AVENTURES DE M, NUELLAS
CHAPITRE II (suite)
OU L'ON VOIT COMMENT ET EN QUELLE COMPAGNIE M. NUELLAS
PASSA SA SOIRÉE A L'AUBERGE DES COEURS-UNIS.
La conversation de ces messieurs était complètement étrangère
à la polttique et roulait sur des souvenirs de jeunesse tous plus
étonnants les uns que les autres, et au récit desquels M. Nuellas
prêtait une oreille attentive.
Ayant toujours à cœur de s'instruire et sachant qu'il y a tou-
jours à prendre quelque chose dans les plus simples entretiens, il
ne tarda pas à se mêler à la conversation, et au bout de quelques
bocks partagés fraternellement, il offrit un bol de punch qui fut
accueilli avee un vif enthousiasme.
M. Thomas ne voulant pas rester en retard de générosités offrit
un second bol qui fut reçu avee non moins d'enthousiasme que le
premier.
Un nombre très-respectacle de bols furent ainsi offerts tour à
tour par divers membres de la société, si bien que vers une heure
du matin, M. Anténor développait des arguments d'une insaisi-
sabte subtilité sur les attributions des greffiers de justice de paix.
M. Polycarpe voulait vendre à vil prix les saintes marchandises
enfermées dans sa boite de toile cirée, et M. Thomas chantait des
refrains de Béranger à M. Nuellas, dont l'air impassible, les ho-
chements de tête à gauche et à droite, en avant et en arrière, et les
yeux indolemment fermés expliquaient assez le silence.'
CHAPITRE III
COMMENT M. NUELLAS FUT EXPÉDIÉ A PARIS ET VENDU, EN COMPAGNIE
DE TRENTE-DEUX POULES ET DE QUARANTE-HUIT LAPINS, POUR LA
MODIQUE SOMME DE CENT DOUZE FRANCS.
Les trois gentilshommes dans la compagnie desquels M. Nuellas
s'était si consciencieusement enivré, continuaient cependant à
boire, sans s'inquiéter de leur vénérable
ami, qui enfonçait obstinément son menton
dans son gilet à grands ramages.
Cependant, vers trois, heures, M. Poly-
carpe, se sentant la tète lourde et l'esto-
mac plus lourd encore, sortit pour prendre
l'air pendant quelques instants,. dans la
cour de l'auberge des Cœurs-Unis,
C'était une bien belle chose que la cour de l'auberge des Cœurs-
Unis, à trois heures du matin! —Un vaste emplacement carré,
comme dans les eaux-fortes de Jacque : au fond,et à droite, les
écuries et rétable ; à gauche, la laiterie, le cellier-et la cuisine; au
n^heu, un désordre inextricable de chariotsde rouliers, de petites
voi'nres" de maraîchers, de tas de légumes, de paniers de volailles
vivantes; la lune sur tout cela et seulement,
de temps à autre,! au milieu du silence de la
-nuit, le hennissement d'un cheval ayant faim,
qui frappait du pied le pavé sonore, en secouant
sa chaîne à des intervalles inégaux.
L'âme de M. Polycarpe — s'il en avait une,
ce dont il ne s'était jamais inquiété — ne fut
nullement émue en présence de la majesté
calme de la-nuit; il flâna quelques moments
dans la cour, en battant les murs avec un
sans-façon pittoresque, respira longuement après avoir exécuté
ce qu'il avait à faire, et il se mit à examiner attentivement un
chariot chatgé exclusivement de lapins et de volailles. M. Polycarpe
cherchait en lui-même le parti qu'on pourrait tirer de cette pré-
cieuse découverte, quand tout à coup il se heurta contre cinq ou
six de ces grands paniers vides, superposés les uns sur les autres
et adossés au mur de l'écurie.
M. Polycarpe sourit doucement à l'idée qui germa dans son cer-
veau et rentra dans la salle de l'auberge
en se frottant les mains et en chantant
à mi-voix :
Dans le bois j'ai rencontré,
J'ai rencontré la meunière;
Son bas était' bien lire.
Je lui dis : Bonjour commèi' e,
Où donc allez-vous,
Meunière aux yeux doux?
La salle commune des Cœurs-Unis
était vaguement éclairée par une petite
lampe qui découpait sur les murs les
ombres épilepliques de M. Anténor et
et de M. Thomas. M. Nuellas était
plongé dans un honteux élat d'inertie, et
l'hôte, tenant encore dans e?a main le
Moniteur des Ventes d'immeubles, ronflait
à casser les vitres.
M. Polycarpe expliqua son plan à ses deux compagnons, et il
n'eut probablement pas de peine à les convaincre, car ils se le-
vèrent avec l'assurance d'un équilibriste qui marche sur des bou-
teilles, prirent M. Nuellas sous les bras et par les pieds, et le
transportèrent dans la cour. Là, ils l'installèrent très-commodé-
ment dans un des grands paniers vides et le chargèrent sur le
chariot de volailles, entre deux paniers de poules et de lapim
Après avoir accompli cette belle
œuvre, ils rentrèrent dans l'au-
berge, dont ils réveillèrent l'hôte,
disant que M. Nuellas était ren-
tré chez lui, et comme ce dernier
était connu de. l'aubergiste, ils
n'eurent pas de difficultés à faire
admettre leurs explications.
A quatre heures,. Picou, le marchand de volailles, attela ses
chevaux et se mit en route pour Paris. Sur le coup de cinq heures
et demie, il arriva au marché de la Vallée et déchargea
riot en faisant des tas do trois paniers. cha-
A peine avait-il déchargé à moitié sa voiture, qu'il vit arr-
M. Bizord, une de ses meilleures pratiques, rôtisseur dans la /'
Saint-Denis, qui trois fois la semaine venait lui chercher ses pro-
visions de volailles.
D'un assez long entretien entre Picou et M. Bizord, il résulta
que M. Bizord devint propriétaire de trois paniers contenant cha-
cun, l'un dans l'autre, seize poulets et vingt-quatre lapina en
échange desquels il donna à Picou vingt-deux pièces de cent sous
à l'effigie du roi, et une pièce de deux francs où le premier consul
était portraicturé.
Le marché une fois conclu, M. Bizord chargea ses trois paniers
sur une petite charrette à bras et s'en retourna à la rôtisserie du
Poulet-Flambé, fondée en 1789, disait l'e
Dans le panier du milieu, M. Nuellas dormait paisiblement.
CHAPITRE IV
OU M. NUELLAS DORT PENDANT QU'UN ROTISSEUR CHANTB. — ÉVASION.
La journée de M. Nuellas se passa sans péripéties intéres-
santes.
-^ De temps à autre, le
punch susurrait bien dou-
cement dans les replis de
la muqueuse stomacale, en
faisant une musique pa-
reille à des ruisseaux dé*
crits par M. Jacques De-
lille, poëte d'académie. Mais bientôt les muscles puissants du py*
lore de M. Nuellas prononçaient efficacement leur quos ego.- a
l'exemple du vieux Neptune, dieu marin mal en point aujour-
d'hui.
Vers minuit, à l'heure où les jeunes amoureux guettent la sor-
tie des petites figurantes qui viennent de représenter les nymphe"
et les naïades dans les apothéoses du Châtelet, la voix retentis-
sante de M. Bizord enjoignit à son aide rôtisseur, qui répondait au
doux nom de Golomban, de fermer sans retard le Pouiet flambé.
Eugène Vermehsch.
La suite au prochain numéro.
L'ECLIPSE
JOURNAL AMUSANT [ILLUSTRÉ
1 DONNE EN PRIME A TOUT ABONNÉ D'DN AN.
UNE ««LE ET TRlS-BOIE MONTRE EN ARGENT
Boîte et cuvette intérieure en argent contrôlé, échappement à cylindre, huit trous en rubis.
Fournie par le Comntoir général des fabriques de montres de Besançon, Genève, La Chaux-de-Fonds, etc., etc.
28,'BOULEVARD SÉBASTOPOL, A PARIS (gros et détail).
Cette belle et tres-élégante montre en argent, par sa solidité, convient aux chasseurs, cavaliers, employés
et aux travailleurs (le'lûule sorte, sans crainte pour eux que les secousses brusques en altèrent la marche. —
Le modèle ci-dessus indique exactement la grandeur, la, forme et la circonférence des Montres
offertes en Prime, 'afin qu'il n'y ait aucun dojite dans la pensée de la personne qui désire s'abonner
— Très-beau Cancan affaire — Belles Etrennes adonner.— Prix de l'Abonnement pour l'année
avec la Prime : 30 Francs pour Paris, 31 Francs pour les Départements.— Il donne droit à recevoir gratui-
tement, franco, par la poste, contre repu et comme valeur cotée, dans la huitaine qui suit l'abonnement con-
tracté, la belle et bonne Montre détaillée ci-dessus, avec sa clé. Les huit jours réclamés■ étant utiles pour
constater que la montre a bien été mise en marche avant son expédition. Les abonnements partent du 1" ou
du 15-de chaque mois.— il suffit donc d'envoyer un mandat sur la poste à l'ordre de M. F.' POLO. Directeur
de L'ÉCLIPSÉ, 16. rue du Croissant, à Paris, pour être inscrit au nombre des Abonnés et recevoir immé-
diatement le Journal (Affranchir).
LA SURETE FINANCIÈRE
5
FRANCS PAR AN
POUR TOUTE LA FRANCE
Journal politique, industriel et commercial — publie tous
tirages — INDISPENSABLE a tout actionnaire
Le meilleur marché, le plus complet des journaux politiques iinancie.
PARAIT TOUS LES DIMANCHES
.:-16 pages de texte et de tableaux
On s'abonne.èn envoyant CINQ FRANCS en un mandat ou ''"*'*
poste, àlaDirectidn de la Sûreté Financière, i, rue du I»»™
Fesch. ' •[ ■
Directeur : M. PAUL KLOTZ.
„•<"
riiil
m»*
,,!.(«
lit»'1' '
Bec
Un iout, dedans la ville
Un monsieur, etiei»
s'!«l.u»?M«"n- ,,
Ijjpiïiii»»"*
Il lui dit : - Bonjour, maître.
De giice. accordez-nous
La. satisfaction d'êtro
PioltîrapMpar'tw-
Via l'autorisation
Pm l'administration.
— Bnlmns a« café d'Suèrlo,
Dit Cilla ta vieillard.
D'nnpendedoui, deraide
ïnipnita votre part.
Je voua régalerai '
Du mieni que je pourrai.
— J'accepterais de boire j
Une absinthe avec vous;
Maia je ne puis m'asseoir. ,e,
11 faut rester debout. ■
Ce cuirait mon tourment
N'est pas sans fondement,
ti
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CHAPITRE II (suite)
OU L'ON VOIT COMMENT ET EN QUELLE COMPAGNIE M. NUELLAS
PASSA SA SOIRÉE A L'AUBERGE DES COEURS-UNIS.
La conversation de ces messieurs était complètement étrangère
à la polttique et roulait sur des souvenirs de jeunesse tous plus
étonnants les uns que les autres, et au récit desquels M. Nuellas
prêtait une oreille attentive.
Ayant toujours à cœur de s'instruire et sachant qu'il y a tou-
jours à prendre quelque chose dans les plus simples entretiens, il
ne tarda pas à se mêler à la conversation, et au bout de quelques
bocks partagés fraternellement, il offrit un bol de punch qui fut
accueilli avee un vif enthousiasme.
M. Thomas ne voulant pas rester en retard de générosités offrit
un second bol qui fut reçu avee non moins d'enthousiasme que le
premier.
Un nombre très-respectacle de bols furent ainsi offerts tour à
tour par divers membres de la société, si bien que vers une heure
du matin, M. Anténor développait des arguments d'une insaisi-
sabte subtilité sur les attributions des greffiers de justice de paix.
M. Polycarpe voulait vendre à vil prix les saintes marchandises
enfermées dans sa boite de toile cirée, et M. Thomas chantait des
refrains de Béranger à M. Nuellas, dont l'air impassible, les ho-
chements de tête à gauche et à droite, en avant et en arrière, et les
yeux indolemment fermés expliquaient assez le silence.'
CHAPITRE III
COMMENT M. NUELLAS FUT EXPÉDIÉ A PARIS ET VENDU, EN COMPAGNIE
DE TRENTE-DEUX POULES ET DE QUARANTE-HUIT LAPINS, POUR LA
MODIQUE SOMME DE CENT DOUZE FRANCS.
Les trois gentilshommes dans la compagnie desquels M. Nuellas
s'était si consciencieusement enivré, continuaient cependant à
boire, sans s'inquiéter de leur vénérable
ami, qui enfonçait obstinément son menton
dans son gilet à grands ramages.
Cependant, vers trois, heures, M. Poly-
carpe, se sentant la tète lourde et l'esto-
mac plus lourd encore, sortit pour prendre
l'air pendant quelques instants,. dans la
cour de l'auberge des Cœurs-Unis,
C'était une bien belle chose que la cour de l'auberge des Cœurs-
Unis, à trois heures du matin! —Un vaste emplacement carré,
comme dans les eaux-fortes de Jacque : au fond,et à droite, les
écuries et rétable ; à gauche, la laiterie, le cellier-et la cuisine; au
n^heu, un désordre inextricable de chariotsde rouliers, de petites
voi'nres" de maraîchers, de tas de légumes, de paniers de volailles
vivantes; la lune sur tout cela et seulement,
de temps à autre,! au milieu du silence de la
-nuit, le hennissement d'un cheval ayant faim,
qui frappait du pied le pavé sonore, en secouant
sa chaîne à des intervalles inégaux.
L'âme de M. Polycarpe — s'il en avait une,
ce dont il ne s'était jamais inquiété — ne fut
nullement émue en présence de la majesté
calme de la-nuit; il flâna quelques moments
dans la cour, en battant les murs avec un
sans-façon pittoresque, respira longuement après avoir exécuté
ce qu'il avait à faire, et il se mit à examiner attentivement un
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cherchait en lui-même le parti qu'on pourrait tirer de cette pré-
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six de ces grands paniers vides, superposés les uns sur les autres
et adossés au mur de l'écurie.
M. Polycarpe sourit doucement à l'idée qui germa dans son cer-
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à mi-voix :
Dans le bois j'ai rencontré,
J'ai rencontré la meunière;
Son bas était' bien lire.
Je lui dis : Bonjour commèi' e,
Où donc allez-vous,
Meunière aux yeux doux?
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était vaguement éclairée par une petite
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et de M. Thomas. M. Nuellas était
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à casser les vitres.
M. Polycarpe expliqua son plan à ses deux compagnons, et il
n'eut probablement pas de peine à les convaincre, car ils se le-
vèrent avec l'assurance d'un équilibriste qui marche sur des bou-
teilles, prirent M. Nuellas sous les bras et par les pieds, et le
transportèrent dans la cour. Là, ils l'installèrent très-commodé-
ment dans un des grands paniers vides et le chargèrent sur le
chariot de volailles, entre deux paniers de poules et de lapim
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n'eurent pas de difficultés à faire
admettre leurs explications.
A quatre heures,. Picou, le marchand de volailles, attela ses
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et demie, il arriva au marché de la Vallée et déchargea
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A peine avait-il déchargé à moitié sa voiture, qu'il vit arr-
M. Bizord, une de ses meilleures pratiques, rôtisseur dans la /'
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D'un assez long entretien entre Picou et M. Bizord, il résulta
que M. Bizord devint propriétaire de trois paniers contenant cha-
cun, l'un dans l'autre, seize poulets et vingt-quatre lapina en
échange desquels il donna à Picou vingt-deux pièces de cent sous
à l'effigie du roi, et une pièce de deux francs où le premier consul
était portraicturé.
Le marché une fois conclu, M. Bizord chargea ses trois paniers
sur une petite charrette à bras et s'en retourna à la rôtisserie du
Poulet-Flambé, fondée en 1789, disait l'e
Dans le panier du milieu, M. Nuellas dormait paisiblement.
CHAPITRE IV
OU M. NUELLAS DORT PENDANT QU'UN ROTISSEUR CHANTB. — ÉVASION.
La journée de M. Nuellas se passa sans péripéties intéres-
santes.
-^ De temps à autre, le
punch susurrait bien dou-
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la muqueuse stomacale, en
faisant une musique pa-
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Vers minuit, à l'heure où les jeunes amoureux guettent la sor-
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et les naïades dans les apothéoses du Châtelet, la voix retentis-
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Eugène Vermehsch.
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L'ECLIPSE
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UNE ««LE ET TRlS-BOIE MONTRE EN ARGENT
Boîte et cuvette intérieure en argent contrôlé, échappement à cylindre, huit trous en rubis.
Fournie par le Comntoir général des fabriques de montres de Besançon, Genève, La Chaux-de-Fonds, etc., etc.
28,'BOULEVARD SÉBASTOPOL, A PARIS (gros et détail).
Cette belle et tres-élégante montre en argent, par sa solidité, convient aux chasseurs, cavaliers, employés
et aux travailleurs (le'lûule sorte, sans crainte pour eux que les secousses brusques en altèrent la marche. —
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LA SURETE FINANCIÈRE
5
FRANCS PAR AN
POUR TOUTE LA FRANCE
Journal politique, industriel et commercial — publie tous
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Maia je ne puis m'asseoir. ,e,
11 faut rester debout. ■
Ce cuirait mon tourment
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Werk/Gegenstand/Objekt
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Aventures de M. Nuellas
Weitere Titel/Paralleltitel
Serientitel
L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré
Sachbegriff/Objekttyp
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