Universitätsbibliothek HeidelbergUniversitätsbibliothek Heidelberg
Metadaten

L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 2.1869

DOI Seite / Zitierlink: 
https://doi.org/10.11588/diglit.3703#0092

DWork-Logo
Überblick
loading ...
Faksimile
0.5
1 cm
facsimile
Vollansicht
OCR-Volltext
X

Comme il se relevait, il eut la sensation de quelque chose qu'il
entendait, mais qu'il n'était pas sur d'entendre. Cela ressemblait
à une voix, à une'haleine, à de l'ombre. C'était plutôt humain
que bestial, et plutôt sépulcral que vivant. C'était du bruit, mais
du rêve.

Il regarda et ne vit rien.

La large solitude nue et livide était devant lui.

Il écouta; Ce qu'il avait cru entendre s'était dissipé. Peut-être
a'avait-ilrien entendu. Il écouta encore. Tout faisait silence.

Il y avait de l'illusion dans toute cette brume. Il se remit en
marche.

En-marche au hasard, n'ayant plus désormais ce pas pour îe
$uider.

Il s'éloignait à peine qae le bruit recommença. Cette fois il ne
oouvait douter. C'était un gémissement, presque un sanglot.

Il se retourna. Il promena ses yeux dans l'espace nodurne. Il
Qe vit rien.

Le bruit s'éleva de nouveau.

Si les limbes peuvent crier, c'est ainsi qu'elles crient.

Rien de pénétrant, de poignant et de faible comme cette voix.
Car c'était une voix. Cela venait d'une âme. Il y avaiîrde la-piaK
pitation dans ce murmure. Pourtant cela semblait presque incon-
scient. C'était quelque chose comme" uns souffrance quî appelle!*
mais sans savoir qu'elle est une souffrance et qu'elle fait un appel.
Ce cri, premier souffle peut-être, peut-être dernier soupir, était à
égale distance du râlequi clôt la vie etdu vagissementqui l'ouvre.
&ela respirait, cela étouffait, cela pleurait. Sombre supplication
dans l'invisible.

L'enfant fixa son attention partout, loin, près, au fond, en haut,
en bas. Il n'y avait personne. Il ri'y avait rien.

Il prêta l'oreille. La voix se" fit entendre encore. Il la perçut
distinctement. Cette voix avait via i>eu du bêlement d'un agneau-

Alors il eut peur et songea à fuir.

La gémissement reprit. C'était- la quatrième fois. II était étran-
gement misérable et plaintif. Où sentait qu'aprfis ce suprême
effort, plutôt machinal que voulu/ ce cri allait probablement
s'éteindre. C'était une réclamation expirante instinctivement faite
à la quantité de secours qui est en suspens dans l'étendue; c'était
on ne sait quel bégaiement d'agonie adressé à une Providence
oossible. L'enfant s'avança du côté d'où venait la voix.

Il ne voyait toujours rien.

Il avança encore, épiant.

La plainte continuait. D'inarticulée et confuse qu'elle était, elle
était devenue claire et presque vi-branfce. L'enfant était tout près
3e la voix. Mais où était-elle?

Il était près d'une plainte. Le tremblement d'une plainte dans
l'espace passait à côté de lui. Un gémissement humain flottant
dans l'invisible, voilà ce qu'il venait de rencontrer. Telle était du
moins son impression, trouble comme le profond brouillard où il
Était perdu.

Comme il hésitait entre un instinct qui le poussait à fuir et un
instinct qui lui disait de rester, il aperçut dans la neige, à ses
pieds, à quelques pas devant lui, une sorte d'ondulation de la di-
mension d'un corps humain, une petite éminence basse, longue
H étroite, pareille au renflement d'une fosse, une ressemblance
de sépulture dans un cimetière qui serait blanc.

En même temps, la voix cria.

C'est delà-dessous qu'elle sortait.

L'enfant se baissa, s'accroupit devant l'ondulation et de ses
deux mains en commença le déblaiement.

Il vit se modeler, sous la neige qu'il écartait, une forme, et tout
à coup, sous ses mains, dans le creux qu'il avait fait apparut une
face pâle.

Ce n'était point cette face qui criait, Elle avait les yeux fermés
et la bouche ouverte, mais pleine de neigé..

Elfe était immobile. Elle ne bougea pas sous la main de l'en-
fant. L'enfant, qui avait l'onglée aux doigts, tressaillit en tou-
chant le froid de ce visage. C'était la tête d'une femme. Les che-
veux épars étaient mêlés a la neige. Cette femme était morte.

L'enfant se remit à écarter la neige. Le cou de la morte se dé-
gagea, puis le haut du torse, dont on voyait la chair sous des hail-
lons.

Soudainement il sentit sous son tâtonnement un mouvement
faibie. C'était quelque chose de petit qui était enseveli et qui re-
muait. L'enfant ôta vivement la neige et découvrit un misérable
corps d'avorton, chétif, blême de froid, encore vivant, nu sur le
sein nu de la morte.

C'était une petite fille.

Elle était emmaillottée, mais de pas assez de guenille», et, en $e
débattant, elle était sortie de ses loques. Sous elle ses pauvres
membres maigres, et son haleine au-dessus d'elle, avaient un peu
fait fondre la neige. Une nourrice lui eût donné cinq bVsix mois,
mais elle avait un an peut-être, car la croissance dans la misère
subit de navrantes réductions qui vont parfois jusqu'au rachitisme.
Quand son visage fut à l'air, elle poussa un cri, continuation de
îon sanglot de détresse. Pour que la mère n'eût pas entendu ce
ïanglot, il fallait qu'elle fût bien profondément morte. ; -

L'enfant prit la petite dans ses bras.

La mère roidie était sinistre. Une irradiation .spectrale sortait
de cette figure. La bouche béante et sans souffle semblait com-
mencer dans la langue indistincte de l'ombre la réponse aux ques-
tions faites aux morts dans l'invisible. La réverbération blafarde
des plaines glacées était sur ce visage. On voyait Je front, jeune
bous les cheveux bruns, le froncement presque indigné des sour-
cils, les narines serrées, les paupières closes, les ëi 1s collés par le
givre, et, du coin des yeux au coin des lèvres, le pli profond des
pleurs. La neige éclairait la morte. L'hiver et le tombeau ne se
nuisent pas. Le cadavre est le glaçon de l'homme. La nudité des
seins était pathétique. Us avaient servi ; ils avaient la sublime flé-
trissure de la vie donnée par l'être à qui la vie masque, et la ma-
esté maternelle y remplaçait la pureté virginale. A la pointe d'une
des mamelles il y avait une. perle blanche, C'était une goutte de
lait, gelée.

< Disons-le tout de euite, dans ces plaines où le - garçon perdu
passait à son toar, une-mendiante allaitant son nourrisson et
cherchant elle aussi un gîte, s'était, et il y avait peu d'heures,
égarée, Tran«ev:elie étftiî ipmhéa sous la teftipêle, et p'avaU ou sa

VE&uras

a&aa usià SaJWMi

t relever. L'avalanche l'avait couverte. Elle avait, le plus qu'elle
- avait pu, serré sa fille contre elle, et elle avait expiré.
i La petite fille avait essayé de téter ce marbre.
| Sombre Confiance voulue par la nature, car il semble que le der-
nier allaitement soit possible à une mère, môme après le dernier
j soupir.

! Mais la bouche de l'enfant n'avait pu trouver le sein, où la
1 goutte de lait, volée par la mort, s'était glacée, et, sous la neige,
le nourrisson, plus accoutumé au berceau qu'à la tombe, avait
crié.
Le petit abandonné avait entendu la petite agonisante.
Il l'avait déterrée.
Il l'avait prise dans ses bras.

Quand la petite se sentit dans des Taras, elle cessa de erier. Les
deux visages des deux enfants se touchèrent, et les lèvres vio-
lettes du nourrisson se rapprochèrent de la joue du garçon comme
d'une mamelle.

La petite fille était presque au moment où le sang coagulé va
arrêter le cœur. Sa mère lui avait déjà donné quelque chose delà
mort ; le cadavre se-communique, e'est un refroidissement qui se
gagne. La petite avait les pisds, les mains, les bras, les genoux,
comme paralysés par la glace, Le garçon sentit ce froid terrible.
Il avait sur lui un vêtement sec et chaud, sa vareuse. Il posa le
nourrisson" sur la poitrine de la morte, ôta sa vareuse, en enveloppa
la petite fille, ressaisit l'enfant, et, presque nu maintenant sous
les bouffées de neige que soufflait la bise, emportant la petite
dans ses bras-, il se remit en route.

La petite ayant réussi à retrouver la joué du garçon, y appuya
sa bouche, et, réchauffée, s'endormit. Premier baiser de ces deux
âmes dans les ténèbres,

La mère demeura gisante, le dos sur la neige* la face vers la
nuit. Mais au moment où le petit garçon se dépouilla pour vêtir
la petite fille, peut-être, du fond de-l'infini où elle était,"la mère
le vit-elle.

Victor Hu&o.

IMMORTELS ANCIENS ET NOUVEAUX

Six immortels étant morts, depuis deux ans, l'Académie re-
bouche ses trous.

C'est jeudi dernier, 8 avril, que M. Joseph Autran a prononcé
son discours de réception à l'Académie.

Je ne sais quelle figure a fait le nouvel immortel en se trou-
vant pour la première fois au milieu de ses nouveaux collègues,
mais le souvenir du quatrain suivant, écrit par lui au mois de
novembre 1S57, a dû terriblement le gêner :

Hélas ! la vigueur des ancie/13
Parmi nous désormais sommeille,
Peu de nos académiciens '
Sont de la force de Corneille I

Voilà une épigramme jetée eh l'air et qui lui retombe sur le nez,
aujourd'hui.

l écrit, sur l'usage qu'ont les gens du monde de s'aller voir à certa'
époques de convention, ces vers charmants : M

Il n'est pas de piéton qui, trottant sous la pluie',
No s'acquitte, en jurant, d'un devoir qui l'ennuie
Et tous ces visiteurs seraient au désespoir
De rencontrer chez eux les amis qu'ils vont voir.

Le trente-deuxième fauteuil, laissé vacant par la mort de Ù ' V
pis, eut pour titulaires : - Racao. - 1670, Cureau de la Charns?'
— •1693, La Bruyère, — 1696, l'abbé Fieury, — 1723 J Ada
1726, Séguy, — 1761, de Rohan Gueménée, - 1803 Dp^!*'^
1803, Parny. - 1815, de Jouy. ' "^ g

La Bruyère ne fut admis qu'avec les plus grandes difficultés R
nomination donna lien à i'épigramme suivante : ' *

Quand La Bruyère sa présente
Pourquoi faut-il crier : Haro?
Pour faire un nombre de quarante
Ne fallait-il pas nu zéro?

Davaine fut nommé grâce aux excellents dîners qu'il fa-...
Aussi, mit-on ces.paroles.dana.la bouche i'^solliciteur oui <u
\ mandait sa place; ,-.^s ,_

Je suis accablé par les ans,
La vieillesse a glacé ma veine,
Mais donc faut-il tant de talents
Pour remplacer M. Devaine?

Berryer occupaitîe trente-neuvième fauteuil après i — Desa»,
rets. — 1676, J. de Êîesmes, — Ï688, Mauroy, — 1706, l'abbé d-
Louvois, — 1719, Massillon, — 1743, duc de Nivernais,' - 1799
Legouvé, — lSli, Duval-Pineu, — 1842, Balianche.

Pas de quatrains aux dossiers de feu ces immortels.

Le dernier fauteuil vacant, le trente-septième (et non le trente si
unième comme l'ont annoncé les journaux) eut pour titulaires ■
Chapelain1, — 167$, Benserade, — 169! 1/ Pavillon, - 1705, Sil.
Jery, — 1715, duc de La Forée, -^ 1726, Mirabeau,— 1761,'Wa.
telet, — 1786, Sedaine, — 1795, CoiUn d'Harville,— 1806, Daru.
— 1829, Lamartine.

Quoiqu'il n'écrivît, paa mieux en; vers qu'en prose, ce dont ï
convenait volontiers, Sedaine fut admis à l'Académie, Un jour
comme il venait d'qntendre le discours de réception,. plus qui
médiocre, d'un nouveau collègue, il Se jeta au cou du récipien-
daire en s'écriant :

Aht monsieur, depuis vingt ans que j'écris du galimatiag, j
n'ai encore rien dit de pareil l

Sedaine devint ensuite secrétaire do l'Académie d'architecture,
Le lendemain, ce sixain courait tout Paris :

Amis, Apollon flous menace
De faire aplanir le Parnass;
Dès demain il doit le saper,
Et si plat il saura le rendre-
Que Sedaine y pourra grimper
Et qu'il nous y faudra descendre.

M. Joseph Autran» nommé en remplacement de M. Flourens,
occupe le fauteuil n° 1, successivement occupé par : P. Bardïn,
— 1637, Nicolas Bourbon. — 1644, Salomon. — 1670, Ph. Qui-
naulc. — 1689, F, de Caîllères. — 1717, cardinal de Fleury. —
1743, cardinal de Lhuynes. — 1788', J. de Florian. — 1798, Cal-
haiva. —1813, Michaud, — 1840, Flourens.

Lors de la nomination de Florian, Rivarol composa ces Vers sur
le nouvel académicien :

Ecrivain actif, guerrier sage,
Il combat.peu, beaucoup écrit;
Il à la croix pour so:i esprit,
Et le fauteuil pour son eourage.

AlamortdeDucis, en 1813, Mic>.T.ud,quirt'était pas encore nommé
en remplacement de Calbaiva,s'était mis sur les rangs,concurrem-
ment avec Campenon, qui lui décocha ce distique : -

AU fauteuil de Ducis on veut porter Michaud:
Ma foi! pour l'y placer, faut un ami chaud.

Miehaud répondit aussitôt:

Au fauteuil de Ducis aspire Campenon,
A-t-il assez d'esprit pour qu'on l'y campe?.....

Tout le monde trouva la rime.

Qn croit que la réception de M. Claude Bernard aura lieu le
jeudi 29 de ce mois.

M. Claude Bernard a été nommé au huitième fauteuil, dont
voici les préc'édents titulaires: Farer, — 1646, du Ryer, —
1658, cardinal d'Estrées; — 1715, maréchal d'Estrées, — 1738,
de la Tréïttouille, — 1741, cardinal de Rohan Soubise, — 1757, de
Montazet, — 1803, comte :'e Boufflers,— 1815. Baour-Lormïan —
et, en dernier lieu,Ponsard.

L'élection de Baour-Lormian donna lieu à cette épigramme i

Rien n'est si lent, si lourd
Que monsieur Lormian-Balourd.
Rien n'est si lourd, si lent
Que monsieur Balourd-Lormian.

Après la réception de M. Claude Bernard, il sera procédé à
l'élection des successeurs de MM. Viennet, Empis, Berryer et
de Lamartine.

Le fauteuil de M. Viennet, — le vingt-quatrième, a été occupé
par : Saïnt-Amand ; — 1661, l'abbé Cassagner, — 1710, A. de
Mesme, 1723, Alary,—1771, Gaillard, — 1803, comte de Ségur,—
I 1830, Viennet.

Ce fut à contre-cœur que Viennet fit, eu 1830, les visites obliga-
J toires à tout candidat à l'Académie: il détestait les visita?, et il «

Jules Pilpjl.

UN JOLI MERLE....

, /Mesdames et messieurs (surtout mesdames), bref, heureux <(
ce mondé — littéraire, politique, industriel et financier, — j<
vous prie de vouloir bien m'accorder trois minutes d'attention. J'ai
là, ci-dessous, un petit récit qu'ij me serait très-agréablequevour
me fissiez l'honneur de lire.

Mon but, en vous, attirant dans cette embûche imprimée, est d(
vous soutirer une obole de compassion; le denier de lapitiél
Dieu soit remercié I ce n'est point pour moi que je tends la boôïst
rouge à glands d'or^ Je quête, en ce moment, au bénéfiea d'un
oiseau très-malheureux, le polonais des oiseaux!

C'est pour un merle ! Ah ! le joli merle !..

Mon protégé mérite tout-à-tait que, l'on s'intéresse i lui. Lt
tristesse de sa destinée vous frappera certainement. Oui, meidi.
mes et messieurs (surtout mesdames), à cette heure où le Prii«
temps, bénissant les amoureux épars sous la verdure exquise de!
bois, murmure avec onction:» Allez... et péchez encore I » Il
sort du merle infortuné de quijo parle vous apparaîtra dans toute
sa sombre horreur. Vous ne pourrez refuser le petit sou de l'ai,
tendrissement à sa misère.

Pour mà'jiart, j'ai Versé trois larmes chaudes dovantee m«W
désespéré. Je n'avais plus que ça sur moi. Car, dois-je l'awmri 11
veille, j'avais répandu toute une provision de pleurs, amassés fleii'
dant l'hiver (avec bien dé ' la' peine, du reste !) aux pied, d'à"
très-jeune personne, sans âme, mais qui gante du six es caattlit
du trente*quatre. [Circonstances tou1yà-faitdtièriuanUs),{'......'-'

Cette confidence faite, permettez-moi( messieurs .et ,m!»d»r«<l;
(surtout mesdames), de vous raconter — avec la rapidité vertwjw
neuse d'un train express — l'histoire du merle malhouroul »
faveur de qui j'ai pris la parole. ;

Il se nomme Bonçd, feti demeure rue Linnée. (Pfiris, aff.)

Sa patrie? Inconnue. Il fut trouvé, à peine couvert de dulty
dans une touffe de buis, au Jardin des Plantes. Un jardinier mo-
rose le. recueillit; et ne voulant pas charger sa consçiencolw
meurtre, donna l'oiseau à l'un de ses amis, avec prière do »
tordre le col.' ■ .- . .'j,'"

L'ami, M. Chaffouse, alsacien de son état,, et cordonnior, ,
naissance, réduit par les orages politiques à se faire conciergM
n?, ... de, la rue, Linnée, adopta le pauvret au bec jaune,
avec des soins de mère, et rompit toutes relations a™;'° ,e /
jardinier qui, tous les jours, venait s'informer avec .sollicita ... ^
le merle était enfin étranglé. , ,, R\wi*

M. Chafibuse, cœur excellent, incompris, surtout par les
< taires au cincjuièmu, fit don à son merle,' lorsque celui-ci tu
! âge d'agir oar lqi-méine, d'une cage étroite, réJuclion W^

■■''.:lU<~i

^^'^ d»S.E-

My , -.lieu

■:>

-<

**•*

■' ,*!«*' ,«tl

«Willfflr** :»,,meéinî



„«iieda.!(lliespi

>::*'™cm

" ' „.,-aatlimlWi»Part,è

IBàatp*. ï« '»«;a,re
l«li1BM«.-,fP*mUa°s qu'
iîijiiaetmta.

t,?. lis iRJain do trltee, r

ïïSMAipïnMpM1'1;^1-'"'

L'Éœ; li Tanin*?, It-tW rotgniû
lifeleschîiissiis, les Dois, le'foye
nsSirts'DtiiiillB a tout «teint,
. aojtÏBtîle, alloi |i— nBsaitfll'JS, a
fklfflete,

liiifelssnnnçinUîs flacons
isM«rilgL;îrsenaUeïa.caye en
ïjtit despletDDB qu'on secoue, et de
(-AÇ'eilDstàtailciiarmant. Il n
s$y|iWei.roiiventpii da '.i
rçptolM,(Motse:>i4. i
, tiiHn'l

^«Wedehco
tstlniileœjlitd'aojoisie.La nuit,;
i^sMiataidathoiiiilte, jlauji
SmttlriEl

ià-ji tort, messieurs et mesda
liiMKfe d'accorder un soupir
■!wrtlts%e,,en vérité!
'««Uitlt'iVoiseatis, „ui i
fcoliH,,iiillllguili

*Hi»)hiii r--------k

'«toi», wttr
iïBt*« blancs v

S

'ps, H

B»ltaks,,

"taii,-,

iouotuei

CPhiji

&11** i tou«il«,op'

ils

,Jg8

ll>iicbi,
Bildbeschreibung
Für diese Seite sind hier keine Informationen vorhanden.

Spalte temporär ausblenden
 
Annotationen