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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 2.1869

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https://doi.org/10.11588/diglit.3703#0132
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L'ÊCUPSË

PRIMES BE L'ÉCLIPSÉ

Toute personne qui envsira ilipeetemen* « mandat ou en
timbres-poste au Directeur du journal, 16, rue du Croissant a
Pans, — ie montant d'un abonnement d'un a»> a IteHpSe,
jouira des primes ci-desious énoncées, aux conditions suivîtes .

1" TRIME
Une excellente montre de Genève. (VoiTtaS précédents numéros)

L'abonnement pour Paris, avec cette prime....."ai

Pour les dépai tements.........." * "

2" PRIME

60 charges d'AKDRÉ Gill,

L'Abonnement pour Paris, ayec_cette prime.

l'on: !e; départements.......... 1

iT.i-s.ûn de bien indiquer celle des deux primes quon

C Tous nos abonnés peuvent jouir des primes.ci-dèssus, déduction
faite du prix de l'abonnement déjà payé.

8 SO
10 »

AVsM S,»S*fSIS'ff&K'If. — Slame réabonnement
ose ir/iHi^eui^àË eë'f$els*<?*tf& ifesil êftr& wc°c«smj.-

LE POLE NÛBD

Cette semaine, ouverture de la Session aéronautique de 1S69.

Un ballon monstre doit s'élever dans les airs parisiens, devant
une foule innombrable que ce spectacle, toujours si étonnant et si
émouvant, attirera sans doute aux Champ^-Ëiysées. Eile pourra,
du reste, satisfaire à uii prix très-modeue sa louable curiosité.

Le Pâle Nord, la ballon en question, est le plus grand des aéros-
tats connus. IL laisse derrière lui le Géant. Son enveloppe est
d'une solidité à tnute épreuve.

Le Pèle Nord, nous répond W. de Foavielle, l'Intrépide ascen-
sionniste, un confrère aussi obligeant que savant, auquel nous
avions demandé quelques renseignements sur le ballon nouveau
e: le bat principal de sa curieuse ascension, le Pâle Nord cube
10,500 mètres. C'est, exactement, le tonnage du Greai-Eastern

Le Pâle-Nord sera suivi d'un camarade de rouie, l1Hirondelle,
d'uoe obésité remarquable déjà, mais de dimensions bien moins
phénoménales cependant. ■

Le but de cette intéressante1 expérience n'est pas, comme l'insi-
nuent les Anglais, de parvenir au pôle, par fa voie aérienne. Une
teile iolie n'eût-point entré dans la tète des aéronaUtès courageux
qui feront partie du convoi du 27 juin. Non, parbleu l

M Giflard, en mettant le Pôle Nord à la disposition de M. G.
Lambert, a voulu fournir à l'iidéccurageable voyageur, le moyen
de trouver très-rapidement l'argent qui lui manque très-malheu-
reusement pour mener à prampte et bonne fin la construction
et l'avitaillage du navire le Boréal, encore sur chantier au Havre.

Le public paiisieu n'a pas oublié les efforts surhumains que
M. Gustave Lambert fait depuis plusieurs années, dans le but
d'armer à la réalisation de son magnifique projet de voyage de
découverte au Pèle Nvrd. Eh bien! qu'on le sache, M. G. Lam-
bert, apjès des luttes sans norub;e, après toute une via de dé-
vouement à la science, après des voyages incessants, après trois
cents conférences faites avec le taieut persuasif que vous sivez,
n'a pu réunir que trois cen: mille francs.

Il lui en faudrait enco:e deux cen', mille.

Pendant que, sou à sou, a\ec une lenteur désespérante, nous
collaborions à cette oeuvre véritablement nationale, nos voisins,
nos rivaux d'Europe, plus actif*, plus enthousiastes, plus prati-
quer aussi, ont organisé quatre expéditions. Et vuilà l'Amérique
qui se met de la partie. Allons-nous eire distancés!

Gela ne sa peut pas ! Les solutions de giands problèmes, les
belles découvertes de tout genre qu'entre voit ùi. G. Lambert, ris
doivent pas, faites par d'autres, couvrir d'honneur et de gioir3
les pays à la tête desquels nous disons marcher.

Il ne faut pas que cela arrive. Qu'est-ce qu'il faut, d'ailleurs,
pour aider ce valeureux G. Lambert t Un rien ! B are 1.0. bock do
moins, et consacrer cette épargne minime à la réussite de l'entie-
prise du navigateur qui b'tn ira, là-bas, laisser d^ sa peau peut' être.

Eh ! parbleu ! privons-nous d'all'-r voir St. Hévté, un s jir, et
portons notre obole au Chaœp-dë-Mars, dimanche.

Les entêtés d'une noble idée sont rares, à notre époque l'indif-
férence générale. Ne désespérons pas les derniers Jasons qui es-
sayent encore d'intéresser leur pays à autre chose qu'aux jambes
de ces dames,

Gustave Lambert doit être le Christophe Colomb des glacssi II
est des découvertes en physique qui valent rxîeox que l'or du Pérou.

Gustave Lambert, ancien polytechnicien, ancien professeur
d'hydrographie, à bur«i du vaisseau-école de la Marine, a visité de
bonne heure, à plusieurs reprises, poussa par te mystériaux démon
qui s'agite en nous, et se révolte quand on no lui donne pas sa
pâture de savoir, les mers boréales. C'est un habile et rude ba-
leinier, familiarisé avec les sombres allures des océans inconnus.

C'est un cœur inébranlable, une âme de feu, contenus dans un
corps d'acier, maigre, solide, stuïque.

L'obstacle l'irrite, mais ne l'abat jamais. Il le traverse ou le
tourne toujours, quel qu'il soit ; son génie est souple, inventif,

"Voila certes l'homme énergique qu'il nous faut, et auquel il est
nêcBPKahe que Paris, en lui fournissant le peu d'argent qu'il im-
plore, dhc : « Pars et arriv? premier au POlel »

Le cousin Jacques.

LE BILLET DE GABOE.

Maître Wolfang Trobitius, notable rentier de la principauté de
K.irschen\vasser (8,042 babitanis), était de fort mauvaise humeur,
ce qui te voyait à la façon brutale dont il endossait son uniforme
vert à brandebourgs jaunes.

— C'est embêtant, à la fin, marmonnait-il. Nous sommes 183
dans la milice. Tous les jours le bataillon de garde au château se
compose de 4 hommes et un caporal... et cependant je suis de
garde tous les cinq jours... 5 fois 4 hommes et 1 caporal font
25 miliciens... et non pas 183... Enfin!... C'est diablement embê-
tant!... C'est bi-gre-ment embêtant!...

Dtinc, ami lecteur, vous vuilà éclairé. Maître Wolfang Trobi-
tius, simple milicien de la principauté de Kirschenwasser, rece-
vait on bidet ds garde tous tes cinq jours. — Ce qui était incom-
préhensible.

Eu outro, c'était un Lomîfje entre deux â^es, petit, rouge, ven-
tru comme une futaille, et marié — notez ce point, lecteur —
marié à une jeune femme, rondelette, hauto en poitrine, et douée
d'une âme sensible.
Comme notre homme, complètement harnaché, se coiffait dèsen
1 schaktj à pendeiuijues, la porte s'ouvrit et un autre milicien entra,
1 coiffé, lui aussi, d'un autro schako à pendeloques.

Ceiut-cï était Max von Pou Irebif, l'ami intime de Wolfang Tro-
I bitius. Il était immensément long, sec et ra»de dans son uniforme
I vert à brandebourgs jaunes. — Signe particulier : C'était un vieux
! gaiçon, outrageusement chaste, et s'horripiiant au seul mot de
i mariage.

Dessinez par la pensée une large citrouille; dressez à côté un
long point d'exclamation. "Vous aurez- Trobitius et Poudrebif.

Ce dernier était de garde aussi, et il était venu chercher son ami
Wolfang.

Lss deux miliciens s'en allèrent là où le devoir les appelait, —
pendant que ±u.me Trobitius, penchée à la fenêtre, les contem-
plait, mais sans enthousiasme,

EttejitOi; après, un nouveau personnage, abritant son incognito
sous la vaste vb-ière d'une casquette rhombuïJe, entra mystérieu-
sement et vint baissr !a main de la belle Mme ïiobiiius.

C'était le prince K-irsch^ souverain de la principauté de Kir-
chenYvasser (8042 hab.).

Et c'était lui qui, tous les cinq jours, envoyait ua billet de garde
à maure Wo.fang Trobitius.

Et tous les cinq jours, pendant que maître Wolfang TrobilitiS
bâillait aux corneilles derrière les créneaux du château de Kirs-
chenwaSier, ie prince Kirsch vendit tenir conférence avec la belle
madame Trobitius, sans doute pour des raisons d'État qu'il nous
est défendu d'approfondir.

Le travail diplomatique da prince Kirsch et de la belle madame
Trobitius durait depuis une heure à peu près, lorsque des pieds
incertains et embarrassée heurtèrent l'escalier. Le piince reprit à
la hfue son incognito derrière le paravent de la cheminée. Li
porte s'ouvrit avec difficulté, et nos deux amis, Wolfang Trobitius
et Max von Poudrebif, apparurent accrochés l'un à l'autre, dans
cet état navrant de deux hommes qui viennent de longuement
dialoguer avtc des bouteilles.

C'est même pour cela que le caporal de service les avait ren-
voyés dans lems foyers.

La bras gauche de l'ami Wolfang était passé sous le bras droit
de l'ami Poudrebif, tous deux se prêtant ainsi un mutuel équi-
libre.

Parvenu au milieu de la chambre, maître Wolfang quitta un
instant la bras de sou ami pour ébaucher un goste, puis il reprit
sun point d'appui. Mais au lieu de s'accrocher au bras droit de
Max von Poud.ebif, il passa de l'autre côté et prit le bras gauche.
Cette manœuvre embrouilla totalement les deux ivrognes; de
sorte que Wullar.g TrobUius crut qu'il était Poudrebif, et Poudre-
bif se prit pour Wolfang.

— Tiens 1 bégaya maître Trobitius à son ami ; suis-je assez
bétel... J'allais t'appeler Trobitius et te pendre pour moi... et
moi pour toi... Heureusement que je ma rappelle que Trobiàus
était à droite et Poudrebif à gauche... Donc, puisque je suis à ta
gaache, t'eût que je suis Poudrebif... et pu^squi? tu es à droite,
c'est que tu c-s Trobitius.

— Ça ma parait présumable, riposta Poudrebif. C'est moi Wol-
fang Trobitius... C'est évident.

— Embrasse donc ta femme, ajou'-a son camarade.

Madame Trobitius, assise devait le paravent de la cheminée, ne
disait nen : elle admirait.

— Ma femme ! reprit Poudrebif... Puisque je suis WolfaBg
Trobitius, je eùis donc marié... C'est vrailll marié!!! moi qui
ai ça en borreur I.., Je vas me noyer.

— Et je t'accompagne, dit l'autre.

Les deuxivrogues, l'un traînant l'autre, descendirent i'escalier,
firent trois pas dans la rue, et s'écroulèrent au coin cl'ute born1?,
où ils dormirent jusqu'au lendemain.

A. Humbert.

Mon ami 1© pîxoxioixiène

A. EMILE BLOSDET

J'ai eu l'bcinneur autrefois, quand j'étais garçon, de compter au
nombre de mes amis un excellent phénomène, un modeste et ten-
dre g^ant, un vrai. Bébé, c'était son num — vous saurez plus tard
pour quel motif il portait le surnom du plus célèbre des nains qui
ont brillé, fleurs éphémères, avant Tom-Pouce — Bébé, dis-je,
mesurait, sans les bottes, 2 mètres 297 millim , du calcaneum au
sinciput.

Une jolie taille, comme vous voyez, et que bien des gens ambi-
tieux envieraient. Mais Bébé n'en était pas p!us fier pour cela; au
contraire! Sa haute siature le rendait fort malheureux en somme.
Tout à l'heure, vous le comprendrez parfaitement. Disons tout de

suite que lés parents de Bébé ne pouvaient se consoler de la crue
subite do leur fils au-dessus du niveau normal de l'étiage humain.
Or Bébé, fils respectueux, s'affiigeait abondamment et versait d'é-
normes larmes, toutes les fois que sou père et sa mère, au dessert
racontaient, aux invités de la maison, les trente-quatre années de
désappointement que leur enfant leur avait procurées depuis sa
venue au monde.

Bébé avait donc trenle-quatre ans, et pas de barbe ; pas l'ombre
même! Ainsi qu'une pale tête de veau dans le baquet des bou-
chers, son visage bonasse et d'une blancheur virginale apparais-
sait aux regards dans la baraque où on l'abritait. Car Bébé, phé-
nomène forain, gagnait tristement sa vie en se montrant aux po-
pulations de France et d'AUemago, orné d'un habit écarlate à
brandebourgs, et chaussé de bottes monumentales, au fond des-
quelles il ne glissait aucun jeu de besîgue. Bébé était un géant sin-
cère.

Où. comment, pourquoi nous nous étions connus, Bébé et moi
peu importe à la postérité. Que l'on sache seulement que le lien
qui unissait nos deux ccéurs était Lrt et soiide. A quelle époque ce
lien a-t-il été briséî je ne me le rappelle guère, et cela n'inté-
resse personne. Lhs amis, à Paris, ressemblent assez aux enfants
du père du Petit-Poucet. On les aime beaucoup et on les perd
facilement, parce qu'où ne sait plus, qua;id leur nombre augmente
comment faire pour les conserver. Le cœur moderne est si pauvre!

Un soir, mon ami le phénomène m'mv:ta à venir passer la
soirée chez lui, en famille. C'était dans les premiers temps de
notre liaison. J'acceptai la proposition avec une joie que je m'ef-
forçai de dissimuler sous les apparences d'un refus poli. It in-
sista. Je me rendis.

« Le Général vous recevra parfaitement, mon cher, me dit-il.
C'est un gamin, un diable, soit ! mais soyez bon pour lui. Il a un
rceur d'or. Ahl s'il n'aimait pas tant .le crickS mais il aime le
crick, le Général, voilà le malheur! Quant à maman, Madame
Trois-pieds, c'est une femme de lêtel La bourse un peu serrée,
peut-être, mais c'est aussi un cœur d'or. Le crick est son faible.
Cela me chagrine. Mais que faire? c'est une enfanc. Elle pleure-
rait, si on la grondait, et je l'honore. »

Pendant que mon ami le phénomène pariait ainsi, le chemin
qui nous séparait de son domicile avait été franchi. Bientôt nous
lrappâmes au seuil paternel, situé, il iaut l'avouer, au cinquième
étage, rue de Pontoise. D aigres voix nous crièrent d'entrer. Nous
entrâmes.

Général, je vous amène un ami, un homme de goût, un. de yos

'<&%»*.

admirateurs! Maman,

voici un monsieur qui est fou de vos talents, i

C'est en ces termes amiables que mon'ami le phénomène me pré-
senta à ses vénérables parents; ils grimacèrent et grognèrent
peur toute, réponse.

Ces parents inouïs, perchés sur deux hautes chaises d'enfants,
aux deux bouts d'une vaste table, ressemblaient à s'y méprendre
à deux singes rabougris, se livrant a leurs exercices ordinaires.
Bref, c'étaient deux nains de la plus vikine eau. Le Général Li-
sait partie, comme comparse humain, d'un théâtre d'animaux sa-
vants; vous l'avez vu sans doute dans les fêtes publiques. C'est
lui qui, babillé en général, chamarré de croix, le sabre en main, et
chevauchant une chèvre, mène à l'assaut d'une forteresse peinte
des chiens costumés en miliiaiies, et conduitdts singes belliqueux
.à la victoire t

Quant à la maman, la belle Mme Trois-Pieds, je la reconnus
immédiatement pour la dame que l'on montre dans les boutiques
ei; construction, et qai habite., invisible, une petite maison de car-
ton, à deux étages, pourvue de portes et de fenêtres. Svbille
criarde, elle rend des oracles précieux qui arrivent à Tortille
avide du public par le canal d'un porte-voix gigantesque.

Je saluai fort bis les deux vieillards. Ils daignèrent me prier
d'un air rogue de vouloir bien prendre place à l'énorme table.

—- Nous allions dîner sans vous, Bébé, fit le général tordant sa
moustache rousse. Vous êtes libre, monsieur, lien libre de lais-
ser vos père et mère crever de faim. Oh ! vous êtes libre, parfai-
tement libre. Un géant, c'est connu, ça n'a pas de cœur. Non,
non, pas de cœur.

— "Voyons, général... supplia Bébé, pas de scène! vous savez
bien que l'ouvrage m'a retenu. C'est lundi, aujourd'hui.

Et le brave phénomène murmura a mon oreille : « — Le Géné-
ral ost agacé, ce soir; mutis c'est uu gamin, un diable... le fond
est bon. Ne vous fâchez pa?, heii. ?

On dîna tant bien que mal. Mme Trois-Pieds fit mine de s'éva-
nouir dans les environs du café, parce que Bi-bé, fi!3 prudent,
s'avisa de vou'oïr lui verser son crick en quantité raisonnable.
Mais ce ne fut qu'un nunge dans l'azur de cotte soirée.

— C'est une f«mme de tête, me dit tout bas Bébé, un enfant,
un petit enfant, une créature angéliqua ; et en prononçant ces pa-
roles, il abandonna à sa mère bien-aimée le fla;on d'eau-de-vie
qu'il avait voulu lui ravir respectueusement.

Le café prit", on causa. J'étais ravi. La conversation étrange de
la société distinguée qui m'entourait me transportât au septième
ciel.

Les deux affreux magots se démenaient sur leurs sièges, et ra-
contaient des histoires qui faisaient pâlir et rougir Bébé, l'inno-
cent phénomène. Bien entendu, le fameux crick, rosée brùlanie,
tombait sans cesse dans le gosier blindé du général et de son
épouse.

Car Madame Trois-Pieds était l'épouse légitime du Général.

— Gare la bombe I me dit tout à coup Bébé, à voix basse.
Maman, une enfant, une frêle enfant, va raconter l'histoire de son
mariage.

En effet, madame Trois -Pieds, larmoyant (ce qui ne l'empêchait
pas de boire, du re3te), narra longuement à ton auditoire, le récit
funeste de son union. Elle avoua, et le Général pris à témoin,
avoua également, que leur but en se rendant à l'autel avait été de
se voir revivie dans un enfant aimable, et d'une taille encore
pi es exiguë que la leur. Le c.elaida.t, Cruelle ressource pour
:eurs vieux jour.-, et quel motif de juste oigueit ils auraient trou-
vé dans un enfant plus nain qu'eux! Mais le ciel les avait punis,
crm-Ilemeût punis. Au lieu d'un nain, ce fut un géant que leur
ardent amour produisit!

Dérision "amèrel on avait baptisé du uharmaot prénom de
Bébé le marmot qui naquit un jour, un sombre jour, croyant qui
le porterait dignement, et ferait honneur à sa famille. Hôiasi

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