le sueccès de lecture
que la GointeSse de Monté ■Gfiri&o a obtenu en feuillefonsetobtiendra
en volumoS.

Dans un ordre de livres plus sérieux, je citerai deux ouvrages
très-remarquables publiés par Victor Huriot,-^-2, Carrefour de l'Ob-
servatoire :

L'Histoire des Sociétés secrètes^

Et les Discoursdu Trône, depuis' 1S48 jusqu'à nôsjoUPs.

Ces deux ouvrages se recommandent au public par l'érudition,
l'exactitude, l'esprit d'indépendance et d'impartialité.

Le seul mort à anecdotes que nous ait donné la quinzaine, est -
M. Arthur de Kalkbrenner, — un gentilhomme-musicien.
M. de Kalkbrenner faisait volontiers montre de sa particule.

— Sachez, dit-il un jour à Charles Bataille, que la noblesse de
ma famille remonte aux Croisades. Un de mes ancêtres accom-
pagnait l'empereur Frédéric Barberousse...

— Sur le piano? demanda finement notre regretté confrère.

*
Une dame est en train de traverser le boulevard eh se retrous-
sant jusqu'à... l'invraisemblance.
Un monsieur, qui la suit, s'écrie avec admiration :

— Sacrebleu ! la belle jambe !

La dame se rototirne, et, se retroussant encore* davantage, si
faire se peut :

— Oh ! monsieur, j'en ai deux !... Voici l'autre!...

An bal de l'Opéra
une uaiMê me colonne hAsibuteau, d un monsieur en inQïpressibté.

— Va donc, homme de peu!
L'iNEXpaEssiBLE. ^-Va donc! femme de beaucoup !

EMILE BL0N&JST.

L'événement médical vient de publier un compte-rendu sur une
Notice de M. le Docteur F. Boyer ayant pour titre : Un nouveau re-
mède contre la goutte, les rhumatismes articulaires et musculaires,
les névralgies dites rhumatismales. La substance qui compose la li-
queur spécifique du docteur Boyer est tirée, ditle judicieux critique,
du règne végétal ; elle ne contient ni opium, ni colchique, ni mer-
cure, ni aucune de ces substances qui peuvent avoir une influenco
fâcheuse sur l'économie. On trouve la Notice au cabinet du Docteur
Bover, rue Montmartre, 169, Paris. — Pris : 20 centimes.

Les Discours du TroSe depuis I8l£ jusquà nos jours,, avec una
préface de M. Auguste Lepàge, viennent de paraître réunis en
volume.

Pour recevoir franco cette intéressante rt unique collection, en-
voyer 2 fr. 40 cent, à l'administrstion del'EcLiPSE-, Envoi par retour
du courrier.

Nos lecteurs peuvent se procurer dan3 nos bureaux un CARTON
élégant et commode où ils pourront collectionner, au fur et à me-
sure de leur apparition, les numéros de {'Éclipse. Ce Carton, pris
dans nos bureaux : 4 fr. 50. Le port reste à la charge de l'ache-
teur des départements.

Nous mettons aussi à la disposition du public l'ALBUM DE
LA LUNE, composé de portraits, charges, choisis parmi les plus
remarqués de ceux publies dans ce journal, tirés à part sur papier
de luxe, réhaussés d'un riche coloris et richement reliés. Pris dans
nus bureaux : 6 fr. — Envoyé franco : 8 fr.
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