Universitätsbibliothek HeidelbergUniversitätsbibliothek Heidelberg
Metadaten

L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 2.1869

DOI Seite / Zitierlink: 
https://doi.org/10.11588/diglit.3703#0109

DWork-Logo
Überblick
loading ...
Faksimile
0.5
1 cm
facsimile
Vollansicht
OCR-Volltext
Passé J, !el-0h '«C*

:•«* tare/ >■*.*? 1*1,
SCÈNE m.

»is<I»elle„, 9riPP*_p,
11 'massacre! - nn ''

& BtïLIPSS

ih ' — Il y a d

l»W

^»*s%^

mm» elle. Ton, i., ■ -i8«3i
estPa»M'fetae,C9t, ^

>n ; mais voilà ton pr;ntM

1 massacre! massim i.,.^^
Ht... Pauvre AmarilUl

Eiltcst D'Hamii,

BOUTADES

lernier, nous avons n !m« lac
onnaie qui n'ont plus cours,
nner une en paiement, c'est s'optait
de sa pièce.

8

is;

ne actrice des plus jeunes

nie de collectionner les phoiûgRf&è

n est tapissée du haut en bas.

i avec la carte du préfet de la SÉi

in I s'écrie Delannoy.

rad la nràenlint, c'est pnrjn*

S
J, qui as ports candidat dus le *6»

sa tournée électorale à cheval.

ia candidature mardis p»«*

e directeur <!.< Bouffi. P»i*;;E
personnel. C'est «»«•"*""";:;
ies ont, parait......!»•■»«*

ju'eta étaient *)/«?«*

lan-le^'f^V
,ral,qu'esi-car«"

vint*»*
:ou(fe l1''11

lire qu'il anit»8'

ponts e
s.

; chausses ;

api

nul. ''»

oe pas.

du resta,*(• ■

m*"

de wi«

les

*■*'

, plus ^^^^
beaucooP' Vjj0Sliiii>.

ÉLECTIONS CHORÉGRAPHIQUES

Par ce temps d'élections et de pluie, on s'est occupé des divers
modes de corruption électorale employés par les candidats.

Mille petits trucs au moins aussi nouveaux que ceux de la Biche
au bois ont été découverts. On a su que ceux-ci avaient offert des
pipes aux électeurs et que ceux-là leur avaient envoyé des femmes
en toilette d'été.

J'ignore au juste ce qu'il y a de vrai dans tout ce qui a été dit,
mais selon moi, il existe une élection qui ne saurait être validée
par le public, car elle me semble positivement entachée de cor-
ruption.

Je veux parler ici des jeunes rosières de la rue Bréda qui vien-
nent d'être nommées sujets de la danse aux dernières élections
chorégraphiques de YOpéra.

En effet, les aimables et voluptueux octogénaires qui, une ju-
melle (l'une PPSÎn» *a balance de la justice de l'autre, qnt été ap-
pelés à. juge? les entrechats de ces vertueuses enfants,, n'ont cer-
tainement pas vaté en toute liberté de conscience.

Il faùî bien 1^ dire, au risque do se mettre à dlqs tous les pères
de faaflîlle et tous les vénérables cheveux blancs de l'empire, de
part et d'autre, il y a eu trafic. Des voix ont été vendues,'des
jambes achetées. Les ballotages nombreux et fréquents ont été
presque tpus arrangés en petit comité.
On s'est fait de mutuelles concessions,
o Passez-moi la rhubarbe, voici le séné. »
Il serait trop long d'entrer ici dans des détails et d'énumérer
tous les genres de corruption électorale qui ont été employés sur
les personnes de ces malheureux vieillards. On assure seulement
qu'une scène presqu'aussi scandaleuse que celle de Phryné devant
Y Aréopage se serait renouvelée. On prétend aussi que, sans le
moindre souci de la conscience et de la justice, ces malheureux
Minos à breloques et à faux toupets ont perdu complètement la
tète et se sont jetés à celles des candidates, leur offrant non-seu-
lement leurs voix, mais encore des mobiliers en palissandre,

Nous demandons donc que non-seulement cette élection inique
à laquelle présidait M. Pe-rrin soit annulée, mais encore que la
loi stupide qui confie à quelques vieillards privilégiés le droit
de nommer les sujets de l'Académie impériale de musique soit défi-
tivement abrogée.

Il serait absurde que, dans un temps, de suffrage universel
comme celui où nous vivons, le peuple qui est libre d'élire lui-
même ses représentant?, ne le fût pas également de nommer ses
danseuses.

Georges Petit.

Tout n'est pas absolument admirable dans l'Homme qui rit

Et, j'en suis enchanté, ma foi 1

Il n'y a rien d'assommant comme la perfection.

Sans ses taches, le soleil deviendrait un
insupportable... HMaMHHaM^I^I^H

Sans la uernière partie de Faust, Goethe obtiendrait chez nous
le succès de MM. Jules Barbier et Michel Carré...

Et Wagner, sans sa chaudronnerie, atteindrait à une eplendeu
aussi ennuyeuse qu'Offenbach I

i astre complètement

qui se
queue à

LES PROVERBES DÉMASQUÉS

Les proverbes ont fait leur temps.

L'heure est venue de démasquer ces dictons qui ont parcouru
les âges avec un faux-nez et une robe en « tissu de faussetés » et
nous les voulons dépouiller de leurprestige menteur.

Rien d'ailleurs n'est plus facile que de les prendre tous en fla-
grant délit d'imposture ; il ne faut, pour cela, que les confronter
avec la vérité.

Commençons :

la voix du Peuple est la voix de Dieu.

C'est M. Leguevel de La Combe qui fait courir ce bruit-'à.

Si la voix du Peuple est la voix de Dieu, c'est donc M. Clément
Duvernois qui est le bon Dieu?

Qui l'aurait jamais crut

Mais alors, si cela est, il va falloir- transformer le langage.

Dorénavant, les vieux soldatsjureront ; — S.,., n... de Duver-
nois 1 qu'il fait chaud ! tandis que les femmes éplorées murmure-
ront : — Mon Duvernois ! mon Duvernois ! que je suis malheu-
reuse 1 et que les pauvres gémiront :—La charité, mon bon mon-
sieur, pour l'amour de Duvernois I

Tel père tel fils.

Ce dicton, qui se donne des airs d'oracle, est bète, au fond,
comme une clarinette et cela est fort heureux pour les honnêtes
gens.

Si l'on admettait cette maxime qui établit rigoureusement une
parité absolue entre le père et le fils, il n'y aurait exclusivement
sur terre que des chourineurs.

Cela est facile à comprendre.

Prenons Gain, le premier meurtrier, pour abréger la démonstra-
tion.

Si le père et le fils sont exactement semblables, Adam, le père
de Caïn, était un meurtrier.

Or, comme nous sommes tous les fils d'Adam, il en résulterait
fatalement que nous sommes tous des assassins.

Ce qui n'est pas, je me plais à le croire.

Ce proverbe idiot a, d'ailleurs, la maladresse insigne de heurter
de front un autre proverbe qui dit : A père avare, fils prodigue. 11
est évident que deux affirmations aussi diamétralement opposées
ne pouvant avoir toutes les deux raisons.

Jules Pklpel.

GAZETTE A LA MAXN

En France, on est volontiers salamandre. On vaque à ses pe-
tites affaires dans le feu. A Sébastopol, dans la tranchée, sous la
nappe de mitraille dont les couvraient Malakoff et le Mamelon-
vert, nos troupiers se faisaient la barbe avec un éclat de bombe
pour savoni.eue et un pompon russe pour pinceau 1...

Moi, jevii/ns de lire YHomme qui rit, au milieu du brouhaha
électoral, — de la fièvre des ambitions et des rancunes, des espé-
rances et des intérêts, — an milieu des affiches rouges et bleues,
déchS? dU ClUb' deS menaces de la rue et de to Marseillaise

Vous rappelez-voue le cheval violet de la plupart des toiles de
Delacroix, -— ce fameux cheval surnaturel et apocalyp~ique:
cabre et se tord avec des écbevêiements de crinière et '"
faire rêver de l'hippogriffe prêt à s envoler vers la lune .

Couleur absurde-; soit. Dessin inouï : j'en conviens. Mouvement
déraisonnable : autant qu'il vous plaira...

Or, je vous, le demande : en quoi cet animal baroque amoin-
dnt-il lœuvre immortelle du maître du Massacre de Scio, d'Ilamlet,
de la Barque du Dante, du Meurtre de VKvêque de Liège et des Con-
vulsionnaires de Tanger?.-,

Hé I mon Dieu, oui, c'est entendu: il y a dans l'Homme qui rit
toulo uno pleine écurie de chevaux violets à étriller...

Et quand une fois Victor Hjgo en a enfourché un, de cG3 dadas
fantastiques, il vous emporte <jn croupe à travers des espaces
supra-terrestres où l'air voua manqué, où ia fatigue vous étouffe,
où (les oiseaux grotesques el monstrueux vous soufflettent de l'aile
en passant.....

Mais, comme de magnifiques éoiairs zébrant — par intervalles
— ces nuées sombres et pesantes I,,,

Alors, ainsi que dans les mers du Cap, par les nuits d'écume,
de pluie, de vent et de tonnerre, les compagnons de Vasco de
Gama croyaient apercevoir, dans un zigzag de foudre, Adamaslor
debout a la pointu d'un écueil...

Par ces échappées de lumière, nous voyons resplendir, — pen-
chée du roc vers l'humanité, — la figure majestueuse, paternelle et
rayonnante du grand poète et du grand citoyen I...

E* l'ai d li osn iui aiiîa.

La Cour d'assises de la Seine vient défaire cadeau au bourreau
d'un jeune monsieur aussi peu intéressant que possible, — lequel,
en bonne fortune avec un marchand de vin, avait étranglé ce der-
nier.
Joseph Prudhom ne s'est écrié à cotte occasion :
— La guillotine est un épouvantai! salutaire,, J'exige donc qu'on
ia conserve. Mais je demande formellement qu'on supprime la
peine de mort.

Le même Prudhomme est interpellé dans une réunion électo-
rale ;

— Qu'est-ce que vous pensez de la Révolution?

L'ancien élève de Brard etSaint-Omer répond d'une voix grave:

— Par sa coupable condescendance à monter sur l'écbafaud,
Louis XVI a, en quelque sone, autorisé les excès de Quatre-vingt-
treize.

SjïS^'f} arrive cramoisi> 8«ant, soufflant, rendu, au der-
me, mot du dénouement.

Itérait temps, le dernier cigare expirait,
tnno ™ mal' dlt ^^«op'an avec son imperturbable sangfroid ;
rXp TJt"M™ bégayent, c'est une idée originale; mais, à votre
place je ne lerais pas Uégayer l'amoureuse,
ne bébé" pan3cm' rePtend Bou'é désorienté, pépé... personne

-Personne ne bégaye ! riposte Roqueplan. Alors, mon cher,
la pièce ne vaut pas le diable ; il n'y avait que cela d'amusant.

91» peu de musique,

d6ÏneSS0«".'endU M- Al'b6r dir6 le m0t d° Peu de •»«*

larl, l^eTCntens f-°--—i™"** et SpiritUel Viei'-

E sempre bene 1

Deux spt'Clateurs,
gent lo dialogue suivi ^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^

— Hum ! pas riche, l'œuvre nouvelle de Boulanoer '

— «ue_voulez-vous? Opéra médiocrUas I...

I)m OuiiïlnT'?T dBmoisell<s «"val, -qui joue Alonza dans
von Quichotte, est convaincue de très-neaux yeux

dansXÎTboC: an0"Ym6 d'iC6UX " 'anCé ce ^Imino-quatrain

lîavisîante enfant, ton œil étincelle;
D'un rayon divin, d'un charme infernal ;
Tu nous fais à tous perdre la cervelle;
En t'apercevant, nous bouillons, Buval l

en musique.
qui sortent du théâtre Lyrique, — échan-

Cons tâtons
mique. Le;

une excellente reprise de Jaguarita à l'Opér;
uiées ont passé sur la partition d'Halévv. — >

partition d'Halévy,

C'est encore Prudhomme qui, en entendant parler des jumeaux
siamois, s'adresse à son fils :

— Admire, ô mon enfant, le génie do la Providence, qui a fait
naître frères ces deux hommes destinés à vivre ensemble, alors
qu'elle aurait pu les faire naître étrangers et ennemis.

On causait de la candidature de notre amPJules Vallès,..
Quelqu'un demanda :

— Que dit sa profession de foi?

— Oh ! mon Liieu, fit P... M..,, elle dit à peu près ceci :
« Citoyens misérables,

» On m'a refusé ma clef dans mon garni...

» Ça m'embête....

» H faut que j'aille coucher aux Tuileries,»

Nestoriana.

.„ ___f*f**- °«L ia ptttmiuii u naievy, — et sur

son principal interprète,— sans en rien déformer.

Pourtant, si le maillot de Marie Cabel est neuf, ce qu'elle met
dedans n'est pas nouveau...

Son maillot est ouaté, dit-on...

O spectateurs, il faut l'absoudre :

Elle l'a bourré de coton,

J'en conviens, — mais de coton-poudre.

Il est de mode, aujourd'hui d'avoir sa chaise de fer au con-
cert des Champs-Elysées, comme on a sa loge au balcon de l'O-
péra et son fauteuil à l'orchestre de3 Italiens.

Chaque soir, M. Cressonnois 5
mains, et les plus aristocratiquement j;
air et du dilettantisme en plein vent.

Entre deux arrangements de ce maître habile, , ._________•

temps un ravissant compositeur, on babille, on papillonne, on
fait salon...

La Mélodie logée à l'hôtel de Rambouillet.

; y est applaudi par les plus petites
T,,"m""> gantées, du monde du bel

, qui est en même

A la théorie des élèves-caporaux, le capitaine interroge Boquillon:
t- Vous savez, fusilier, que l'arméa ne doit se charger d'aucun

quon envoie à

service occulte..\^^^^^^^^^^^^^^^^^^—

— Oui, mon capitaine.

— Eh bien, qu'est-ce que c'est qu'un service uccu

— Dame, mon capitaine, c'est un détachement
la procession.

Dans l'averse de publications que la crise actuelle a fait crever
sur note tête, il convient de signaler un fort grêlon :

Beaufumé en ïaurnâe. Alsr.tnvhlo c--:- 1
la TolLier,

Beaufumé en tournée électorale, série de dessins et de légende* à
a Tolf.ier, p «r un 'e nos confrère qui, sous le faux nez de Plick
cache l'humour mordante de l'ex-réciacceur du feu Progrès d
géric. —Arnaud Fauré.

ï l'Ai-

*

sans déposer la plume de l'écrivain
- saisit le sceptre directorial du Châ-

M. Nestor Roqueplan, ■
qui nous a donné Parisine.
telet.

Voici le moment — ou jamais — d'exhumer quelques anecdotes...

Elles ne sont pas neuves...

Mais, en revanche, elles sont médiocrement consolantes .. pour
ceux qui ont à lui présenter quelque mauuscrit.

Alors que cet homme d'esprit régnait sur les Variétés, rien
n'était dilûcile comme d'en obtenir une lecture.

Un jour, Théophile Gautier et Siraudin pénétrèrent dans la villa
qu'il habitait à Auteuil, sous prétexte de venir lui demander à
dîner, se saisirent de sa personne, legarottèrent, l'attachèrent pieds
et poings liés à un arbre de son jardin, et une fois maîtres de
leur juge, tirèrent de leur poche un formidable manuscrit.

— Ah ça! demanda le malheureux, combien d'actes avez-vous
donc à me lire?

— Troif.

— Et vous allez m'ob'iger à les écouter ?

— Tous les trois, répliqua Siraudin avec un sang-froid fou-
droyant, et nous nous demanderons bis aux couplets les plus
applaudis.

— En ce cas. je me rends; déliez-moi une inain et donnez-moi
une plume.

Et il écrivit : Accepté.

C'est ainsi que le Voyage en Espagne vit le jour sur la scène de?
Variétés.

Une autre fois, un vaudevilliste nommé Boulé, qui le bégayait
comme Démosthène, s'en vint, un manuscrit sous le bras, solli-
citer une lecture.

— Combien d'actes? demande Roqueplan.

— Un seul.

— Fort bien. J'ai justement le temps de fumer trois cigares;
c'est ma mesure pour unecte Lisez.., mais vous savez, pas une
cigarette de plus.

L'auteur entame sa lecture, que l'indocilité de sa langue ne
laisse pas de ralentir sensiblement. A peine est-il au quart de la
pièce, quand le juge laisse tomber flegmatiquement ces deux
mots :

—1 Premier cigare.

Boulé, passablement ému, poursuit, tout en observant de temps
en temps à la dérobée le havane qui se consume avec une déso-
lante rapidité.

— Deuxième cigare, fait Roqueplan, impassible comme une
sonnerie de pendule.

L'acle n'en était pas à la moitié...

Pour le coup, voila le pauvre Boulé aux abois...

Il essaie de prendre le galop...

Vains efforts! plus il se hâte, moins il avance. Le maudit bé-
gaiement redoublai...

li bredouille, il barbotte, il s'embourbe; bref, talonné par le
temps, il saute un couplet, passe dix répliques, franchit une, deux,

Un cabotin du café de Suède a pour maîtresse une fort jolie petite
grue...

Les petits journalistes rôdent depuis longtemps alentour.

Un soir, l'un d'eux décide la demoiselle à venir chez lui le
lendemain, sous prétexte de débuts aux Folies-Bergère s.

Quelques instants après, le cabotin apprend le fait par un
amoureux évincé.

Que faire?

— Si je lui défends d'y aller, pense-t-il, elle s'empressera de
me désobéir.

Après avoir longtemps réfléchi, il trouve un moyen énergique
et original.

confièreendemail1 "^ comédiea JoUait aux dominos avec notre
A une heure, ce dernier voulut partir.

— Où vas-tu? demanda son partnaire.

— Chez moi !

— Encoreune partie !

~ Non [j'attends quelqu'un à une heure et demie.

— Une lemme?

— Oui ! une femme!

— Elis ne viendra pas I

— Elle m'a promis...

— Jeté dis qu'elle ne viendra pas„

Un pari s'engage, et le journaliste court à son rendez-vous,...

Mais il ne trouve personne.

Le cabotin était sûr de son fait.

Il avait fait prendre à sa maîtresse une purge tellement éner-
gique que (a pauvre fille s'était vue forcée de demeurer à la maison,
— dans le silence du cabinet..

Euile Blosdet.

Voulez-vous goûter les douceurs-d'une horreur pleine d'ensei-
gnements? Achetez dans les Grands drames de la cour d'assises.
publiés par l'éditeur Arthème Fayard, le curieux procès de l'abbé.
Roubionac qui rappelle le marquis de Sade par plus d'un point. —
Ces débats émouvants compteront autant de lectrices que de lec*
teurs.

La Compagnie des chemins de fer de 1 Est organise, comme les
années précédentes, des voyages circulaires en Alsace et dans
les Vosges au prix de 100 fr. en première classe et de 75 fr. en .
deuxième classe. Les billets, valables pendant un mois au départ
de Paris, permettent aux voyageurs d'accomplir commodément
cette attrayante excursion, et de visiter des villes remarquables et
des sites qui ne le cèdent en rien aux paysages les plus admirés.
Bildbeschreibung
Für diese Seite sind hier keine Informationen vorhanden.

Spalte temporär ausblenden
 
Annotationen