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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 2.1869

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https://doi.org/10.11588/diglit.3703#0056

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2:

L'ECLIPSE

PRIMES DE L'ÉSLIPSE

Tonte personne qui enverra ait s'este??* ©eue en mandat on en
timbres-poste au directeur du journal, 16, rue du Croissant, â
Paris, — lu montant d'un abonnement d'uïft ans à l'iScHps©,
jouira des primée ci-dessous énoncées, aux conditions suivantes :

1ï« PRIME -

Une superbe lanterne-magique accompagnée de douze verres
fournissant '48 sujets, reproduits d'après tes charges deGiU les plus
célèbres. (Voir nos précédents numéros»)
L'abonsement pour -Paris, avec cette pi=ime. .... 12
Pour les départements (la prime sxp<Hiée franso, à do-
micile) ....... » » ».....ib

2« PRIME
Une«oeHeate montre de G-eaèTa. {Voir nos précédente numéros)
L'abonnement pour Paris, avec cette prima, . . . , • 38
Pour les département;;. .....»«**. t ■ 31

— Vinard, il faut que ça parte ! On me la fait trop à l'oseille à
la maison. J'admets le maigre, il faut un frein, je vous l'ai déjà
dit. Je puis bien me passer de viande pendant un mois. Je ne suis
pas encore un vieillard. Le capitaine Bastouil est retraité, perforé
trois fois, mais solide — un rocf Tout le monde le sait. Il n'y a
que madame Bastouil qui n'en veuille pas convenir. Aussi... en
temps de carême... approchez Vinard, plus près, je veux m'épan-
cher tout bas, dans votre sein .. — Sale absinthe ! — Approchez,
lieutenant Vinard.

3« PRIME
50 charges d'ANDRÉ &ILL.
L'Abonnement pour Paris, avec cette prime.. ... 7 50

Pour les départements. . ., t , .. ......9 »

Avoir soin de bien indiquer celle des trois primes qu'on

choisit.
Tous nos abonnés peuvent jouir des primes ci-dessus, déduction

faite du prix de l'abonnement déjà payé.

POURQUOI LE CAPITAINE' BâSTOUIL'"

ce Trois foia perforé, mais solide! — un roc! s
TROUVE QU'ON LA LUI FAIT TROP A L'OSEILLE.

Il n'était pas content, s'errr' bleu, m'sieur le capitaine Bastouil
le jour des morts, c'est connu. Aujourd'hui, il est furieux. C'est
trop fort! En vérité, je vous dis que c'est trop fort.

Le capitaine Bastouil, décoré, retraité, trois fois perforé, mais
solide! — un roc! ne peut pas digère* ça. On la lui fait par trop
à l'oseille à la maison. Le capitaine Bastouil admet le carême. Il
faut un frein, s'errr' bleu, m'sieur! La discipline ayant tout.
Sinon, au diable le respect de Dieu et de l'Annéel mais Mme Bas-
touil la lui fait réellement trop à l'oseille aussi! Vous allez le com-
prendre.

— Vinard, vous allés le comprendre ! s'écrie le capitaine Bas-
touil, flanquant de l'eau avec rage dans son absinthe au café du
Helder. Vinard, il faut que je m'épanche. — Lieutenant, je f..iche
le camp, si vous ne m'écoutez pas!...

— Mais, capitaine, je vous écoute... depuis une heure.

— Non! vous ne m'écoutez pas, Vinard! — Sale absinthe I Vi-
nard, quand un homme d'honneur, quand le capitaine Bastouil,
décoré, trais fois perforé, mais solide! — un roc! veut s'épancher
dans le sein d'un ami, cet ami doit être suspendu à ses lèvres.
Vous m'entendez, s'crrr'bîeu, m'sieur! suspendu à ses lèvres !

— Capitaine Bastouil, je regardais la jambe de cette petite,
là-bas, voyez-vous? un mollet! un nom d'un chien de je ne sais
quoil

— Vinard, s'errr' bleu m'sieur I ne me paviez pas d'ça, ou je
f.riche le camp ! Ne me parlez pas de femme, monsieur. Je vous
dis qu'on me la fait trop à l'oseille, tonnerre de Brest! Et quand
ou est comme le capitaine Bastouil, décoré, c'est vrai, retraité,
c'est possible, perforé trois fois3 c'est connu, mais solide! —
un roc! et qu'use épouse, sous prétexte de carême, vous la fait à
l'oseille, on a besoin de s'épancher, et non pas de parler de eo-
cottes !

— Capitaine, buvez donc un coup, vous êtes rouge comme mon
pantalon.

— Eh bien? qu'est-ce que ça vous fait, sacrr'bleu, m'sieur,
quand je crèverais à la peine 1 j'en ai le droit. — Sale absinthe!
Mais modérez votre joie cruelle, Vinard. Je ne mourrai pas
encore aujourd'hui... vous savez, je suis ],& capitaine Bastouil, per-
foré trois fois, mais solide!... — un roc 1

— Ah ! vous êtes un gaillard, un brave à trois poils.

— A trois poils! sacr'bleu, m'sieur Vinard. Vous f...ichez-vous
de moi, décidément.- Allez-vous insinuer que je suis chauve, et,
comme Cadet Roussel, po-siesseur de trois cheveux.

— Ah! je vous jure, capitainoBastou.il...

— J'accepte vos excuses. Il faut un frein,, le respect du rangl
Sans la discipline — Saie absinthe! — Sans la discipline, plus de
Dieu, plus d'armée! Vinard, la main au capitaine Bastouil.

— Capitaine, regardez donc ce petit museau qui s'avance. Quels
yeux Chassepotl ahl nom d'un...

— Vinard, vous ne m'écoutez pas, sacr'bleu, m'sieur! au mo-
ment où je veux vous introduire dans l'alcôve conjugale, vous af-
fectez une indécente distraction.

— Ah! capitaine, soyez persuadé,., mille tonnerres! le joli petit
nez de nom d'un chien de je ne sais quoi !...

— Lieutenant Vinard, pour la dernière fois, j'ai l'honneur de
vous prévenir que je tiens à m'épancher dans votre sein. Oui ou
non, voulezrvous m'écouter?

— Mais, sans doute, avec plaisir.

— Avec plaisir 1 Je comprends. Vous aimez à vous repaître
des souffrances d'autrui.—Sale absinthe!—Prenez garde, Vi-
nard 1 Vous me connaissez., Décoré, retraité, perforé trois fois,
mais solide, — un roc! Et à la deuxième panoplie du troisième
panneau, de la première chambre de mon quatrième étage, j'ai
suspendu, mon sabre. Je puis encore le décrocher, saccrr'bleu,
m'sieur.

— Dites donc, capitaine Bastouil, vous devriez boire un verre
d'eau, vous êtes pâle comme mes gants.

—Eh bianl qu'est-ce que ça vous fait?

— Damot. je vous aime, moi, et je ne voudrais pas vous voir
tomber iur le trottoir, tout à coup, frappé d'une attaque. Si ça
vous arrivait près d'une caserne, cela ne serait rien. Mais des pé-
kin», voyez-vous, capitaine, ça ne sait pas tous donner, mille
tonnerres, seulement le nom d'un chien de je ne sais quoi!

— Comment, capitaine Bastouil?... pas possible! tout à fait
défendu!... Ainsi, pas raesep un petit armistice... Pas une fois de
nom d'un chien de je ne sais quoi?

— Je vous répète qu'on me la fait à l'oseille! Madame Bastouil
n'entend pas raison là-dessus, a Pour faire un maigre sérieux,
monsieur, me dit-elle, tous les soirs, il faut tout à fait s'abstenir
de douceurs. »

— Mais pardon, capitaine Bastouil. Si j'ose m'exprimer ainsi,
madame Bastouil Vous fait jeûner complètement. Ce n'est plus
faire maigre, cela. Tonnerre! je voudrais bien voir qu'on ne m'ac-
cordât pas, quand j'en ferais la demande, le nom d'un chien de je
ne sais quoi d'une caresse 1

— Ah I vous n'êtes pas marié, Vinard, et avec une veuve, en-
core! —■ Salo absinthe! — Autrement, vous sauriez que, fùt-on
capitaine, retraité honorablement» décoré, perforé trois fois, mais
solide — un roc! ~ on n'obtient rien d'une femme qui veut ob-
server les lois de la discipline, sans laquelle il n'y aurait..,.

— Bastouil,' voulez-vous un avis ?

— Lieutenant, parlez.

— Venez dîner avec moi, ce soir. Après le dîner, si le cœur
vous en dit, nous irons flâner... Une bonne causerie... et un nom
d'un chien de je ne sais quoi, .là I

— Lieutenant Vinard, tout est rompu entre nous. Je venais

m'épancher simplement. Je ne vous demandais pas.des excitations

à l'adultère 1 Sans le respect de la discipline, pas de Dieu, pas

d'armée, pas de famille. Le capitaine Bastouil, décoré de la main

de son souverain, au champ d'honneur, peut se plaindre à un ami,

mais quoique à son âge, et trois fois perforé, il soit encoie solide...

— un rocI — il ne portera jamais, jamais, entendez-vous, s'err-

bleu, m'sieur 1 une incîvive coupable dans la peau appétissante du

fruit défendu! Adieu, lieutenant Vinard! Que cette leçon vous

serve I II faut un frein 1

Erkest b'Hervilly.

BOUTADES

Sans m'occuper de politique, je pense avoir le droit dem'étonner
du grand nombre de candidats qui se présentent dans le départe-
ment du Var, à part MM. Dufaure et Pbillis.
Il est vrai, que ce dernier parait avoir le plus de chances.
Csnt rivaux, ra'a-t-on dit, convoitent le suffrage
Des électeurs du Yar. Le nombre est imposant;
Quel bonheur, pour son entourage,
Si Phillis passe dans le cent.

Le canard à trois becs obtient, en ce moment, un s
au théâtre.
Il est de fait qu'il y a là un prodige.
Un canard qui a pour père, un Moineaux.

A rhôtel Drouot.

Dialogue entre deux petites dames:

« Bonjour, je viens pour acheter ton petit divan de satin rose.

—. Trop tard, ma chère, il est vendu.

— Combien ?

— Peuhl deux louis.

— Mais, c'est pour rien.

— Erreur I situ savais ce que j'ai gagné dessus.

On parlait de X... qu,e de fréquentes assiduités, dans le bou-
doir de ces dames, d'abord, et dans le cabinet du docteur R... en-
suite, ont ruiné, ou à peu près, comme santé, et comme bourse.

— Ça ne l'empêche pas d'avoir encore de bonnes fortunes, dit
quelqu'un; je l'ai rencontré hier soir avec une femme charmante.

— Pauvre homme ! il jouit de son reste.

Vabontraik.

(l) Voir l'Eclip»e, numéro lu,

MARS. — LE BELIER.

Le troisième mois de l'année tire son nom de Mars, dieu de la
guerre, parce que c'est ordinairement pendant ce mois belliqueux
que les gouvernements qui ne sont pas d'accord avec leurs voi-
sins entrent en campagne, et remplacent la diplomatie par des
canons rayés.

D'un autre côté la Mythologie nous apprend que le dieu Mars
s'introduisit clandestinement dans le ménage de Vulcain, où il
commit les plus grands dégâts, en collaboration avec Vénus,
femme de ce dernier. — Séduite par le beau militaire, Vénus en-
voya son honneur conjugal cascader par-dessus les moulins, et
Vulcain fut le premier qui porta sur la tète les insignes du Bélier.

Aussi \eà anciens, pleine d'admiration pour cet exploit, ont-ils
choisi le Bélier, animal cornu, pour représenter dans le cercle du
zodiaque le mois auquel Mars a donné son nom.

Horoscopes.

Heureux l'homme qui naîtra pendant ce mois, car il aura en
partage tout ce qui peut faire le bonheur sur la terre! Il est vrai
que ta fréquentation du vélocipède sera pour lui sans charmes, et
qu'il mettra du coton dans ses oreilles; mais, en revanche, il au-
ra le nez camard, un appétit très-capricieux et des rhumatismes

dans le dos. Toutefois, il hésitera à se montrer en marir-fc
chemise devant les dames, et il ne pourra s'endormir oJ ^
sur le ventre, ce qui ne l'empêchera pas, tout en louchai!?^
coup, d'être d'une foreo remarquable sur la clarinette a*
l'haleine forte et de ce nourrir fréquemment de eras A u"
Après avoir gaspillé les trésors de son cœur dans defu '
amours, il épousera une ancienne femme de chambre asth
que qui lui procurera peu d'agréments. Enfin, dans les ^.^
années de sa vie, il essaiera (d'apprivoiser des carpes- mTf
mort l'enlèvera à ces importants travaux. ' la

Los demoiselles qui verront le jour sous le si<me du Béli
ront les mollets peu charnus; mais elles rachèteront ce léJ?**
avantage par les vastes ..proportions de leurs pieds, des habit T
malpropres et une grande-disposition pour l'ivrognerie • ell
ront même du poil sous le nez. — Celles qui auront des par *""
dans la quincaillerie se distingueront par des hanches tr&Li -
dentées et des qualités solides ; elles en probteront pour sl\T'
à l'éducation des veA à soie ou à la fabrication des boutonniè"'
î gilet. Quelques-unes iront jusqu'à faire de l'onguent pourT
■ûlures. — Malheureusement, toutes sont destinées à être T
lées abondamment. ^

Le 28, grande fête de Pâques.

Il y a des gens naïfs qui croient que pour céléber ce jour il
suffit de cesser de manger de la morue et de mettre ie pou
feu. Ces gens-là ne sont plus de leur époque.

Pour montrer que l'on connaît bien les devoirs que le jour A
Pâques impose, tout homme comme il faut se transforme en nonl

aux œufs d'or, et vous distribuez follement

et à vos grandes nièces,.à la femme de votre ami et surtout
cocotte qui vous honore de ses faveurs, des œufs volumineux
dorés sur tranches, remplis à pleins bords de choses charmante' '
mais très-coûteuses. — Plus l'œuf est énorme, mieux on a rempli
son devoir pascal.

. Dans les provinces, les jeunes gens célèbrent la Pâques en
mettant ce'jour-là des habits neufs.

Autour de la grande solennité de Pâques'gravitent d'autres
iètes moins considérables, mais qui ont aussi leur importance
elles ne se célèbrent qu'à Pari?. Ce sont la Promenade de Lon»-
champs, là Foire aux Jambons et la Foire au Pain d'Epice.

La promenade de Longchamps, qui solennisu le jeudi-saint
est supposée servir à l'exhibition des modes nouvelles; mais en
réalité on n'y voit que quelques voitures d'insecticide-Burnichon
et des réclames pour ia Graine de moutarde blanche.

La foire aux jambons est le rendez-vous des charcutiers des
cinq parties du monde, lesquels accourent avec des charretées de
jambons, d'andouilles et de saucisses. Les Parisiens, heureux de
goûter à la jambonnerie étrangère, en prennent jusqu'à se faire
esclaffer la bedondaine. — Mais si les jambons pouvaient parler
ils nous diraient peut-être que tous ces hommes venus de la Lor-
raine, de New-York et de l'Espagne, sont tout simplement de
vulgaires charcutiers de Mont rouge ou de la rue Saint-Denis; quant
à ces longues guirlandes de saucisses, aux andouilles fumées..,
Mais écartons les choses répugnantes;—Dieu n'a pas fait parler
les jambons.

La Foire au pain d'épice est plus brillante. Elle se distinguo
par une abondance considérable de somnambules* d'acrobates et
d'hommes sauvages qui mangent des lapins tout vivants; — et
on y débite à pleines pannerées de la mie de pain bouillie
dans la mélasse, fastueusement baptisée du nom de Pain d'épica
de Dijon.

Outre ces fêtes, il en est encore deux dans le mois de mari,
qu'il est de notre devoir de ne pas oublier ;

Le 8, sainte Véronique, patronne des servantes de curé; —car
vous n'êtes pas, je pense, sans avoir remarqué que les servantes
de curés s'appellent presque toutes Véronique.

Le 24, saint Timothée. — Ce jour-là les lecteurs, du Petit Jour-
nal se cotiseront pour illuminer somptueusement la façade ven-
trale de Timothée ïrimm.

Prédictions.

Plusieurs faits très-intéressants signaleront ce mois de mars,

Un notaire sabtil, très-amateur de poisson, mais ignorant l'art
de la pêche à la ligne, ira jouer de la clarinette sur le bord de la
rivière. L'effet sera foudroyant : — Après avoir soufflé quaranle-
ciiiq fois de suite dans son instrument l'air de la Grâce de Dw,
le notaire verra les goujons mourir au milieu d'atroces douleurs,
et il en récoltera ainsi des quantités considérables.

Enfin, la récolte des pommes de terre ne .sera plus jamais me-
nacée : un grand agriculteur' de la Côte-d'Or découvrira qu'en
vaccinant la pomme de terre, on met ce précieux tubercule à l'a-
bri de toute maladie. Pour s'assurer de l'efficacité de ce moveQj
on tentera plusieurs expériences curieuses en vaccinant le nez de
quelques personnages connus.

Un fabricant de serinettes fera ses visites comme candidat à un
des fauteuils vacants à l'Académie. Il aura des chances.

Dans les premiers jours de la semaine sainte, une grande pan>
que se répandra sur tous ceux qui mangent de la morue : un mau-
vais plaisant fera courir le bruit que cet aliment est fabriqué avec
des vieilles flanelles retirées du service des hôpitaux. Aussitôt an
chirurgien fera l'autopsie d'un morceau de morue; et il sera clai-
rement démontré que la morue n'est pas^du tout une combinaison
de vieilles flapelles, mais un mélange hygiénique de gélatine et de
fonds de culotte de gendarme à cheval.

A. HlMBERT.

FANTAISIE

Il est une chose que je commence
igaçante.

trouver ternw

C'est le procédé adopté depuis quelque temps par
journaux pour la fabrication des nouvelles du monde (f • )
Gela devient d'un enfantin I... ^ uy[ej

Sous la rubrique : Echos de Paris, ou : Ce qui se jhw«,ces

vos petits neveux

.Si"1', #"' î, sie°r
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besoin- A

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j aristocratique

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.d'm Srinuient extraordinaire.
n TendD, di:-oo, les diamants de s;

i rentes à,., m danseuse de l'O
-damerlsV... réduite à la misère

>û»e,Blle-« débuter sous pe

« Hier, au café,M sur le boulev
n Monsieur L... K„. G., et B...

■ de cette scène à laquelle ont ]
» membres do club de "'. Quelqm
nette querellé ; on parle de M
» da théâtre de "" mais, nous en

Je m'arrête, croyant avoir suffisa
tenir à volonté, en chambre et à'
privée destinés à intriguer tout
personne.

H est juste d'ajouter que ce m
• énorme développement à la
looinabsis eut lant mécanisée.

™t S* a elle que MM. les r
»»liennemeut nous raconter à
Wons, ces historiettes picra
d»»»coindelewfe„PI

"!»"*«, cette faSen j

*^«,pr0lui,spara

AVENTURES D

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