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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 2.1869

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https://doi.org/10.11588/diglit.3703#0097

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. j,arres parallèles pour vous fortifier les reins, rien ne vous

êche de vous les casser en montant exécuter sur le grand ira-

Tze une voltige qu'il ne vous a pas du tout.....commandée, au

contraire. ¥

* *
Les 43 élèves qui se sont fait des bleus — sans doule en se li-
vrante quelques gaillardises non prescrites par leur professeur

_ ne prouvent donc rien du tout.

Sur 40,000 jeunes gens, qui font de la gymnastique depuis
qu'elle est obligatoire dans leurs pensions, 43 se blessent, c'est
un malheur sans dente.

Mais, sans le gymnase, un cinquième peut-être de ces 40,000
enfants, rongés par lo rachitisme et l'anémio, n'eussent pas at-
teint leur trente ans. ,

Qne l'on fasse le compte et l'on verra'de quel côté est la perte
ou le bénéfice.

Léon Bienvenu.

GAZETTE A LÀ MAIN

Voilà une semaine qui déborde d'événements, ainsi que dé-
borde de mousse un bock dans lequel le garçon a versé la b'ère
de haut I...

OUI les événements — et les bocks !...

Regardez ces derniers : ils sont pleins au-delà. Leur panache
lîlarc'bouilionne ie long des parois de cristal et menace d'envahir
le Z:nc des guéridons...

Vous avez soif...

Vous vous imaginez avoir la nier à boire...

Vent et vi.îe!...

L'écume s'évanouit sous les lèvres...

A peine si deux doigts de liqueur blondissent au fond, du verre,

— deux petits doigts, menus et maigrelets, pareils à ceux dont
Léonide va se servir là-bas, de l'autre colé du détroit, pour nous
faire prendre noire revanche de Crécy, d'Azincourt, de Poitiers,

— et de Waterlc:>!...

Les boulevardiers ont inventé un mot pour protester contre ce
trompe-l'œil...
Ils s'écrient, en pmifÛant dessus :
— Trop de fauw-i A. garçon ! Tiop de faux-col!

Voyez 3e grand duel du Siècle et de la Liberté!
Le sire de la Forie rugit :

Castagi-iuy, Ténot, Jourdnn, vite à mon aide!
Ma hachis, mon épée, ma dague de Tolède!

— Sus ! aux papiers, aux plumes, aux écritoires ! rép ond le sei-
gneur de G-iranlin...

Les conditions de celui-ci sont acceptées :

On va sur le papier...

Les écritoires sont chargées...

Les plumes sont mesurées...

Les témoins frappent dans leurs mains...

— Un!... Deux!... Trois I...- — Allez, messieurs!,.. Sacrebleu!
allez donc!,..

Bock et mousse I...
Les écritoires ratent...
On rengaine les plumes...
Et l'on plume les abonnés*.,

— Trop de faux-col!

Permettez, cependant,..

Une chose m'a étonné dans ce combat singulier :

G est que les deux filleuls aient laissé leurs parrains se défier en
leur lieu etplace...

Mon Dieu, oui : tandis que les champions se préparaient à s'es-
crimer, MM, Olivier et Durier

Imitaient de Conrard le silence prudent

Et regardaient le champ assis sur la barrière...

J'ai cité Hugo tout à l'heure.,.
Je cite Boileau à présent...

11 ne faiït pas faire dé jaloux, — pour ne pas se faire d'en-
nemis...
N'est-ce pas, Magnard?

Ne me demandez pas ce que devient l'Étendard,..

■Cejournal fort peu In fait ceci, qu'il est mort.

Hélas ! il n'aura point flotté longtemps, et nos neveux ne mar-
cheront pas à la conquête du monde sous ses lambeaux par la vic-
toire usésL,.

Valeureux soutien de l'Empire,

Vitu l'écrivait avec chic.

V1 tu parti, chacun put dire :

Il est perdu s'il tombe à pic !

.f

On m'assure que M. Harmant n'a invité que des sénateurs à
l'inauguration du nouveau théâtre du Vaudeville...

Pourtant, je n'ai pas vu notre collaborateur Albert Glatigny
prendre, dans un entr'acte, son mêlé-cassis ou sa prune sur le
comptoir du mas troquet d'en face ..

Or, G-latigny est sénateur, — des deuxièmes} c'est vrai, — mais
des premiers, au besoin...

C'est en cette qualité qu'il a siégé — dans Olello — à l'Odéon...

Quoiqu'ils se touchent tous les deux, le second Théâtre Français
mènerait super eur à celui du Luxembourg...

Je doute a'dilleurs que les comédiens de ce dernier supportent
les rigueurs de la vie avec la douce et héroïque philosophie de
Glatigny...

Avez-vous lu le Jour de Van d'an vagabond?

C'e.-t presque aussi terrible que le Dernier jour d'un condamné !

h Eclipse vient de mettre en vente — Paix : un franc — ce ré-
cit plein d'émotions et d'enseigi emems.

Quel brave et excellent garçon que celui qui peut être si vite
consolé d'aussi cruelles mésaventures!

Uu matin qu'il gelait à fendre un brigadie de gendarmerie, je
le rencontrai frétillant dans un paletot de coutil...

— Tu n'as pas froid, lui dis-je.

— Froid? me répondit-il : Allons-donc! Je me suis chauffé
avant-hier.

Glatigny compte, dans la bohème dramatique plus d'un prédé-
cesseur illustre...

Voici tantôt vingt-cinq ans, il y avait à Nancy, au théâtre, deux
frères qui, depuis lors, ont fait leur chemin clans Paris, Henri
jouait les amoureux, René jouait les comiques. Tous deux don-
naient à l'art plus d'espérances que d'argent à leur tailleur et à
leur bottier, si bien qu'autres de leur tenue, Job et Chodruc-Du-
clos,— les Siamois du débraillé,— auraient certainement pu pas-
ser pour des Brummel ou dts d'Orsay, — les Siamois de l'élé-
gance !

Les soirs de pluie, à peine ie spectacle était-il terminé que les
habitués du c.tfé de la Coruéd.e voyaient, non sans un vif étonne-
ment, Henri et René s'attabler en face l'un de l'autre, les cartes
ou les dominos au poing.

Us ne demandaient aucune consommation...

Aucun enjeu ne s'étalait devant eux....

Pourtant, une partie s'engageait, — ardente, fiévreuse, achar-
née, mortelle comme le duel de MM. M... et D....

A l'issue de ce:te lutte aux émouvantes péripéties, le perdant
se levait et s'éloignait en se livrant à la pantomime d'une douleur
qui allait jusqu'au désespoir, d'un dépit qui allait jusqu'à la
rage.

Le gagnant, au contraire, se retirait joyeux et majestueux,
rayonnant et paradant...

La galerie était intriguée au suprême : Que diable celui-ci pou-
vait-il bien gagner? Que diable celui-là pouvait-il bien perdre ?

Voici :

A eux deux, nos jeunes gens ne possédaient qu'une paire de
pantoufles et une paire de souliers.

Encore, la semelle de i'un de ces derniers buvait-elle la pous-
sière et la boue par une lucarne grande comme un écu de six livres!

En cas de mauvais temps, ce soulier devenait tout bonnement
impofs;b!e.

L'était lui que jouaient nos artistes.

Ils le jouaient à qui perd gagne, bien entendu.

Et, le plus souvent, celui à qui il incombait, se trouvait obligé
de s'en revenir à cloche-pied jusqu'à son logement, de peur de
sombrer dans un rhume par le fait de cette voie d'eau considé-
rable.

Or, il advint qu'un jour Henri eut à créer le rôle du marquis
de Rissy dans Gloiilde, de Frédéric Soulié.

Comment, je vous le demande, représenter un fashionaUe, ainsi
que l'on disait alors, — avec une chaussure aussi gravement lé-
zardée?

A cette époque existait à Nancy une femme très-fréquentée des
viveurs, des artistes et de la garnison.

Cette femme, très-brune de teint et de cheveux, était connue
par toute la ville sous le sobriquet de la Dameâepique.

Henri s'en fut trouver ia Damc-de-pique. Après lui avoir exposé
son embarras :

— Lhère Pallas, lui dit-ilj j'ai besoin de cent sous pour îaire
radouber mon soulier.'..

Mais Pallasn'était point prêteuse.... Elle se mit à rire au nez
du solliciteur et le campa incontinent à la porte.

— Morbleul maugréa le jeune homme, rira bien qui rira le
dernier!...

Et, ie soir, avant que de monter s'habiller dans sa iog^, il se
rendit au café du théâtre où il emprunta un jeu de cartes.

Clotilde commença. •

Suivant ses habitudes, la Dame dépique trônait au balcon dans
une flamboyante toilette.

Arrive la scène du marquis de Bissy.

Henri entre cavalièrement, prend un fauteuil, le planta devant
le trou du souffleur, s'assied avec nonchalance et se met à débiter
son rôle, les jambes croisées l'une sur l'autre, de façon qi^e la te-
mel'e de son soulier troué soit bien en évidence.

Soudain, un frémissement court parmi l'orchestre...

Dn l'orchestre, ce frémissement m communique au parterre...

Du parterre, il gagne les lo'frés...

Et, des logos, en un instant, il grimpe jusqu'aux galeries, jus-
qu'au paradis, jusqu'au cintre !

Toutes les lorgnettes, tous les yeux sont braqués sur la chaus-
sure de l'artiste.

A la place où béait le trou, une carte a été collée!

— La dame de pique! murmure l'orchestre.

— La dame de pique! répètent les loges.

— La dame de piquet gronde le parterre.

— La dame dépique ! piaule le paradis.

Et toute la salie de se retourner vers le balcon :

—La dame de pique ! la dame de pique ! ! la damt de pique ! ! !

Celle-ci fut obligée de sortir au milieu des rires e t des Jouées.

I.e petit Faust ans. Folies-Dramatiques.

L'œuvre coiossaîe de Goethe, la magistrale partition de Gou"-od
n'ont point épouvanté MM. Hector Grémieux, Adolphe Jaime et
Fjoriraond Hervé. Gavroche ne craignait pas de se loger dans
l'éléphant de la Bastille ..

J'applaudis sans restriction le Petit Faust. J'en applsudis surtout
]a musique. Lie est vive, élégante, originale, ailée d'un bout à
l'autre. On y rencontre, même, — avec stupéfaction, — au mdieu
de quelques réminiscences dont on a su tirer le plus heureux
parti, parmi des pacotilles fort gaies et de flamboyantes verrote-
ries, une perle, une vraie perle, p écluse, rare, inestimable, que
les maîtres les plus sérieux ne dédaigneraient pas d'enchâsser
dins leurécrin : Jo veux parler des Quatre saisons de l'amour.

Désormais, M. Hervé aura beau publier dos articles sur le trom-
bone et jouer ses pièces lui-même...

Nous ne consentirons plus à le prendre pour le grotesque que
vous savez,..

C'est un faux pitre...

Il a rivé lui-même la chaîne qui l'attache à la Poésie...

Cette chaîne a une perle pour boulet I

La pièce est montée et interprétée d'une façon charmante. Les
décors, les costumes, la mise en scèae sont dignes de l'Opéra.
Quel splendide Boquilloa queMilher, avec son chapska à créneaux!
Qui d;able a dessiné cet uniforme? Ombre de Poniatowski, par-
donne-lui!...

Mademoiselle Van Gheî a eu les honneurs de la soirée. Quelle
jolie voix! quelles jolies jambes! Oa viendra un peu pour la voix.
On viendra beaucoup pour les jambes.

Ne séparons point dans l'éloge Blanche d'Antigny et Amélie
Latour. Elles ont un buste parfait, des épaules accomplies, un
cou, ohl mats, là, un cou !.,.

Le reste ne vaut pas le cou.

J'ai assez loué M. Hervé comme musicien pour avoir le droit
de le plaindre comme comédien...

i Auteur, acteur, oui, je comprends

Que ce double succès le tente;
Mais, entre nous, il est grand temps
Qu'il ae retire sous sa tente.

Petote correspondance.

Un quidam m'écrit pour me demander si, au Heu d'écrire
Saint-Koch et son chien, il ne sersit pas plus logique d'écrire :
Cinq roquets sont chiens.
Renvoyé à Hamburger.

Une comédienne, — pleine d'adorables caprices, — faisait
crayonner son portrait par un jeune rapin qui a plus de biceps
que de propreté...

La jeune femme posait de près...

A un moment, le crayon glisse...

— Diable! s'écrie l'artiste, voilà une bavure!... Avec cela, j'ai
oublié ma gomme !..,

— Voulez-vous aue j'en envoie chercher?

— Non pas; j'effacerai la chose avec une croûte de pain, —uu
peu de beurre...

— Je vais sonner pour en demander.

— Ne vous dérangez pasl... J'ai ce qu'il faut sur moi...

Et le jeune homme introduit délicatement l'ongle de son petit
doigt dans son oreille ..

rac^nTlfcta'e.'^'*6 "* m°ntrai' " me de SeS amieS en lai
— Ça ne t'a pas dégoûtée ? interrose l'autre.

aimble't'SrZïV',i»P„a,S| Pn!<;is°''1>ent...,Situ savais!... Quel homme
anudoie . quel talent ! quel maître...

luiT"" D.'hôte11- ParbIe«! il est complet; il porte sa sauce avec

Emile Blondet

EXPLICATION DU RÉBUS PUBLIÉ DANS LE N° 65 DE VI

Le breton Glais-Bizoin, brave
et petit, met l'entrave aux con-
seils d'Emile Ollivier.

Guerre où. se grise Belmontet
du cours où est Darïmon!

Aimé, gros, fleuri, Picard va
l'aider.

Allez le ioindre, Favre, cheva-
lier faillefer!

Le remords ainsi bu et bu fait
bouder Ollivier marri.

Lebreton—Glais-Bizoin —Bra-
vay—Petit— Meslin — Travot—
Conseil —Emile Ollivier

Gu£rflult-Segrïs - Belmon-
tet—Descours-West—Dahmon.

Aymé — Gros — Fleurv — Pi-
card - Vast — Lerlier.

Hallez -- Lejoindre — Favre
— Chevalier — Taillefer.

Leret— Morin - Sibuet-Buf-
let -Boudet— Ollivier — Marie-

Lebreut- onglée - Biz - oint bras -7 - petit mai - lents tra-
vaux-conseil des mille-au Ht vi est. - Gai roux se crise-le le
mon thé - D court - on aide A - Rimons. - E mai eros fleuri
Picard valet d'E. - Hàlez lejo - Indre - Fa - vre cheval vesUafl e fe7
- L heureux mort — ainsi — bu et bu fuit bouder baut'liv— i _ fi=V
mari. KbL

Ont deviné le rébus: M. Schmitter, â Alger, — Pontallier, à Paris,
- XYZ, à Versailles. — Le cercle de D..., à B...

^'âettît «5e paraître :

Le Frontispice et la table des dessins de l'Eclipsé pour l'année
1868. Pour les recevoir franco, adresser 50 centimes en timbres-
poste au Directeur du journal.

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BUREAUX
m 1 ?» PlaGQ °^e ia Bourse, 7.

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Il 7, place de la Boaraa, 7,

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&nmJ!taiS MmP'ei dSS ionraau!I ta™to5> 1" e«Me mdisptmsaMe des actionnaires et des obligataires, pnblie chaque dimanche nne Revne de lai]
Blo. À V° C™rs d6 lmtes les valems françaises et étrangères et du change, la liste officielle de tons las tirages, les recettes dos chemins de fer, 6^
ibllmlM f • reCeV°ir' 'eS app6ls "6 toMs' les oom'°°a,i°hs an* assemblées générales et les çompLes-rendos de ces assemblées, le ■

lies ","eM™1;lalre et mmrael ie *>>»<» i™ Compagnies financières et indnstrielles, desarticles raisonnes et des renseignements pnisés ans soaroes ; i
fem.m *T"'T" ST" lm' ait,la,i011' o" anicla 4e jnrisprndence spéciale, par un de nos premiers avocats, des conseils sur les meilleurs rlace-: '

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Lh°llalJTe ,"" T7""] * '"■ 4° ™ «M^-Post» »<■ » an mandat à l'ordre de H, de FONTBODILI.ART, chevalier de
|d honneur, drreçteur-gérant du journal, 7, place de la Bourse, à Paris.

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Bpostèj à la Direction de la Sûreté Financière, 11, rue dn Cardinal-j
|Fesch.

Directeur : H. PAUL KLOTZ.

Le Gérant: L. MAUGER.

MUS.— THffJUKEJUEVALLÉE, 16, RUE lia CROISSANT,

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